16/06/2023
Prières musulmanes dans nos z'écoles laïques
12:16 Publié dans Actualité, Arts, Blog, Dessin humoristique, Media, Moeurs, People, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : depardieu, concert marseille depardieu, féministes contre depardieu
14/06/2023
Les collabos de l'immigration ...
15:52 Publié dans Actualité, Arts, Blog, Histoire, Media, Musées, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : louis xiv, louis xiv était il français ?, cnews pascal praud, émission l'heure des pros, affiche ministère de la culture
28/05/2023
Tarzanide n° 553
TINA
Tina … Tina quoi ? Turner. Tina Turner évidemment. Née dans le Tennessee en 1939. Chanteuse de rock dont on vient de nous annoncer la mort. Mais vous n’allez pas me croire même si mon épouse confirme ce que j’écris : je me suis toujours désintéressé des chansons et des tortillements du fessier de cette dame.
Il n’y eu guère pour moi que Mahalia Jakson et son Négro Spiritual de la fin des années 50 de 1900 qui m’attira mais sans que je m’y attarde.
( Difficile de faire plus banal )
Je ne sais plus où j’ai entendu que Tina n’était pas le prénom de baptême de Madame Turner. Elle se prénommait d’abord Anna et ce serait sous l’influence d’une BD titrée TINA qu’elle aurait modifié pour la scène son prénom.
Doc Jivaro ne lut ni ne feuilleta jamais la BD Tina publiée dès 1968 chez AREDIT qui succédait alors à ARTIMA. Il n’en parlera donc pas. Mais s’agit il de cette édition française qui influença alors la chanteuse américaine ? Ne pas connaître pour l’instant la réponse ne m’empêchera pas de dormir ce soir et jusqu’à demain matin, j’espère.
Doc Jivaro
16:01 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Grenier de la BD, Journaux, Musique, People, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tina turner, tina bande dessinée, artima, aredit, bandes dessinées de collection année 1953, doc jivaro, musique rock, anna mae bullock, mahalia kackson
21/05/2023
Tarzanide n° 552
Me semble que les aventurlures de Johnny COMET débutèrent avec le n° 63 du magazine mensuel GARRY des Editions Impéria. Elles allaient se terminer dans le n° 69. GARRY était un illustré français inspiré de la guerre américano-nippone, 1941-1945. En cela il ressemblait aux premiers scénarios du BUCK DANNY mais sans vraiment en posséder la documentation de l’époque. Quant à Johnny COMET pilote de course automobile il devient stuntman (casse-cou) pour des exhibitions populaires qui le rendent si célèbre qu’un impresario l’incite à réussir une carrière à Hollywoodland.
J’étais âgé de 11 ans … la censure s’abattait sur nos bandes dessinées, et un certain Abbé Pihan s’acharnait à faire interdire nombres d’images jugées inconvenantes selon la morale catholique. Cet Abbé Pihan, né en 1912, devait disparaître en 1996 sans avoir jamais fait preuve de charité pour la sexualité des enfants.
Les jolies filles pulpeuses ne manquaient pas parmi les rencontres que faisaient Johnny COMET ; et leur présence nous vengeait quelque peu de la disparition totale de nos Sheena et de nos Tarzella, toutes sauvageonnes, blondes et reines des jungles.
Jonny COMET était dessiné efficacement par Frazetta. Des personnages très animés et qui ne refusaient pas le caricatural dans les expression physionomiques. L’identité de Frazetta n’apparaît pas dans les magazines GARRY de l’année 1953. Ou alors elle est rudement bien cachée. Mais aujourd’hui regardez sur le Web la place importante que ce même Frazetta occupe dans l’art artistique populaire.
Doc Jivaro
17:18 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Moeurs, Sexualité, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : frazetta, johnny comet, garry éditions impéria, abbé pihan, bandes dessinées de collection année 1953, doc jivaro, censure bandes dessinées
07/05/2023
Tarzanide n° 550
Lord John Greystoke couronné
Hier et pour le repas officiel du couronnement de Charles III, la quiche était cuisinée végétarienne et non pas à la mode lorraine avec des lardons. Les lardons sont des morceaux de viande de porc : du cochon, quoi ! Et si tu es musulman c’est de l’hallouf, c’est à dire de l’interdit à l’alimentation humaine. Et comme le couronnement royal se voulait dans une atmosphère œcuménique, pas question de faire un mauvais gag aux maîtres prochains de l’Europe de l’Ouest.
Longtemps, longtemps, avant que les poètes … etc. etc. il y eut un autre couronnement celui d’un personnage fictif : Lord John Greystoke, anglais, lui aussi. C’était le roi de la jungle en même temps que le roi des grands singes. Et comme la jungle était la jungle africaine, il s’élevait aussi comme roi des hommes de couleur.
L’image que nous affichons deux fois ici est prélevée sur la page 12 du n° 227 (janvier 1951) de l’hebdomadaire TARZAN des Éditions Mondiales, lesquelles fournissaient des versions françaises de l’éditeur r’américain. Le dessin est signé Bob Lubbers.
Le roman de TARZAN fut édité en 1912, époque à laquelle l’Angleterre et la France par leurs colonies paraissaient deux puissances planétaires, l’une de la royauté, l’autre de la république. C’est ce qui explique que dans le roman TARZAN le héros principal est anglais et que son éducation lui vienne d’un français : le lieutenant d’Arnot.
L’image de TARZAN reconnu comme roi parmi les hommes, termine un épisode pendant lequel le fils d’Alice aide la tribu des Durus à se débarrasser définitivement d’une bande d’arabes esclavagistes venus faire une razzia de jolies jeunes femmes noires.
Allez ! Allons déguster une vraie quiche : une lorraine avec de savoureux morceaux de cochon.
Doc Jivaro
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23/04/2023
Tarzanide n° 549
HOPPY pour les copains
Paraît que les confitures industrielles d’a présent demeurent bourrées de pesticides …
Les confitures de mon enfance, elles, n’étaient pas réputées empoisonnées. Elles étaient fabriquées maison, en famille.
Rue Championnet, un grand jardin. Une de mes deux grand-mères réussissait toutes les confitures : cerises, fraises, pêches, etc. Je n’appréciais pas la crudité des groseilles pendues à leurs arbrisseaux ; mais je les adoraient cuites renforcées de sucre. En matinée une fois, alors que se déroulait la cuisson des confitures il y eut un assaut d’insectes dans la maison : des guêpes par dizaines, Madame !
- Elle vont finir par nous piquer ! S’exclama la mère de mon père. Vas-y ! re-fiche les dehors à coups de torchon.
J’engageais le combat contre l’invasion ailée. J’écrasais même quelques unes des ennemies qui me paraissaient ne pas s’apercevoir de ma présence guerrière. Avais je atteint mes onze années ? Non Docteur.
- Elles ont dû encore faire leur nid sous les tuiles de la cabane à lapins. Tu te rappelles !
Non, je ne me rappelais pas.
- Ton grand-père à dû nous en débarrasser en y mettant le feu.
Lorsque à l’approche de midi nous fumes vainqueurs, je reçus quelques pincées de monnaie pour me récompenser. « Tiens ! Tu vas aller encore t’acheter des guignols. »
Les guignols c’étaient des histoires en images selon ma grand-mère et des bandes dessinées selon moi. Je me rendis rue Miscailloux, la rue mise en cailloux selon son origine. J’allais choisir parmi les journaux exposés dans l’un des trois bistros dont le commerce s’expliquait sans doute par le grand cimetière tout proche, non pas à cause des morts mais en raison des vivants allant les visiter.
Hopalong Cassidy, shériff de Twin-River, nous venait des r’américains et il y avait alors beaucoup de publicités sur les radios. Je ne connaissais le nom d’aucun des dessinateurs, sauf celui de la couverture lequel était un habitué de l’Editeur IMPERIA. Il s’agissait de Robert BAGAGE qui simplifiait parfois sa signature en ROBBA.
Hopalong Cassidy daté de 1949
Hopalong Cassidy daté de 1953
Dans l’édition datée de 1953, je repérais tout de suite l’absence d’un objet. Une fumée à l’horizontale au-dessus du titre ne s’expliquait que par la disparition d’un revolver. Cette arme dessinée je la connaissais bien l’ayant déjà vue dans de petits journaux édités en format italien, en 1949, et qui nous venaient de MARIJAC le créateur de COQ HARDI. Une partie de l’image était donc censurée dans l’édition de 1953.
Signalons que Marijac dans quelques chapitres de ses mémoires déclara ne pas du tout apprécier les petits scénarios américains bâclés en trois ou quatre pages. Eh ! Eh ! C’est pourtant à de tels expédients r’américains qu’il avait parfois recours pour garnir à la hâte quelques unes des vingt pages de quelques uns des suppléments de son célèbre COQ HARDI.
Supplément n° 51 du COQ HARDI n° 154 (1949)
Doc Jivaro
16:52 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Grenier de la BD, Media, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marijac, hopalong cassidy, robert bagage, coq hardi, bandes dessinées de collection, bar zing de montluçon, recettes de confiture