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02/06/2021

1933 années après Jésus-Christ

 

Un plus grand zombie ? 

MEIN KAMPF

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Devenu comme LE livre-culte du XXe siècle grâce à l’incessante publicité que lui font ses ennemis en le dénonçant comme le plus grand danger planétaire pour les mille ans à venir MEIN KAMPF vient d’être réédité pour être à nouveau commercialisé.

 

Adolf Hitler et Rudolf Hess réalisèrent ce texte polémique alors que le futur chancelier du Reich se trouvait emprisonné à Lamasberg-am-Lech par un jugement venu de la bourgeoisie de Weimar. Ce livre signé par le seul Hitler se termine par un hommage à un certain Dietrich ECKART. Mais qui est ce ? Reportez vous bien vite à votre Wikipédia favori.

 

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Pour lire Mein Kampf traduit en patois français nous vous recommandons le gros pavé publié en 1934 par Les Nouvelles Éditions Latines sous la responsabilité de Fernand Sorlot. Pour ma part si je possède un exemplaire de cette édition c’est pour avoir été en vacances d’août 1965 dans un bâtiment déserté par des religieuses en Haute Savoie, à Saint-Jean-de-Tholome précisément. Le bouquin abandonné derrière un rideau était en compagnie d’un des premiers albums Tintin : Les Cigares de Pharaon imprimé sans aucune couleur. Malheureusement manque la couverture.

 

Ah ! que je n’oublie pas : l’édition latine imprime sur sa page de garde un conseil : « Tout français doit lire ce livre » signé du Maréchal Lyautey.

 

Oui il s’agit de celui dont Clemenceau aurait dit : « C’est certain qu’il a des couilles au cul  mais ce ne sont pas toujours les siennes ».

Bar Zing

23/05/2021

Tarzanide n° 499

 

C’est du BARNUM !

 

 

JUMBO ? … C’est lui, c’est JUMBO. Dans la collection BD de Doc Jivaro cet hebdomadaire débute avec le numéro 1 du 1er janvier de l’année 1938 pour se terminer le 31 décembre. Soit un total de 53 numéros, chacun de huit pages. La réussite de cet illustré fut de concurrencer « Le Journal de Mickey » qui venait de moderniser la Presse destinée à la jeunesse du pays de Léon Blum et Philippe Pétain.

 

 

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Format approximatif : 28 X 27 cm.

 

Mais d’où vint le titre JUMBO ? Peut-être de la fin du XIXe siècle occidental lorsque le célèbre cirque américain BARNUM acheta en Angleterre un éléphant de haute stature piégé en Afrique, dans le pays d’Abyssinie ; éléphant auquel les geôliers anglais n’épargnaient aucune humiliation, aucune souffrance. L’histoire de ce pachyderme vous est contée sur votre web. On estime que l’espèce humaine est la plus intelligente des espèces animales : elle est aussi la plus cruelle, comme si intelligence et cruauté allaient en couple.

 

 

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La collection complète de JUMBO fut distribuée de l’année 1935 à 1944. Peut-être Bar-Zing et Doc Jivaro, s’ils sortent vivants de l’actuelle pandémie, vont-ils se mettre à la recherche de la totalité des numéros BD faisant écho à Dumbo. Oh ! pardon : je voulais dire : écho à JUMBO.

 

Doc Jivaro

 

09/05/2021

Tarzanide n° 497

Relisant quelques passages de la revue trimestrielle de BD PHÉNIX de mars 1976 j’ai stoppé sur l’affirmation suivante « Le premier en date de 1946 un mensuel appelé LE CASSEUR ». C’est Jean Fourié qui écrivit cela à propos de l’Éditeur CHOTT. Eh, non ! Le premier titre BD de cet éditeur fameux, en 1946, ne fut pas LE CASSEUR mais FANTAX alias Lord Neighbour alias Le Gentleman fantôme. Quant au cow-boy LE CASSEUR il ne devait paraître qu’en 1947.

 

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Malgré la simplicité des scénarios ou, plutôt, grâce à cette même simplicité animée de bagarres à grands coups de poing FANTAX s’attira l’enthousiasme des écoliers de l’époque ce qui d’un autre côté lui attira l’hostilité de beaucoup d’instituteurs. Aussi ce personnage tomba-t’il comme l’une des premières victimes de la censure votée le 16 juillet 1949. Son dernier numéro, n° 39, est édité en 1949.

 

 

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Une dizaine d’années passa, moi avec elle.

 

J’allais pour ne pas manquer le départ de la locomotive à charbon en direction de Bourges. Je longeais alors Le Miscailloux, un café-bistro qui faisait aussi office de commerce de Presse. A ce moment là, le titre des journaux était tourné vers l’extérieur afin d’être visible à travers la vitrine. Un mot accrocha mon regard de côté ; ce mot c’était FANTAX. Etait-ce donc l’éditeur Chott que je croyais disparu depuis une décennie qui se rappelait à ma mémoire ?

 

Je déposais 60 frs en monnaie sur le comptoir, devant le patron du bistro qui voyant mon achat ne manqua pas de s’essayer à l’ironie : « C’est pour vous ou pour votre petit-frère ? ».

 

- Pour moi !

 

Et comme je sortais j’entendis le bonhomme qui voulait mériter le dernier mot de notre bref échange : « Moi je lisais ça quand j’étais gamin ! ».

 

Avec son FANTAX d’une deuxième série commençant en 1959, l’Éditeur Chott profitait du succès d’un catcheur nouvellement triomphant sur les rings en France : L’Ange Blanc. Un succès renforcé par la démocratisation des TV dans les débits de boisson où l’on s’attroupait le vendredi soir après le turbin. Ce nouveau catcheur était masqué, se donnant pour mission de corriger tous les méchants combattants d’un sport truqué dont tous les spectateurs adultes connaissaient par avance le résultat. Ainsi FANTAX, soudain ressucité, était-il surnommé « L’Ange Noir » pour faire équilibre par contraste avec L’Ange Blanc.

 

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Cette seconde série FANTAX ne parut que pendant l’espace de neuf numéros que votre serviteur possède la conservant dans un coffre de Fort Knox sous la garde personnel de l’agent 007.

 

Doc Jivaro

 

27/04/2021

Croyant déjouer un putsch militaire en France

 

FLORENCE PARLY

en appel à l'Islam

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25/04/2021

Tarzanide n° 495

 

LES NEZ ROUGES

 

 

Z’ont totalement disparu de la bande dessinée ! … Ils … Mais qui donc Ils ? Eh bien, les nez rouges. Quels nez rouges ? Les trop gros buveurs du vin rouge qui tâche. Longtemps dès le début du prolétariat salarié de l’industrie, le nez rouge caricature le travailleur du peuple déraciné de son origine paysanne. C’est de celui-ci dont vont se servir les journaux illustrés dès le début du XXe siècle pour amuser leur lectorat souvent lui-même dépendant de la classe populaire. L’hebdomadaire L’ÉPATANT en demeure l’exemple typique.

 

LES PIEDS NICKELÉS, a leur naissance, ont le nez vermillon, donc ils boivent du gros rouge qui tâche.

 

 

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Les Pieds Nickelés dans L’Épatant n° 323 du jeudi 11 juin 1914

 

 

Disons tout de suite que l’alcoolisme, donc l’ivrogne était surtout une cause de rigolade et non pas de réprobation publique. L’ÉPATANT faisait aussi ses choux gras avec ce thème du buveur boulevardier incorrigible. Voyons la couverture du numéro 258 du jeudi 13 mars 1913. Les gamins du moment pouvaient même s’amuser en lisant une BD signée de Jo Vallé : CARAFON, CHIEN D'IVROGNE. On ne sortait pas du tonneau.

 

 

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Un tel sujet abordé sous un aspect humoristique est évidemment impossible aujourd’hui dans des publications divertissantes pour la famille, donc pour les enfants. Une des preuves : dans l’actuel réédition par Hachette des Aventures Des Pieds Nickelés, la rougeur des nez symbolisant l’abus d’alcool, est supprimée dans la version colorée.

 

Signalons en vitesse que pendant la guerre 1914-1918, dont le résultat essentiel fut la disparition de l’Empire Ottoman, nos soldats possédaient un « quart » leur permettant d’avaler une rasade de « La Butte Rouge » pendant que quelques-uns d'entre eux finissaient de lire en vitesse une feuille de chou intitulée : Le Bonnet Rouge. Une crevure où s’étalait la propagande de désertion anti-française défaitiste que le slavo-mongol LÉNINE devait utiliser en 1917 pour collaborer avec l’aristocratie des Hohenzollern.

 

- Lucette ! remets nous une tournée de fillettes sur la table !

 

Une fillette c'est à dire 35 cl. du sang de la vigne. 

 

Doc Jivaro

 

 

22/04/2021

Un bonheur n'arrive jamais seul

 

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