Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/01/2020

Emilio Zola - Dreyfus - Roman Polanski

Le-Petit-Journal-Affaire-Polanski.jpg

21/01/2020

Tarzanides du grenier n° 398

 

Pendant la petite semaine à venir vous pouvez apprécier sur Ciné Classique un commentaire agrémenté d'extraits de films hollywoodiens, l'ensemble intitulé "Le Mythe de Tarzan".

 

Weissmuller, évidemment ! occupe une place de choix ; mais nous ne doutons pas que bien des dames vieillissantes d'aujourd'hui préfèrent garder souvenir du très beau Lex Barker incarnant le héros des romans de Burroughs.

 

Pour ce qui est du mythe de l'orphelin anglais adopté par une horde de grands singes dans une jungle bordée d'un océan, il existe un aspect souvent négligé par les commentateurs. Je veux parler d'un exploit inouï, aussi incroyable qu'est incroyable la virginité éternelle d'une juive prénommée Marie. Mais tout de suite observons les six images d'en dessous.

 

Tarzan,Loi de juillet 1949,Ciné Classique,Weissmuller,Lex Barker,Herakles,Bandes dessinées anciennes,Bar Zing de Montluçon,Tarzanides du Grenier,Doc Jivaro

(Images arbitrairement décalées pour former un rectangle)

 

Et constatons qu'à peine adolescent l'enfant sauvage est studieux. Il apprend à lire, à écrire et à compter - et même à dessiner ! sans l'aide d'aucun éducateur. Le bilan en est : les muscles d'Herakles combinés avec le cerveau de Newton. Et plus fort encore que Newton puisque ce dernier eut besoin de professeurs pendant son apprentissage. Doc Jivaro vous le garantit : le vrai mythe de TARZAN c'est que celui-ci comprit l'arithmétique sans y être obligé dès l'âge de cinq ans par l'institutrice Mademoiselle Lesage.

 

Les illustrations présentes ici proviennent de TARZAN, hebdomadaire n° 131 de mars 1949 ; donc peu de mois avant le vote de la sinistre loi de juillet 49 par laquelle communistes staliniens et catholiques de Pie XII se firent responsables du déclin des bandes dessinées françaises durant toute la décennie des années cinquante.

 

Doc Jivaro

 

 

19/12/2019

En marge de nos problèmes sociaux

 
STAR WARS :

ANNONCE DU DERNIER ÉPISODE

 

BAR ZING  : 
BIENTÔT LE FINAL ?

 

 

Croyez le ou pas, Doc Jivaro n’a jamais assisté à l’un des épisodes de votre STAR WARS. Tout au plus à t’il entrevu sur son écran de TV quelques bonhommes agitant des tubes de néon décrochés d’un plafond. Ce que les fanas du genre nomment des sabres-laser.

 

De tels machins à faire des moulinets payés à grands coups de dollars, auront toujours devant Bar Zing moins d’importance que le bâton taillé dans un noisetier dont il se servait pour se frayer un passage à travers un groupe d’oies dans le sentier qu’il empruntait pour accéder au cimetière de Parsac en Creuse.

 

- Et qu’allait-il faire votre Bar Zing dans un cimetière alors qu’il n’était qu’un gamin de six ou sept ans ?

 

- Il allait, ne vous en déplaise, changer l’eau de trois ou quatre vases dans lesquels l’une de ses deux grand-mères avait mis des fleurs coupées. Oui, c’était ainsi chez les barbares d’hier : les morts se reposaient dans un grand jardin fleuri tout à côté du potager des vivants.

 

Ryal

06/11/2019

Ruinés, victimes du capitalisme inhumain

Les Balkany :

Une association va payer leur rançon

Balkany-caution.jpg

19/10/2019

Tarzanides du grenier n° 382

Bien sur que Bar Zing alias Doc Jivaro savait que ce DVD existe depuis 2004 ; mais le respect en présence des romans signés E.R. Burroughs l'empêcha d'acheter le produit industriel Walt Disney. Par contre, Il se le laissa volontiers offrir par un voisin de table lors d'un repas tête de veau à Bizeneuille, treize kilomètres de Montluçon en direction de Vichy.

 

Tarzan enfant,E.R. Burroughs, Harold Foster,censure,bandes dessinées de collection,Doc Jivaro,Bar Zing de Montluçon,

 

Walt Disney excella toujours à infantiliser l'enfance en refusant à celle-ci tout instinct de sexualité. Voyez le petit bonhomme Tarzan qui cache déjà son petit zizi dans une jungle naturellement obscène de plumes et de poils. Bref ! la cause est tout de suite entendue : c'est l'enfance d'un héros, surtout pas celle d'un Éros.



L'excellent dessinateur Harold Foster lorsqu'il nous transmit en bandes dessinées les aventurlures de l'enfance de Tarzan ne se conforma pas à l'hypocrisie bigote : il arrondissait le jeune fessier de John Greystoke, à croire qu'il en était à répondre à l'antique attirance que les grecs du temps de Socrate ... etc, etc.



Tarzan enfant,E.R. Burroughs, Harold Foster,censure,bandes dessinées de collection,Doc Jivaro,Bar Zing de Montluçon,

 

Si vous n'êtes pas à l'arrêt sur le quai d'une gare SNCF à cause d'une grève qui violente le Service Public, je vous souhaite un bon samedi. Tiens, j'y pense : à Montluçon côté rive droite de la rivière Le Cher nous avons une impasse de la Grève. Mais celle-ci n'a rien de politique en rappelant les bords jadis caillouteux de notre cours d'eau familier. Remarquez que nous avions aussi une rue du Pet-en-l'Air. Une rue aujourd'hui remplacée par la rue du Furet. Comme quoi nous avons échappé à une rue de la Civette, si vous sentez ce que je sous-entends !

 

Doc Jivaro

 

10/10/2019

Les 12 coups de midi

WILLIAM FRÉDÉRICK CODY

1846 - 1917

Grand chasseur de lapins
était surnommé BUNNY BILL

william cody,buffalo bill,12 coups de midi,conquête de l'ouest,jean-luc reichmann,wild west show,tf1,séries télévisées

Nous, "Les 12 coups de Midi" orchestrés par Jean-Luc Reichmann on ne s'en amuse qu'en replay.

 

Hier, à la question : "Quel gibier était chassé par Buffalo Bill ? une candidate a répondu sans plaisanter "des lièvres".

 

Paul l'indéboulonnable a failli en tomber dans les pommes, nous aussi.