19/12/2019
En marge de nos problèmes sociaux
STAR WARS :
ANNONCE DU DERNIER ÉPISODE
BAR ZING :
BIENTÔT LE FINAL ?
Croyez le ou pas, Doc Jivaro n’a jamais assisté à l’un des épisodes de votre STAR WARS. Tout au plus à t’il entrevu sur son écran de TV quelques bonhommes agitant des tubes de néon décrochés d’un plafond. Ce que les fanas du genre nomment des sabres-laser.
De tels machins à faire des moulinets payés à grands coups de dollars, auront toujours devant Bar Zing moins d’importance que le bâton taillé dans un noisetier dont il se servait pour se frayer un passage à travers un groupe d’oies dans le sentier qu’il empruntait pour accéder au cimetière de Parsac en Creuse.
- Et qu’allait-il faire votre Bar Zing dans un cimetière alors qu’il n’était qu’un gamin de six ou sept ans ?
- Il allait, ne vous en déplaise, changer l’eau de trois ou quatre vases dans lesquels l’une de ses deux grand-mères avait mis des fleurs coupées. Oui, c’était ainsi chez les barbares d’hier : les morts se reposaient dans un grand jardin fleuri tout à côté du potager des vivants.
Ryal
15:14 Publié dans Actualité, Blog, Cinéma, Media, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : star wars, geoges lucas, saga galaxies, la force est en toi, bar zing de montluçon, parsac en creuse
16/11/2019
Tarzanides du grenier n° 387
Ce qu’il y a de divertissant autant qu’imprévu dans certains faits divers d’ici ou de là bas, c’est qu’ils peuvent de temps en temps ramener à notre mémoire les imageries de BD. Ainsi en ce moment la saison des champignons est aussi celle des battues pour la chasse aux sangliers. Nous y apprenons que dans le Pas-de-Calais et en Ardèche des chasseurs viennent d’être frappés par des attaques de suidés forestiers …
Dans le dessin ci-dessus réalisé par Bob Lubbers, TARZAN semble bien trop petit en présence de ce qui n’est pas un sanglier mais un phacochère puisque nous sommes dans une savane africaine. Lord John Greystock a été réduit à la taille d’une fourmi dans le roman Tarzan and the Ant Men édité en 1925 dans Chicago lorsque Al Capone ignorait encore qu’il deviendrait le dominateur des gangsters et des politiciens de la ville.
Dans l’autre dessin ci-dessous et signé en 1936 par Harold Foster, l’homme singe esquive l’assaut de l’animal tout en se préparant à le frapper de haut en bas. Si Tarzan and the Ant Men est inspiré des voyages assez indécents de Gulliver inventés par le romancier anglais Swift, le roman La Cité de l’Or rédigé par E.R. Buroughs ne doit rien ni au livret L’Or du Rhin de Wagner ni à Fort Knox ni au dentier d’Onassis et pas même à la serpe d’un druide gaulois, serpe qui n’était évidemment pas en or sachons le.
- Des sangliers ? Oui, j’en ai vus, tu penses !
Ici c’est ma mère, née dans le département de la Creuse qui raconte un souvenir de son enfance pauvre dans Parsac toujours en Creuse.
- J’étais encore une gamine et l’on me confiait la garde des moutons toute seule. Ce n’était pas nos moutons, c’était ceux d’un gros propriétaire rural. Tu sais c’était plutôt les moutons qui auraient dû veiller sur moi. Je m'asseyais dans l'herbe à proximité du Bois des Andrieux où on voyait encore des gros sangliers sauvages.
Doc Jivaro
18:17 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Moeurs, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tarzan and the ant men, bandes dessinées de collection, bob lubber, parsac en creuse, sangliers et phacochères, doc jivaro, tarzanides du grenier, bar zing de montluçon, les voyages de gulliver, swift