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21/01/2020

Tarzanides du grenier n° 398

 

Pendant la petite semaine à venir vous pouvez apprécier sur Ciné Classique un commentaire agrémenté d'extraits de films hollywoodiens, l'ensemble intitulé "Le Mythe de Tarzan".

 

Weissmuller, évidemment ! occupe une place de choix ; mais nous ne doutons pas que bien des dames vieillissantes d'aujourd'hui préfèrent garder souvenir du très beau Lex Barker incarnant le héros des romans de Burroughs.

 

Pour ce qui est du mythe de l'orphelin anglais adopté par une horde de grands singes dans une jungle bordée d'un océan, il existe un aspect souvent négligé par les commentateurs. Je veux parler d'un exploit inouï, aussi incroyable qu'est incroyable la virginité éternelle d'une juive prénommée Marie. Mais tout de suite observons les six images d'en dessous.

 

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(Images arbitrairement décalées pour former un rectangle)

 

Et constatons qu'à peine adolescent l'enfant sauvage est studieux. Il apprend à lire, à écrire et à compter - et même à dessiner ! sans l'aide d'aucun éducateur. Le bilan en est : les muscles d'Herakles combinés avec le cerveau de Newton. Et plus fort encore que Newton puisque ce dernier eut besoin de professeurs pendant son apprentissage. Doc Jivaro vous le garantit : le vrai mythe de TARZAN c'est que celui-ci comprit l'arithmétique sans y être obligé dès l'âge de cinq ans par l'institutrice Mademoiselle Lesage.

 

Les illustrations présentes ici proviennent de TARZAN, hebdomadaire n° 131 de mars 1949 ; donc peu de mois avant le vote de la sinistre loi de juillet 49 par laquelle communistes staliniens et catholiques de Pie XII se firent responsables du déclin des bandes dessinées françaises durant toute la décennie des années cinquante.

 

Doc Jivaro

 

 

Commentaires

Mademoiselle Lesage n'avait elle pas une verrue poilue dans le creux entre la narine et la joue ?
et avait elle des souliers qui ressemblaient à des chaussures de golf ?

Écrit par : soufifredeux | 22/01/2020

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Mademoiselle Lesage, institutrice, a réellement existé. La seule présence féminine dans notre école de garçons. Pas de verrue en plein visage ni ailleurs je suppose. Mais elle portait bien des semelles plates. A cette époque une institutrice perchée en équilibre instable sur deux talons aiguilles était impossible dans notre école laïque, impossible aussi et à plus forte raison dans une école confessionnelle.
Doc Jivaro

Écrit par : Ryal à Soufifredeux | 22/01/2020

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dans certaines écoles confessionnelles les profs se payaient des petits écoliers (pas les biscuits )

Écrit par : Le petit séminariste | 22/01/2020

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