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29/11/2014

Les Tarzanides du Grenier n° 90

 

En voyant cet adolescent se débattre dans un enchevêtrement de branches et de lianes après avoir échappé à un croco d'île, ne croirait-on pas assister à l'exploit d'un jeune tarzanide ?

 

Mais pourtant, pas du tout ! Cette planche BD de format-poche nous fut proposée dans le numéro 59 de KIWI, année 1960. Le garçon vigoureux c'est le Petit Duc, c'est à dire MIRKO. De famille aristocratique il commença dans le numéro 1 de KIWI, année 1955, et acheva ses aventures tumultueuses le 10 janvier 1961, toujours actif dans KIWI numéro 69.

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Le courage et le sens de la bagarre qui sont siens, il les doit à son précepteur STEN-STENKA, un athlète de haute performance. Ce STENKA appartient à une catégorie bien connue des bandes dessinées populaires, celle des grands costauds. Celle des super-boxeurs et des invincibles lutteurs, dont les noms devinrent célèbres durant les années 1950, même si leur prototype ALAIN la FOUDRE naquit avant la seconde guerre mondiale.

 

Bref ! STENKA, tout comme NYLON CARTER ou BLACK BOY, est un « gros bras » devant lequel mieux vaut avoir les mâchoires solides en cas d'affrontement corps à corps.

 

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Le numéro 69 où se termine l'épopée de Mirko. Les trois dernières planches ont tout d'un final précipité autant qu'improvisé.

 

 

MIRKO le Petit Duc était dessiné avec ferveur par Antonio DE VITA, qui signait DEVI. Nous aurons l'occasion de parler de son style ; mais après vous avoir parlé prochainement de quelques-uns des « gros bras » vainqueurs dans les journaux BD de notre enfance.

 

Docteur Jivaro

 

 

23/11/2014

Nocturne en ré n° 37

 

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Eh ! ne t'en vas pas quand je reviens ! 

Nocturne en ré n° 36

 

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Ces deux images 36 et 37 achèvent le défilé des Nocturnes en Ré,

BAR ZING ne retrouvant plus dans leur succession suffisamment de piment à ses souvenirs.

22/11/2014

Les Tarzanides du Grenier n° 89

Défaillante, la mémoire du Docteur Jivaro lui faisait croire qu'il possédait le numéro 1 de MACHO. En réalité, il n'est en possession que du numéro 5 de l'année 1979. MACHO était une brochure de 48 pages marquée par une homosexualité militante.

 

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Outre d'habituels textes réprouvant des comportements hostiles envers les gays, ce numéro 5 expose une illustration de couverture ayant trait à un des aspects de la sexualité humaine le moins toléré par la victoire législative judéo-chrétienne contre les mœurs païennes. Nous parlons de la zoophilie.

 

Mais qu'est-ce que cette "déviance"  érotique vient faire dans notre série BD consacrée aux Tarzanides ? Voyons, l'évidence en apparaît lorsqu'on lit MACHO numéro 5 ! Son article « Le Beau et la Bête » de sa page 6 jusqu'à sa page 14, utilise un graphisme signé Burnes Hogarth. Des dessins célébrant Tarzan, bien sûr ! Et qui sont extraits des deux volumes retraçant la naissance puis l'âge adulte du fils de Lady Alice et Lord Greystoke. De ces deux volumes réussis par Hogarth, un seul – le premier – reçut une traduction en langage indigène français (Dépôt légal : 1973).

 

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MACHO n° 5 sélectionna des attitudes suggérant l'amour "contre nature" entre l'humain et l'animal.

 

Faut-il supposer que l'homosexualité incline plus souvent que l’hétérosexualité à la pratique zoophile ? Docteur Jivaro n'en sait fichtrement rien. Pour un tel sujet, il se limite a espérer que les échanges poussés entre l'animal humain et l'animal animal n'incitent pas à une maltraitance contraire aux sensations naturellement agréables à la bête.

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De plus en plus, amplifiant son style, Hogarth attribua à son Homme singe des hanches et des fesses dotées d'un charnu que  l'hétéro préfère généralement rencontrer chez la fille voluptueuse. N° 106 et année 1950 de l'hebdo TARZAN.

 

Qui donc peut ignorer les bienfaits que des dames blasées d'avoir à fréquenter journellement l'homme, trouvent dans la compagnie de leur bichon favori ?

 

Docteur Jivaro

 

16/11/2014

Nocturne en ré n° 35

 

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Encore un qui met ses pas dans ceux de la fille, mais qui s'inquiète d'être aperçu la suivant.

C'était une SM, elle.

Nocturne en ré n° 34

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Malicia n'était pas patiente.

« Elle a pris ce prénom après avoir vu un film Boulevard Bonne Nouvelle », me disait Pierre qui avait vécu cinq ou six mois "à la colle"  avec elle.

Effectivement ! un film Malicia italien existe depuis 1973. Merci Wikipédia.