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28/12/2014

Impasse de l'aller-retour n° 7

 

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Une ancienne reconvertie dans le nettoyage des locaux, servait aussi à contrôler le nombre de passades.

- C'est à vous M'sieur ! je l'entends qui redescend dans l'escalier.

27/12/2014

Les Tarzanides du grenier n° 93

Tenez, l'illustration de la couvrante du numéro 1 de NARCOSE. Un bi-mensuel d'avril-mai 1987. Mais pourquoi parler de ce titre au lieu d'un autre, celui de GOMME (1981) ou encore FRILOUZ (01-06-1982) ? la raison en reste primaire : le bon gros requin saigné, gueule ouverte, rappelle le sujet traité dans notre Tarzanide de la semaine précédente.

 

Fréquemment (et pour ne pas écrire toujours) dans les bandes dessinées l'arrivée en surface d'un requin nous est signalée par son aileron dorsal fendant les flots. Mais dans NARCOSE, le plus étonnant, peut-être même le plus enviable, c'est que le squale expose ses deux pénis, c.a.d. ses deux nageoires ventrales faisant office d'organes reproducteurs.

 

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NARCOSE, lui, n'utilise qu'un seul zizi comme moyen d'humour graveleux, négligeant l'amour tendre. On reconnaît dans ses pages  l'ambiance des fanzines du monde souterrain, ceux des années 1970. Une seule exception : les quatre planches signées de Gondo. Au moment de leur réalisation, celui-ci travaillait dans l'un des ateliers BD dirigés par Lyar et Ryal aidés de Ylar. Le Zartan de Gondo participe de façon modérée au grand cirque des Tarzanides pour rire.

 

Bien entendu, vous connaissez « TARZOON la honte de la jungle », dessin animé. Un petit chef d’œuvre du genre réussi par PICHA et SZULZINGER, en 1975. Aujourd'hui, ce rire porno est impossible à distribuer en salle pour le grand public.

   

Doc JIVARO

  

21/12/2014

Impasse de l'aller-retour n° 6

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- Tu sais ce qu'il m'a raconté ? Qu'il m'avait connue quand je tapinais rue Quincampoix. L'est maboul ! D'abord il n'y a plus de filles rue Quincampoix depuis plus de vingt ans et, moi, j'ai la trentaine, alors j'aurais fait la pute dès l'âge de dix ans.

 

- Alors que tu n'as commencé qu'à l'âge de cinq ans.

 

- Toi, il y a des moments où je regrette de t'avoir pour copine.

 

Impasse de l'aller-retour n° 5

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Ce n'est qu'un au revoir mon frère.

20/12/2014

Les Tarzanides du grenier n° 92

Regain de requins

 

Tout au long de sa carrière devenue mythique le « Roi de la Jungle » fut maintes et maintes fois obligé de tuer les requins pour s'éviter de leur servir de ravitaillement en chair fraîche. 

 

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Toutefois, dans l'un des affichages des Éditions Del Duca, brusque changement d'attitude chez Tarzan. Ce n'est plus un redoutable redouté « Dents de la mer » qu'il pourfend de part en part, mais un simple poisson d'eau douce. Cela s'observe sur le premier plat de la brochure « tout en couleurs » du n° 22 de l'année 1966. Certes, un grand prédateur des océans est bien visible juste au dessus de l'homme qui poignarde un bien inoffensif porteur de nageoires ; mais le carnassier marin semble appartenir à une séquence passée sans utilité dans la scène présente. Ne croirait-on pas que le dessinateur à voulu plaisanter ? Toutes sa graphie est hâtive , non simplement abrégée mais bâclée. Comme pour tourner en dérision et le héros et son action.

 

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Cette série des Éditions Mondiales, nous en avons précédemment parlé dans notre article daté du... ? (Docteur Jivaro ne s'en souvient plus). Signalons qu'avec le numéro 9, cette série inaugure une présentation nouvelle : sur le quatrième plat de sa couverture cartonnée souple, est imprimée la planche BD par laquelle commencera l'épisode prochain contenu dans le numéro 10.

 

En France, les rééditons arrivent dans le désordre, sans respect pour la chronologie d'origine publiée aux États-Unis. On y trouve pèle mêle Hubimor, Lubbers, Lhéti ou encore Hogarth ; cependant l'ancien Rex Maxon et le nouveau Joé Kubber en sont regrettablement absents.

 

Pour le film américain Les Dents de la Mer, que nous n'avons vu que tardivement et sur écran de TV à l'aide d'une cassette louée ou prêtée, qu'en dire sommairement ? Que c'est un film d'une misogynie assumée dans le grand bâillement d'un « vagin denté » perceptible entre les deux mâchoires d'un requin exposé en trophée de chasse ? Toute misogynie allant avec l'homosexualité secrète ou militante, le battement des quatre pieds des deux hommes survivants filmés en vue arrière pendant qu'ils s'éloignent du dangereux « vagin denté », n'est il pas le signe d'un accomplissement sodomite récompensant d'avoir triomphé contre les mille dangers incarnés par la femme ?

 

Doc JIVARO

 

15/12/2014

Enfin ! pas trop tôt !

HOLLANDE

inaugure un musée de l'immigration

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