31/01/2016
Impasse des passes n° 33
- T'avais raison c'est un chiant !
- T'étais prévenue ! moi je ne le passe plus. Dès comme lui, n'en faudrait pas.
10:29 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Impasse de l'aller-retour, Moeurs, Nocturnes en ré | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution parisienne, prostitution populaire, vie nocturne
10/01/2016
Impasse des passes n° 28
Il se laisse embarquer. Il ne va pas faire long feu.
10:07 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Moeurs, Nocturnes en ré | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution parisienne, prostitution populaire, vie nocturne
Impasse des passes n° 27
Se l'étant envoyé sans complication, elle le poussa vers la sortie, sortant après lui tout en démêlant de ses dix doigts sa tignasse pas shampouinée depuis une semaine
10:05 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Impasse de l'aller-retour, Moeurs, Nocturnes en ré | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution parisienne, prostitution populaire
27/12/2015
Impasse des passes n° 24
12:46 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Impasse de l'aller-retour, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, vie nocturne, prostitution populaire, prostitution parisienne
06/12/2015
Impasse des passes n° 21
Le type terminait sa cannette de bibine avant d'aller se faire voir et avoir chez Lydia.
Il existe, dit-on, la fidélité conjugale. Il existe aussi la fidélité de certains clients auprès de telle ou telle gagneuse.
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29/11/2015
Impasse des passes n° 20
- Des comme lui sont pas longs à lessiver !
Ni P… ni moi n'aimions cette réflexion venue de Lydia. Et, de son côté, Lydia commençait à s'agacer d'avoir accepté de nous laisser les clés du studio en son absence.
- Merde ! Les gars ! Trouvez-vous un endroit où pieuter.
P … venait de se faire jeter en dehors des cartons d'emballage du sous-sol de La Samaritaine ; et moi fallait que je quitte d'ici la fin du trimestre la chambre sans chauffage que je louais dans Puteaux.
Ça me fait toujours des souvenirs de jeunesse, vous me direz.
15:35 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Blog, Impasse de l'aller-retour, Moeurs, Nocturnes en ré, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution parisienne parisienne, prostitution populaire, vie nocturne, sexualité, moeurs parisiennes