13/07/2015
Bruxelles 2015
Parlement européen
EXPO
ART GREC ANTIQUE
10:01 Publié dans Actualité, Arts, Consommation, Dessin humoristique, Histoire, Media, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dette grecque, parlement européen, drachme, alexis tsipras, grexit, bruxelles
12/07/2015
Impasse de l'aller retour n° 55
Elle avait l'oeil, Lydia.
En même temps que nous bavardions, elle repéra un bonhomme que je n'avais pas vu s'approcher.
- Ah ! te revoilà ! viens encore, je te fais gentiment comme l'autre jour.
10:27 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Impasse de l'aller-retour, Moeurs, Nocturnes en ré, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution parisienne, prostitution populaire, sexualité, vie nocturne, vie parisienne
Impasse de l'aller retour n° 54
Gloria ? Elle ne fatigue jamais sur le boulot.
10:23 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Brèves du trottoir, Impasse de l'aller-retour, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution parisienne, prostitution populaire, sexualité, vie nocturne, vie parisienne
11/07/2015
Les Tarzanides du Grenier n° 117
Dès la naissance d’une carrière appelée à devenir prestigieuse, PELLOS est sollicité par Robert Offenstadt pour participer à la création d’un tout nouveau journal illustré visant une clientèle de jeunes gens. Il s’agira de JUNIOR, quatre pages géantes de BD hebdomadaires importées d’Amérique du Nord. On est alors en 1935. PELLOS assurera la présence française au milieu des produits étrangers de haute tenue : Tarzan, Alley Oop, Red Ryder, etc. Outre FUTUROPOLIS, il créera un Jean-Jacques Ardent au moment de la déclaration de guerre lancée par la France à l’Allemagne. La bande dessinée jouait ainsi son rôle, trop modeste il est vrai, de soutien auprès d’une armée cocardière quelque peu obsolète en face d’une Wehrmacht moderne et revancharde.
Les professionnels de la mémoire BD présentent fréquemment des extraits de futuropolis… par contre, Jean-Jacques Ardent demeure presque toujours comme quantité négligeable. C’est donc par esprit de contradiction que nous présentons, ici, un fragment paru dans le numéro 200 de JUNIOR en janvier 1940.
Pendant l’occupation allemande du pays de Pierre de Coubertin, PELLOS continua son œuvre. Il travailla principalement dans ROBINSON, hebdomadaire doté de huit pages et publié à Nice. D’autres français travailleront en sa compagnie : Pierre Billon, Pommert, Max André d’Azergue… Pommert mériterait d’être redécouvert.
Avec Compagnon MICHEL, Pellos conforte sa position d’auteur de BD où le sport tient une place essentielle. Et, dans ce cas, c’est l’alpinisme qui occupe le terrain, c.a.d. la montagne.
À cette époque, Pellos dut faire une concession aux directives politiques énoncées par le gouvernement du Maréchal P. dans le domaine des journaux populaires. Cette concession consistait à renoncer à utiliser des bulles et autres fumettis dans lesquelles et sous l’influence américaine, étaient enfermés les paroles, les dialogues des personnages.
Contrairement à plusieurs de ses collègues français en BD, Pellos ne fut pas inquiété par une épuration gaullisto-communiste appliquée après la disparition de la Kommandantur et de ses collaborateurs trop zélés. Il continua son art de plus en plus spécialisé dans les séries sportives : le ski, la boxe, le cyclisme, le football. Toutefois l’escrime et le tennis n’attirèrent pas le style magistral de son graphisme aussi hâtif qu'enthousiasme.
Dans Zorro, : Et vlan ! prend ça dans la tronche ! Tricheries, calomnies, dopages, rancunes et menaces de mort, Pellos ne nous épargne rien du monde « vertueux » des sports en tout genre.
Aujourd’hui, les BD ne sont guère publiées que sous la forme d’albums périodiques. C’est dire que le scénario et le dessin sont entièrement complets lorsque l’histoire est mise en vente par l’éditeur. Tel n’était pas le cas pendant les décennies passées de notre jeunesse, celle de mon père et la mienne. En bas de page, le récit portait la mention « à suivre ». Les dessinateurs travaillaient souvent une planche hebdomadaire sans réellement prévoir quel aspect ils donneraient à celle de la semaine à venir. Parfois un problème social rendait momentanément impossible la livraison de la planche à l’imprimerie – grèves SNCF ou encore grèves des services postaux. - Mais reconnaissons que de tels manquements restaient rares, très rares.
Il y eut le cas d’une absence quelque peu spéciale survenue à PELLOS lui-même.
Chapeautés par cet article édité dans le numéro 47 de la Nouvelle Série de ZORRO, année 1953, les derniers mots de notre commentaire seront pour rappeler que Pellos reçut le prix d’Angoulême en 1976.
Docteur Jivaro
18:22 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Media, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pellos, robert offenstadt, red ryder, robinson, zorro, futuropolis, bd, bandes dessinées anciennes, bandes dessinées de collection
05/07/2015
Impasse de l'aller retour n° 53
- J’aime autant vous avertir de ne pas chercher à jouer au macho pendant la passe avec Marion !
11:28 Publié dans Arts, Aux bonnes heures des dames, Blog, Brèves du trottoir, Impasse de l'aller-retour, Moeurs, Nocturnes en ré, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution parisienne, prostitution populaire
Impasse de l'aller retour n° 52
La Retraite des Blanches, année 2005
Brigitte :
- En ce moment, ils sont vachement énervés, les mœurs ! Trois fois aujourd’hui qu’ils me contrôlent devant l’entrée alors qu’eux et moi on se connaît depuis au moins deux ans. T’as une idée, toi, qu’explique ?
Alexandra :
- C’est parce que tu n’es pas chinoise ! Si tu l’étais, ils te ficheraient la paix. Regarde Boulevard Bonne Nouvelle : les immigrées citronnelles s’étalent toutes bien visibles sans être emmerdées par la police de Sarko.
Brigitte :
- Bon ! Alors je vais arrêter le sandwich jambon-beurre-cornichons, et me taper un bol de riz à midi. Comme ça, les keufs me laisseront p’t’être tapiner peinarde. Quel monde hein ?