17/02/2021
Ce jour
Affaires familiales
19:48 Publié dans Montluçon | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bar zing de montluçon, doc jivaro, tarzanides du grenier, montluçon
02/02/2021
Grâce à la Covid-19 ...
15:33 Publié dans Actualité, Blog, Consommation, Dessin humoristique, Médecine, Moeurs, Montluçon, Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : covid-19, mettre du crêpe à son habit, se mettre en deuil, crêpe de deuil, crêpes de la chandeleur
13/01/2021
Tarzanide n° 476
D'ARTAGNAN n'a pas épousé Milady
Pour faire réponse a un commentaire signé de Sabrana au sujet de notre Tarzanide n° 475.
A moins que notre Gascogne provinciale ait été envahie puis exploitée par la turquerie musulmane, Monsieur de Artagnan ne se compta jamais parmi les arméniens ; même lorsque Louis XIV Roi Solaire invita « Le Grand Turc » dans Versailles arrosé de toutes ses fontaines.
En revanche, oui, Montluçon se rapporte bien à D'Artagnan puisque celui-ci ayant procédé à l'arrestation de Nicolas Fouquet surintendant des finances, cette arrestation obligea l'épouse et la mère de Fouquet à se réfugier dans notre ville pour la période de 1664 à 1674. C'est pendant cette période que les deux dames firent aménager une des tours de l'enceinte de notre cité, tour aujourd'hui appelée TOUR FOUQUET.
Lorsque j'étais adolescent le journal quotidien « Le Centre Républicain » édité à partir de Montluçon publiait chaque jour, en bas d'une de ses pages, une bande dessinée à suivre de qualité américaine : Rip Kirby signée d'Alex Raymond. Et ce ne fut pas la seule participation de notre ville à l'Art de la BD puisqu'en 1959 messieurs Charles Courtaud et René Ribière, du « Centre Républicain » contribuèrent de façon définitive au capital qui allait donner naissance au prestigieux titre. PILOTE, ce dont se souviennent Asterix, Obelix et Michel Tanguy.
Bon souvenir à Sabrana.
Doc Jivaro
17:20 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Grenier de la BD, Histoire, Moeurs, Montluçon, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rip kirby, charles courtaud, rené ribière, d'artagnan, surintendant fouquet, tour fouquet montluçon, bandes dessinées de collection, doc jivaro, bar zing de montluçon
10/01/2021
Tarzanide n° 475 du 10-01-2021
LA PROTÉGÉE DE D'ARTAGNAN
Regardons … Mieux encore : apprécions. De cape et d'épée, la lame traverse de part en part l'adversaire. On n'est pas ici pour faire semblant. On est en 1945, un mort est un mort. Les éditions S.A.E.T.L.E. dans Paris outragée mais libérée publient LA PROTÉGÉE DE D'ARTAGNAN, une version scolaire venue après les « Trois Mousquetaires », ceux mêmes qui rendirent célèbre la famille Dumas père et fils.
Une telle illustration pour la jeunesse, montrant comment occire un ennemi n'était plus possible à éditer en France pendant la quinzaine d'années qui suivit le dessin ci-dessus signé de Le Rallic. Celui-ci, page après page, avait à ses débuts toute liberté de montrer comment se débarrasser d'un voyou récidiviste. Un exemple confirmé par une seconde illustration ci-après. On les crève les saligots !
Le Rallic fut l'ami de Marijac dès avant que celui-ci donne naissance à plusieurs titres de journaux BD parmi lesquels les plus retentissants sont COQ HARDI, pour les garçons, et MIREILLE pour les filles (puisqu'à ce moment là la mode unisexe n'existait pas, le sexe masculin franchement distingué du sexe féminin, de quoi faire enrager la virago à moustaches de votre quartier).
Lorsque Le Rallic et Marijac devinrent complémentaires, tous deux travaillaient pour l'un des premiers journaux de BD français : PIERROT, chaque dimanche, en 1938. Le Rallic dessinait alors « Le réveil des sioux » pendant que Marijac inventait de façon humoristique « Onésime Pellicule ».
C'est ma grand-mère, qui n'était surtout pas une « mammy » américanisée, qui me ramena avec d'autres illustrés un lot acheté le dimanche matin sur le marché alimentaire de la Place Saint Paul de Montluçon.
- Tu ne sais pas bien lire encore. Ton grand-père te les lira le soir il n'a rien d'autre à faire.
Pépé m'en lut quelques passages, tenant le livre au-dessus de son assiette emplie de soupe chaude, pain et patates. « Tu n'as jamais été mousquetaire, pépé ? ».
Pépé avait parfois l'habitude, une fois son assiette redevenue creuse après plusieurs allers et retours de cuillère, de s'exclamer sur le ton d'un souvenir : encore une que les boches n'auront pas !
- Pourquoi tu ne t'enfuyais pas quand ça tirait partout en 14-18 ?
- Parce que les nègres tirailleurs sénégalais recevaient l'ordre de tuer tout soldat français qui essayait de sauver sa peau.
A propos, avez vous remarqué que les mousquetaires dans les romans populaires ne manient pas le mousquet mais l'épée ?
Doc Jivaro
15:56 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Education, Fanzine, Grenier de la BD, Histoire, Moeurs, Montluçon, Politique, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : le rallic, marijac, la protégée de d'artagnan, les éditions s.a.e.t.l.e, bd pierrot, alexandre dumas, tirailleurs sénégalais, bandes dessinées de collection, doc jivaro, bar zing de montluçon
17/10/2020
Tarzanides n° 456
Forcément, nos curés et nos abbés nous déconseillaient de regarder et de lire des récits imagés imprimés dans des journaux venus de la laïcité. Mauvaises lectures ! Dessins vilains ! Ils en dénonçaient surtout la violence. Et ils avaient bien raison. Tenez, par exemple :
Hein ! Quel manque de tact : offrir en guise de spectacle une telle cruauté aux petits enfants ! Sauf que …
… Sauf que ce fragment d'une bande dessinée a été prélevé sur la page 5 de l'illustré CŒURS VAILLANTS, n° 16 du 17 novembre 1946. Et que cet illustré était officiellement recommandé aux familles catholiques pour le divertissement de leur progéniture baptisée.
Pendant les années 1950 il arriva que les titres de journaux BD absolument réprouvés par les autorités Catholiques fussent placardés à l'entrée des églises. L'Abbé Pihan se faisait le grand inquisiteur répartissant nos illustrés entre les bons et les mauvais. C'était aussi lui le gérant de ce « Cœurs Vaillants » dont certaines images suggéraient le sadisme humain. Mais n'oublions pas qu'à ce moment là, pendant la messe du dimanche, les enfants que nous étions apercevaient au milieu du chœur, en face de nos yeux innocents, la figure d'un jeune-homme quasiment nu sculpté torturé sur une croix.
Mais ou donc les adultes vont-ils chercher leurs exemples du bien savoir-vivre ?
Doc Jivaro
17:47 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Education, Enseignement, Grenier de la BD, Journaux, Moeurs, Montluçon, Religion, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : coeurs vaillants, sadisme, religion, abbé pihan, éditions bonne presse, bandes dessinées de collection, bar zing, doc jivaro, tarzanides
21/09/2020
Charité bien ordonnée …
MÉDICALE JOURNÉE
R.A.S.
donc les anomalies auxquelles
nous sommes habitués
18:16 Publié dans Blog, Montluçon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bar zing de montluçon, doc jivaro, ryal