25/09/2020
France terre d'asile
20:24 Publié dans Actualité, Blog, Dessin humoristique, Journaux, Justice, Macron, Moeurs, Politique, Religion, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : attentat rue appert, locaux charlie hebdo, société premières lignes, cellule crise beauvau, al-quaïda, pakistanais migrant
23/09/2020
On n'est plus en mai 68
16:41 Publié dans Actualité, Blog, Dessin humoristique, Journaux, Justice, Media, Moeurs, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : drh charlie hebdo, marika bret, marika exfiltrée, ressources humaines charlie
19/09/2020
Tarzanides n° 450
Né peu avant la première guerre mondiale mon père ne connut pas pendant sa jeunesse BIBI FRICOTIN : il ne fréquentait que LES trois PIEDS NICKELÉS, un jour par semaine, dans l'illustré L’ÉPATANT, le premier vrai journal de BD du pays de Clémenceau. Les Pieds Nickelés et Bibi Fricotin nous viennent du même créateur Louis FORTON.
Bibi Fricotin fut d'abord édité dans LE PETIT ILLUSTRÉ mais les trois bandes que nous présentons ici sont sélectionnées dans l’hebdomadaire L'AS de l'année 1938. Leur dessinateur se nomme Callaud, lequel relaya Forton avant de céder à son tour la place à Lacroix. Sa disposition de la BD expose la transition entre les récits illustrés traditionnels et la bande dessinée proprement dite. Chaque image est soutenue par un texte pendant que les bulles contenant les paroles des personnages n'ajoutent pour ainsi dire rien de plus à la compréhension de l'histoire. Elles semblent même superflues. Aucun cadre linéaire ne limite chaque dessin, si bien que lorsque la coloration n'existe pas la bande dessinée semble s'absenter.
La Librairie Hachette entre 2017 et 2019 a réédité les 123 albums de la collection Bibi Fricotin.
Pour ce qui est de l'hebdomadaire L'AS, en son temps, il lui arrivait d'amuser ses jeunes lecteurs avec un humour tel que celui trouvé dans le numéro 82 d'octobre 1938.
Comme quoi nos ancêtres les français ne craignirent pas toujours le gros méchant loup.
Doc Jivaro
16:42 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Montluçon, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bibi fricotin, l'as, les pieds nickelés, le petit illustré, callaud, louis forton, société parisienne offentald, bandes dessinées de collection, bar zing, doc jivaro, tarzanides
16/09/2020
Y en a marre !!
16:30 Publié dans Actualité, Blog, Dessin humoristique, Journaux, Médecine, Media, Moeurs, Santé, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : covid-19, coronavirus recommandations, test nasal, santé et prévention, tests de dépistage
15/09/2020
Tarzanides n° 449
Savez-vous que … non ! Vous ne savez probablement pas qu'il arrivât que TARZAN figura imprimé en tout première page de l'hebdomadaire SPIROU. Ce fut pourtant le cas - et pour une seule fois - dans la huitième année de parution du journal en son numéro 444 du 17 octobre 1946.
A cet instant là, TARZAN était dessiné par Rubimor en remplacement de Hogarth démissionnaire de n'avoir pas obtenu une augmentation de paiement à juste titre demandé. La planche BD ci-dessus appartient à l'épisode Tarzan et le vieux sorcier (23 juin 1946).
SPIROU publiait aussi les exploits de SUPERMAN, lequel portait aussi pour appellation : « MARC COSTA, Hercule moderne ». Les séries américaines de grand renom réussissaient leur retour en Europe de l'Ouest comme une des conséquences de la victoire armée des alliés contre l’hégémonie nazie. RED RYDER et BRICK BRADFORD, eux aussi, réapparaissaient devant le regard des petits français.
Doc Jivaro fait aussi des commentaires sur Bibi Fricotin, Les Pieds Nickelés, voire Bécassine et même Nounouche la petite ourse. Moins souvent qu'à propos de ce TARZAN dont la présence plus fréquente se justifie par le titre de la rubrique : Les Tarzanides. Voilà ce que signale au plus fidèle de mes lecteurs.
Doc Jivaro
16:22 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tarzan, spirou, rubimore, red ryder, bandes dessinées de collection, bar zing, doc jivaro, tarzanides
12/09/2020
Tarzanides n° 448
Lorsque l'anglais Darwin énonça des liens de parentés entre le singe et l'homme, d'aucun s parmi ses contemporains préférèrent s'en moquer. Toutefois le plus grand nombre des civilisés s'en offusqua bruyamment. Les traditions religieuses refusaient tout héritage entre l'humain et l'animal. Mais voyez-vous, aujourd'hui, c'est un phénomène plutôt bien accepté chez nous que d'avoir pour ancêtre l'animalité, la génétique excluant le « chaînon manquant » qui longtemps servit d'argument à ceux qui veulent exclure toute animalité à quatre pattes dans le bipède pieds nus auquel ils attribuent une valeur métaphysique en le qualifiant « être humain ».
Le romancier E.R. Burroughs ne s’embarrassa d'aucune subtilité spirituelle lorsqu'il écrivit son roman TARZAN OF THE APES en 1914, inventant ainsi un homme fier d'être assimilé à un grand singe. Qui mieux est : un homme blanc. Plus fort encore si possible : un aristocrate : Lord John Greystoke.
Personnellement, je me fiche bien d'être comparé à un singe dans une conversation un peu vive et je ne vais pas porter plainte parce qu'un caricaturiste me fait grimper ou descendre d'un arbre mais je doute qu'une femme libérée accepte que je dise d'elle qu'elle est guenon lorsqu'elle singe l'homme dans ce qu'il a de moins brillant. Qu'en pense la monsieur Muriel Robin ? … AÏE !… J'ai retrouvé dans le numéro 227 de l'hebdomadaire TARZAN, année 1951, l'image que je vous présente ci-dessous.
Comme quoi un homme comparé à un singe peut parfois régner sur des hommes.
Attention les yeux !
Doc Jivaro
18:05 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Media, Moeurs, Politique, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : tarzan, del duca, editions mondiales, bob lubber, darwing, bandes dessinées de collection, bar zing, doc jivaro, tarzanides, guy deluchey