21/09/2025
Tarzanides n° 659
Svastika / Sauvastika
Sur votre TV (avez-vous terminé d’en payer le crédit ?) Sur votre TV branchez vous sur ARTE pour capter le film intitulé : L’Aigle s’est Envolé. Oui, un film réalisé par STURGES et c’est bien ça : en 1976.
“On” veut kidnapper un enfant d’une soixantaine d’années : Winston Churchill. Mais qui donc “on” ? Hitler et ses sbires qui souhaitent qu’un tel enlèvement remette de la mentalité guerrière dans le populo allemand démoralisé par les bombardements venus de la perfide Albion.
J’ai lu que le public aimait bien la présence de Michael Caine ... D’aucuns prétendirent à l’époque que ce Caine pouvait faire oublier Sean Connery. « Personne ne peut faire oublier ces conneries ! disais-je à une adolescente de Montluçon pour la taquiner. Elle allait bientôt remplacer Connery par Claude François. Mais pour ce qui est du film interprétant la mésaventure des nazis échouant en Angleterre dans leur complot contre Churchill, je dois dire que mon épouse et moi n’y avons pas reconnu les mercenaires dépendants du commandement nazi. En fait, rien dans les uniformes ne rappelle fortement la particularité du National Socialisme Hitlérien. Les drapeaux, les affiches, et jusqu’aux brassards frappés d’une Swastika (à l’envers) n’existent pas dans tout le déroulement du film. Nous avons été choqués par une telle absence.
Toutefois étant donnée ma connaissance BD publiées dès après la fin officielle de la Seconde Guerre Mondiale (bientôt la troisième) je n’aurais pas dû être étonné du parti pris consistant à supprimer toute croix gammée cinématographiques : les bandes dessinées de mon enfance m’y avaient habitué. Le magazine COQ HARDI par exemple, en 1947, et dans sa série Colonel X consacré au maquis français, ne dessina aucune croix gammée.
Mais achtung ! achtung ! Nos BD prirent du retard avant d’imprimer une croix gammée sur une de leurs pages. La preuve : zieutez la couverture ci-dessus signée de Brantonne. L’officier allemand a beau avoir un monocle vissé sur l’œil gauche il lui manque le brassard portant l’emblème suprême : la svastika. Et tout le petit journal de 36 pages en est démuni malgré l’omniprésence des fridolins nazifiés.
Existe pourtant une exception pendant toute cette période d’auto censure pratiquée par les éditeurs : l’exception c’est encore le célèbre MOUCHOT qui signait CHOTT, la victime la plus courageuse des maniaques catholiques et communistes de la Loa de Juillet 1949.
FANTAX n° 22, année 1947
Cependant Mouchot – Chott fut astucieux sur ce coup : il fit dessiner la fausse croix gammée en giration inverse de la croix nazie. Cela dit je laisse les spécialistes de l’existence multimillénaire discuter des croix gammées tournant de droite à gauche ou de gauche à droite ... Me semble même me souvenir que l’observateur attentif peut en pressentir une dans un carrelage de l’Opéra Garnier. Rappelez vous la visite matinale précipitée par Adolph.
On peut plaisanter, non ?
Enfin dans nos bandes dessinées il fallut quasiment attendre le terme des années 1950 pour qu’apparaissent résolument des croix gammées en couverture. Ci-dessous la petite BD de poche Battler Britton n°9, année 1959 : Sur la carlingue du champion anglais, pendant ˜ Le Grand Cirque ”, la comptabilité des avions nazis détruits.
Et la plaisanterie qui n’en est pas une c’est le rôle de l’agent de la gestapo vêtu en civil dans le film de Sturges : il semble l’unique personnage sympathique parmi les acharnés assassins qui l’environnent. Première fois pour moi d’observer dans une œuvre un gestapiste rendu fréquentable.
- Eh ! Bar Zing, nous ne sommes plus en 1947, nous sommes en 2025. Parle nous plutôt de la reconnaissance par Macron, demain, d’un État Palestinien.
- Souhaitons qu’une telle signature ne légitime pas historiquement une prise de pouvoir religieuse par le Hamas.
Doc Jivaro
18:20 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Film, Journaux, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bd fantax, mouchot chott, opéra garnier, bd junior espionnage n° 23 année 1952, paul mystère, michael cain, l’aigle s’est envolé
14/09/2025
Tarzanides du grenier n° 658
A COUTEAUX TIRÉS
Un coup d’œil désinvolte sur ces deux vignettes ci-après peut faire croire qu’elles sont identiques l’une l’autre.
- On voit tout de suite que les couleurs ne sont pas les mêmes. Le dessin, oui.
Justement non, le dessin n’est pas le même, les images pas du tout jumelles. C’est bien un unique personnage mais dans l’image à gauche il semble se préparer à lancer un coup de poing. Cette illusion tient au fait qu’un objet, mieux encore : une arme a disparu. Le couteau, le poignard a été victime de la censure. Une censure se voulant française, celle infecte datée de juillet 1949. Apprécions à présent l’image d’origine américaine, ici située à droite. Elle fut publiée en 1950, le 18-06. Les adultes comme les enfants de mon cousin d’Amérique étaient libres de saluer le talent de Burnes Hogarth, donc la liberté d’expression dans les bandes dessinées. Tel n’était pas le cas pour nous autres écoliers du pays de l’Abbé Pierre et de Maurice Thorez : quelque trois mois après celle américaine, la publication en France de TARZAN du 7 octobre 1950 sur la page première de son numéro 211, exposait comme une mutilation rituelle : le couteau disparu, escamoté.
Si dans certaines sociétés inspirées de l’Islam, on offre à l’adolescent un couteau pour l’honorer de son entrée dans le monde des adultes, ce n’est pas du tout le cas en France dans une société démocrasseuse où un juge peut renvoyer en prison un homme âgé qui vient de blesser un des cambrioleurs de sa maison.
Lorsque j’eus l’âge de treize, quatorze ans, je me souviens m’être souvent promené dans Montluçon et ses environs (à bicyclette) sans oublier de placer un couteau à cran d’arrêt dans la poche arrière d’un de mes premiers blue-jeans. Jamais je ne m’en suis servi pour causer du mal, tout au plus pour tailler des crayons de couleurs. C’était une mode commode entre copains. Ainsi, avoir un couteau caché équivalait à une confidence intime entre nous, à ne pas exhiber devant les voisins. Les quelques affrontements que nous avions se limitaient à tordre des bras ou jeter par terre l’adversaire. Nos rivaux, nous les rencontrions aux abords du Canal de Berry ... Plus rarement du côté des anciennes Cités des Usines Dunlop.
- Et pourquoi ?
- C’est qu’il y avait du trèfle.
- Du trèfle ?
- Comprenez : de la fille accessible.
Cependant nous n’étions pas des fous et je ne me suis jamais mesuré à l’un des types de la bande à Pépito (vous vous souvenez ?) On ne le connaissait que trop lui et ses gaillards qui allaient fréquemment emmerder les petits bals populaires de la Creuse. De vieux habitants de Parsac – La Chapelle peuvent encore s’en souvenir, d’autant qu’il y avait des affaires autrement plus graves que de casser trois quatre verres dans une salle de danse.
Tenez : n’y a pas que le couteau qui disparaît dans les BD "à la française". Les revolvers aussi se volatilisent. Vérifiez sur l’image ci-dessus. Mais quel escamoteur a subtilisé le colt de Tex Willer ?
Bon début à vous, d'une semaine prochaine qui s'annonce d'un final douteux.
Doc Jivaro
17:55 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tarzan, burnes hogarth, loi juillet 1949, tex willer, bd rodéo 1956
06/09/2025
Histoire d'O ... qui faisait pschitt !!
17:04 Publié dans Blog, Consommation, Dessin humoristique, Grenier de la BD, Journaux, Media, Moeurs, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vichy ville d'eaux, prendre les eaux, bd et publicité perrier, bibi fricotin publicité perrier
31/08/2025
Tarzanides du grenier n° 657
Rivière sans retour
A cette minute où vous débutez la lecture de ce petit texte votre TV sur TCM Cinéma permet de voir ou revoir un film daté de 1954 : « Rivière sans retour ». Et si votre âge égale au mien alors peut-être appréciâtes-vous Robert Mitchum et Marilyn Monroe en duo dans ce pseudo western puisque le Canada n’est pas la conquête de l’Ouest.
Pour Mitchum mon adolescence le surnomma : « Le somnambule » puisqu’il me semblait avoir toujours les paupières mi-closes lorsqu’il marchait. Quant à Bertrand ... Pardon, j’allais dire quant à la Reine du sexy international : Marie Line elle ne pouvait prévoir, en 1954, qu’une Brigitte Bardot allait lui rivaliser le titre.
En février 1955 le film « Rivière sans retour » sous forme d’un résumé accompagné de quelques photos fut publié dans l’illustré bimensuel LE PETIT SHERIFF n° 113,114,115 et 116, publication sous la responsabilité de l’éditeur « SAGE ».
Petit Shériff, n° 116 de 1955.
Prix français : 35 frcs. Prix Canada 15 cts.
Le Petit Shériff était constitué d’une série BD d’abord paru dans l’hebdomadaire L’INTREPIDE depuis son numéro 1 en 1948. Vous connaissez les relations entre la bande dessinée et le cinéma, et cet hebdomadaire dépendant de Del Duca proposait a ses débuts à son jeune lectorat des films modifiés en bandes dessinées. Quelques exemples : Rocambole (Produit DISCIA), TUMAK (Édition Film Marceau) ou encore : L’Aigle des mers (de la Warner Bros.). Les dessinateurs en étaient Cazanave, Poïvet, Remy Bourlés. La décennie année 50 fut également riche en publications dites Romans-photos. Mais alors pourquoi les historiens spécialisés dans les relations entre la Bédé et le cinoche négligent-ils d’y adjoindre les romans-photos ? Probablement parce qu'hier encore les femmes étaient déclassées en deuxième position sociale et qu'ainsi leurs lectures de base n'étaient pas jugées sérieuses.
Page 2 du numéro 113 Page 36 du numéro 116 (1955)
Au moment de la sortie en France du film dont nous parlons, des copains et moi le vîmes dans le cinéma le plus haut perché dans Montluçon-Ville : Le Rex, cinéma aujourd’hui disparu. A ce moment là, notre cité comptait 5 salles de projection mais sans compter le cinéma dit "des Marais", lequel ouvrait sur une ancienne petite chapelle uniquement le dimanche après-midi : les adultes y étaient rares, tant mieux ! Et les Pères chrétiens qui le géraient semblaient pas choisir les spectacles en fonction d'une valeur religieuse.
Mais devinez un peu de quel personnage est signé cette Rivière sans Retour. De Otto Preminger. Oui : celui dont Louis Jouvet disait quelque chose comme : Ah ! Vous cherchez le colporteur d’accessoires ?
Bar Zing
17:56 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Cinéma, Fanzine, Film, Grenier de la BD, Journaux, Media, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marylin monroe, otto preminger, rivière sans retour, robert mitchoum, bd le petit sheriff, bd l’intrépide, del duca, bandes dessinées de collections
24/08/2025
Tarzanides du grenier n° 656
SUPER BOY
En 1949, l’Editeur Impéria donne le coup d’envoi d’un titre nouveau dans les domaines de la bande dessinée : SUPER BOY. Nouveau mais tout de suite contesté par l’instituteur en blouse grise : « Ce n’est pas du français ! mieux vaut écrire : super garçon ! Non ! Je voulais dire : garçon supérieur.
Vivement les dix minutes de récréation.
Collection reliée, n° 7
L’Editeur lyonnais Impéria n’était il pas imprudent ? La LOA de 1949 en juillet allait ravager les bandes dessinées de notre jeunesse : Les héros américains disparaissaient, les champions masqués ou trop costauds disparaissaient aussi etc., etc. A défaut de réussir politiquement à interdire le plan Marshall en France, le stalinien Aragon Louis se vengeait sur les concurrents BD de l’hebdomadaire du jeune Komsomol dans Montluçon, Place de La Poterie : VAILLANT, le journal le plus stalinisant.
SUPER BOY était alors l’un des tout premiers exemplaires de dimensions « Petit format ou format de poche ». Nos illustrés traditionnels s’ouvraient quasiment tous sur de grandes pages. (Reconnaissons une autre exception pendant la même époque : Caméra 34). Remarquablement diversifié dans son contenu, SUPER BOY permettait toutes sortes de lectures instructives : trucages de cinéma, rubriques du monde industrielle : une 4 CV toutes les 43 secondes. Elle roulait mieux qu’une trabant. Bien entendu les Bédés abondaient : Nylon Carter (Le bas nylon faisait disparaître la couture) et aussi, surtout, des séries humoristiques de l’italien Jacovitti ainsi que celles de Pol Brandt, trop oublié aujourd’hui. Et, surprise une rubrique « Marché aux puces » comme pour précéder tous ceux de ma génération qui allaient devenir plus ou moins des collectionneurs de « P’tits Mickey » comme les appelaient tous les adultes fiérots d’ignorer le monde des bandes dessinées.
Super Boy, collection reliée n° 13
pages 84 et 85 du mensuel n° 73
- Mais alors, votre SUPER BOY ne présentait aucun adolescent disposant d’une force surnaturelle justifiant de se prétendre, lui aussi, venu de Krypton ?
- Non ! Pendant quasiment une vingtaine d’années un champion nommé SUPER BOY n’existât pas dans ce premier Petit Format. Il fallut attendre les bousculades de Mai 1968 en France pour qu’un personnage baptisé SUPER BOY s’installe vraiment dans cette publication d’Impéria. Le dessinateur en était Felix Molinari, bien connu des jeunes lecteurs de GARRY, vainqueur américain pendant la guerre sur un océan qualifié de « pacifique ».
Super Boy, n° 331, année 1977
Bar Zing et Doc Jivaro ne collectionnent pas SUPER BOY mais, bien évidemment, tous deux acceptant un don généreux de votre part : les temps qui s’annoncent vont être terribles et vous devez penser à conserver bien à l’abri, en Suisse, vos piles de SUPER BOY.
Bar Zing
17:22 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Journaux, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : super boy, nylon carter, éditions impéria, felix molinari, jacovitti, bandes dessinées de collections
14/08/2025
Tarzanides du grenier n° 654
Tartine Mariol
Haute massive la Porte Blondel devrait pouvoir se dire : ce bld Bonne Nouvelle est trop étroit pour que j’y circule à mes aises.
Ce n’était pas notre réflexion à nous deux, un jeune bédéiste et moi qui marchions en direction de Drouot, histoire de ne pas rater le dernier métro. C’était presque minuit mais les noctambules ne manquaient pas ... Un petit groupe d’ombre s’était formé sur le trottoir de droite dans notre direction. Deux jeunes femmes (étudiantes ?) proposaient à la criée un nouveau petit journal dont le titre ne revient pas à ma mémoire. Était-ce « Macadam » ? Ce mot aurait convenu étant connu la présence de prostituées dans le quartier. Malgré que les Halles « Ventre de Paris » aient été transbahutées à Rungis, les filles du jouir continuaient leur besogne en pratiquant les 3 X 8 (ça fait 24 heures camarades travailleurs).
Et justement les deux jeunes colporteuses incitaient à vaincre l’exploitation de la féminité par et pour les sales bonhommes égoïstes. C’était de ça dont parlait leur petit journal. De quoi bien faire rire le romancier créateur du Commissaire Maigret : Lui, Simenon, il connaissait très bien la pêche aux poissons en eau trouble : maquereau, morue, hareng.
- Même dans les bandes dessinées les morues sont présentes maintenant que les BD sont destinées aux adultes. Avant, lorsqu’il s’agissait de la traduction en français de séries américaines, ces dames capiteuses étaient supprimées dans les images lorsque ce n’était pas les images toutes entières qui disparaissaient.
Voici approximativement ce que raconta mon jeune élève, qui s’attira je ne sais plus quelle remarque terminée par ces mots : d’ailleurs nous ne lisons pas de BD.
Cependant, peu après, une des « politiques » reconnut : ha ! Si, tiens : quand j’étais gamine je lisais MARTINE.
- Martine ? Ce n’est pas une Bédé c’est un texte avec des illustrations.
- On dirait des livres avec des demoiselles coquettes présentées à des pédophiles plutôt bons garçons.
- Ah ! mais je me suis trompée ! Je voulais dire TARTINE.
Bien sur : Tartine. La mémé Tartine. Assez gros succès dans notre pays comme en Italie d’où elle vient. Elle est maigre mais dotée d’une force herculéenne. Même Cassius Clay qui se faisait appeler Mohamed Ali, ne s’y frottait pas. Toutefois, Mémé Tartine est handicapée par un point faible, un « talon d’Achille ». Mais chez elle c’est un cor, un cor à l’orteil. Malgré que la nature préfère avoir des orteils au corps. Et à chaque fois qu’elle a mal à son cor, elle perd momentanément sa puissance de frappe.
Bar Zing ne collectionne pas TARTINE. C’est tout à fait par z’hazard que ses pattes ont dégoté Tartine entre une série d’anciens Roag et une pile de TINTIN grande du plancher jusqu’au menton que je dois à un ami voisin de notre ancienne maison de vacances dans Cusset.
Pour ce qui est du mythe grec d’Achille et de son talon, seule partie vulnérable de son corps, il se raconte que sa maman Thétis afin de le rendre invulnérable, le trempa presque tout entier dans les eaux du Styx. Hélas ! Elle le tenait par l’arrière d’un pied et cette partie se trouva non protégée contre les blessures mortelles. Vous remarquerez que cette dame des origines manquait de vigilance. Mais peut-être préférez-vous mon opinion : le seul vrai « Talon d’Achille » d’Achille s’appelait Patrocle.
Mon jeune élève d’Atelier BD ne manqua pas de signaler l’existence d’un certain petit garçon nommé Benoît Brisefer. Lui aussi, malgré sa culotte courte, possède une force extraordinaire sauf ... Sauf lorsqu’il est incommodé par un rhume.
- Oui et c’est PEYO qui le créa. Reconnaissons que le même PEYO se montra plus inventif avec les ... Schtroumpfs (j’avoue avoir copié l’orthographe sur le web).
- Comme quoi le monde des bandes dessinés pullule de nains, de gnomes, de Tom-Pouce et autres lilliputiens. On y trouve même un potier.
- Un potier ?
- Oui, tu sais bien : BEDONUS que j’ai créé en 1982 en observant un petit tonneau ventripotent, pas plus haut qu’une table basse, dans l’un des ateliers de l’ADAC.
Bar Zing
18:18 Publié dans BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Media, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tartine, benoît brisefer, peyo, giulio chierchini, tartine mariol, bandes dessinées de collections













