Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/02/2025

Tarzanide n° 628

A d'anciens voisins Lépineux

 

Et vous n’eûtes rien de mieux à faire, hier, samedi 1er février, dès potron-minet, que de réussir un aller-retour entre Montluçon, la ville, et Domérat, le village. Rien. Sinon re-constater que toutes les rangées de vignobles auxquelles votre enfance coupa les grelots muets, demeuraient pour toujours disparues.

 

- Tu reconnaîtras le bâtiment ?

- Tu le reconnaîtras toi-aussi. Ça fait quand même une vingtaine d’années à peu près qu’on y vient à cette même date.

 

Devant nous, à l’arrivée, un des trois types qui nous indiquaient une place libre entre deux bagnoles à l’arrêt, s’exclama : Elle a réussi du premier coup ! … Effectivement ma régulière venait de s’arrêter pile-poil entre deux carrosseries. Un peu plus loin de nous, un autre véhicule se tenait immobile : son capot était encore chaud pour tiédir une épaisseur de neige étrangère à notre région.

 

- Lui, il doit débarquer de Clermont !

 

Quant à nous, entre Montluçon et Domérat, nous avions roulé pendant que le jour peinait avec son aube à éclaircir la nuit.

tarzan mensuel année 1951,brocante domérat,bandes dessinées de collection,bar zing,doc jivaro,tarzanides du grenier

En entrant dans la salle Albert-Poncet, les stands finissant de s’installer, je compris tout de suite qu’étant donné mes collections, j’aurais été mieux inspiré de rester couché ce matin entre ma chatte et celle de notre voisine … N’imaginez pas la dedans une blague vulgaire : Notre nouvelle voisine possède vraiment un petit félin sur quatre pattes et nous aussi.

 

Rien de rien pour moi Salle Albert-Poncet.

 

Mais Marie-France s’intéressa à un dessous de plat rectangulaire représentant un Petit Beurre LU bien plus grand que nature. Pendant qu’elle en discutait le prix, je remarquais un exemplaire BD de l’année 1951 et s’intitulant TARZAN. Rien que ça ! Impossible de ne pas voir qu’il était grossièrement déchiré sur toute son épaisseur … J’en demandais le prix … « C’est votre dame qui m’achète le Petit Beurre LU ?… Alors je vous donne ce TARZAN avec toutes ses dents cassées ».

 

tarzan mensuel année 1951,brocante domérat,bandes dessinées de collection,bar zing,doc jivaro,tarzanides du grenier

Ce n’était pas un cadeau mais je vais vous dire : Lorsque comme moi on est en fin de vie et qu’on se trouve encombré de toutes sortes de paperasses illustrées, on apprend à collectionner non plus des journaux intacts mais des journaux anciens endommagés, par toutes sortes de supplices que des enfants ingrats leurs infligent quand l’adolescence les rend fiers de ne plus être des marmots.

 

Ce numéro mensuel de 16 pages dont 15 imprimées noir et blanc de l’année 1951, ne fait que reprendre l’aventure où s’affrontent TARZAN et la Reine MERALA dans les parutions colorées hebdomadaires l’ayant précédé jusqu’à son n° 201. Quatre pages centrales sont manquantes. Avec la déchirure déjà signalée cette exemplaire ne vaut plus rien. Même s’il nous permet de détecter une censure caractéristique de la Loi 1949 à ses débuts. Vérifiez ça ci-dessous.

 

tarzan mensuel année 1951,brocante domérat,bandes dessinées de collection,bar zing,doc jivaro,tarzanides du grenier

A gauche : Image, année 1951 : l’épée à disparu

A droite, même image : observez bien : on peut voir la ligne noire suggérant l’endroit où fut supprimée l’arme.

 

Tarzan vient d’être jeté à terre par ses ennemis. Remarquons en haut à gauche de l’image que le poing d’une main apparaît à peine visible en partie cachée sous un texte. N’importe quel gamin devine que ce poing fermé, presque dissimulé en totalité, tient une arme en forme de glaive qu’il pointe vers la gorge du héros. Cette arme a disparu. Le censeur s’est ensuite donné la peine de tracer la partie des jambes qui disparaissait derrière la forme de l’arme. Mais dans une autre version, en couleur celle-ci, que je garde, il y a un tracé au crayon probablement venu d’un enfant qui n’a pas été dupe du tour de passe-passe.

 

Nous ne sommes donc pas rentré bredouilles quoiqu’à présent ma chère et tendre, se demande bien ce qu’elle va pouvoir faire de ce grand dessous de plat « Petit Beurre LU » sur lequel on peut toujours faire osciller l’énorme soupière dont nous avons héritée de défunte Tante Ursule.

 

Bar Zing

30/12/2024

Tarzanide n° 626

ET EDGAR RICE BURROUGHS 

CRÉA TARZAN

 

tarzan n°9,1947,éditions hachette tarzan,dessins hogarth,bandes dessinées de collection,tarzanide,bar zing

 

 

Le premier janvier 2025 s’approche à pas de loup vers la bergerie …

 

Lorsque j’étais gamin le jour de l’an nouveau, les cousines et les cousins occupaient notre maison modeste qui paraissait s’être réduite à une table ronde garnie de gâteaux en tous genres et de bouteilles d’alcool d’hiver.

 

- Tous nos vœux, bonne nouvelle année, à toi aussi ma vieille. Comment vont tes jambes ? … Et Octave, il n’est pas ici ?

 

- Tu demandes ? Tu sais bien que pour le premier de l’an il va s’acheter des cigares dans le café Miscailloux. C’est le seul jour qu’il en fume des cigares.

 

Moi, le fils d’Octave, je m’étais préparé à remercier pour les cadeaux. Toute la famille avait tout de suite compris que je préférais les livres avec des images plutôt qu’une boîte de future viseur de boulons. La fameuse boîte « Meccano ».

 

- Christian, tu dis bonjour à ta petite cousine.

 

- Ma petite cousine ? Tu parles elle avait encore grandi, plus âgée. J’avais tout de suite repéré ça en regardant l’arrière de ses jambes : il n’y avait plus de soquettes blanches. Une couture montait sur le mollet pour disparaître sous la jupe. Ça changeait tout.

 

Les livres s’entassaient sur le siège d’une chaise : « Vingt mille lieux sous les mers », « David Copperfield avec des images, Tarzan le Sauveur,  Robin des bois, Robur le Conquérant » … C’était surtout de la Collection HACHETTE.

 

- C’est pas Tarzan Le Sauveur ! C’est Jésus Christ.

 

Ma cousine se croyait ainsi maligne de mettre les points sur les i. Elle ne manquait jamais la messe du dimanche matin, elle et ses parents.

 

tarzan n°9,1947,éditions hachette tarzan,dessins hogarth,bandes dessinées de collection,tarzanide,bar zing

 

Tout neuf, tout beau. Daté de 1947, n° 9, d’une collection terminée en 1953. Et comme en 1947 je n’avais tout juste que cinq ans et que je ne lisais pas encore couramment, j’entendis mon grand-père, père de mon père, lancer pour plaisanter : Et c’est moi, Bibi, qui vais encore être de corvée le soir pour lui lire cette histoire.

 

Vous n’allez peut-être pas le croire mais j’ai gardé quelques pages rudement malmenées par la suite, de cet album qui me fut offert un premier janvier 1947. Tenez, vérifiez.

 

tarzan n°9,1947,éditions hachette tarzan,dessins hogarth,bandes dessinées de collection,tarzanide,bar zing

 

Et voici, survivant rescapé, le tableau de chasse de mes années de petite scolaritée : taillé en morceaux, dépecé, des pages disparues, des découpages, des dessins décalqués avec ou sans papier carbone, ça saigne partout, etc., etc. ... l'étal d'une boucherie. Les enfants sont terribles par une imagination qu'ils cachent dans leur lit réchauffé par une chaleur corporelle de moins en moins innocente.

 

Bar Zing

 

22/12/2024

Tarzanide n° 625

LE CHEVAL TOPPER 

L'HOMME HOPPY

 

La semaine précédente, ma légitime et moi, avons regardé un western de 1959 intitulé : « Le Bourreau du Névada ». Peut-être un film psycho plutôt que pan ! Pan ! les coups de revolver sans aucun recul. J’ai compté le nombre de branches de l’étoile épinglée sur la chemise du jeune shériff : Six.

 

Névada-film-étoile.jpg

Le shériff du film

 

Cet insigne m’a remis en mémoire une BD qui connut un vif succès pendant la décennie des années 50 en France. HOPALONG CASSIDY, shériff de Twin River. Et j’en ai refeuilleté la collection pour constater l’étoile de HOPALONG compté tantôt cinq branches, tantôt six. Voyez deux exemples :

 

BD-Sheriff-étoiles.jpg

N° 33 du 1er mars 1954 : 5 branches – N° 103 du 1er février 1957 : 6 branches

 

Cette collection de l’Éditeur Impéria logé à Lyon fut publiée en trois séries successives. Les deux premières groupent jusqu’à 215 numéros. Mais la troisième de format plus petit et de 68 pages agrafées n’est colorée que sur sa première page. Elle a aussi pour particularité de recopier de temps en temps les dessins de telle ou telle couverture présentent dans les deux premières séries. Ainsi le n° 136 daté de 1957 reproduit-il tout paresseusement le visage souriant du n° 1, année 1951, d’HOPALONG CASSIDY.

 

hopalong cassidy,étoiles de sheriff,twin river,éditions impéria,bandes dessinées de collection,tarzanide,bar zing

 

Dans les bandes dessinées traditionnelles chaque images est séparée de la suivante par un intervalle parfois appelé gouttière. D’où une astuce de dessin permettant de donner l’illusion d’accelérer la vitesse entre deux mouvements l’un après l’autre. Constatez ça ci-dessous dans cette bagarre de boxe extrait du numéro 22 de CASSIDY, septembre 1953 : trois images possibles ont été réduites en une seule pour précipiter la succession des chocs. Ah ! J’en profite pour rappeler que la Loi odieuse de 1949, en France, prétendit aussi censurer les onomatopées, les bruitages, pléonasmes et autres borborygmes, patati, patata, dans les écritures destinées à la jeunesse de notre pays.

 

BD-Cassidy,-n°22,-1953.jpg

 

Bien que HOPALONG CASSIDY ne fut réellement célèbre en France, qu’à partir des années 50, sa naissance est de beaucoup plus ancienne que la mienne. Il fut inventé pendant l’année 1904 par le romancier Mulfort.

 

Quant à l’acteur incarnant Hopalong Cassidy il fit aussi une apparition dans un film américain en 1952 : Sous le plus Grand Chapiteau du Monde.

 

Sans blague ?

 

Sans blague ! !

 

Bar Zing

10/11/2024

Tarzanide n° 619

 

GIL … JOURDAIN

 

 

Je vous avais préparé une critique BéDé relative à …

 

- Et alors ?

 

- Et alors l’actualité politique entendue au hasard m’a incité à changer mon sujet comme ça, à l’improviste. Paraît qu’en ce moment d’aucuns se moquent de Jordan Bardella, politicien RN, à cause de son prénom. Jordan. Jordan ? Jourdain ? Allusion à une origine juive ? Je n’en sais rien et je m’en fiche.

 

Reste que si vous faites une randonnée dans l’ancien quartier parisien des Halles vous remarquerez que les anciens étals de boucherie, de fromage ou encore de fruits et légumes tous fortement animés en nocturne sont remplacés présentement par des boutiques ouvertes de jour et commercialement juives. Quelques unes peuvent afficher Jordan ou Jourdan, je ne me souviens plus.

 

Ce dont je me souviens par contre, c’est une BD publiée autrefois publiée dans l’hebdomadaire belge SPIROU : Gil Jourdan. Celle ci était due à Maurice Tilleux dès l’année 1956. Ce jeune détective est accompagné d’un vieil inspecteur appelé Crouton, sans doute inspiré par les Dupont et Dupond présents dans l’increvable TINTIN. Et si je connus bien SPIROU du début des années 50 c’est grâce à un jeune voisin prénommé Guy et dont le papa boulanger « tenait le quartier Beaulieu  (façon de parler) » en compagnie de deux autres commerces : le boucher et l’épicerie bistro. Le boucher, célibataire et vigoureux, venait de remplacer un ancien du nom de Lecoq, anciennement présent rue Championnet. Devinez un peu : lorsque les veuves pas trop vieilles et les vieilles filles encore un peu jeunes apprirent l’arrivée de ce nouveau tueur de cochons, toutes se découvrirent soudain un appétit fou pour le gros saucisson. A tel point qu’un jour le nouveau boucher s’amusa à raconter à trois ou quatre voisins, dont mon père : Elles viendraient me réveiller la nuit pour que je leur coupe une tranche de boudin ! 

 

Gil Jourdan et Crouton,Maurice Tilleux,Spirou année 1956,Jordan Bardella,,Tarzanide du grenier,bandes dessinées de collection,Bar Zing,Montluçon,

Crouton

 

Jordan, Jourdan, le près adolescent que j’étais n’en était pas étonné : A ce moment là Brigitte Bardot dans « La Mariée est trop belle » jouait à exciter, en porte-jarretelles, un jeune partenaire du nom de Louis Jourdan.

 

Gil Jourdan et Crouton,Maurice Tilleux,Spirou année 1956,Jordan Bardella,,Tarzanide du grenier,bandes dessinées de collection,Bar Zing,Montluçon,

Bardot, prénommée Brigitte

 

Quant au prénom Gil de la BD Jourdan, il passait dans le vilain pas beau quartier des anciennes halles pour un prénom allusif à de jeunes homos … Un matin dans Paris des années 70 comme j’attendais le premier métro, trois ou quatre jeunes noctambules arrivèrent rigolant entre-eux. Bon matin m’sieur ! qu’ils me firent pendant que l’un deux dirigeait son pouce vers sa bouche comme pour gober : je m’appelle Gil, monsieur. Je suis libre.

 

Les premiers pigeons du matin commençaient de picorer sur le trottoir déserté par les semelles de tous les clients du quartier.

 

Bar Zing

 

20/10/2024

Tarzanide n° 616

T'EN VEUX ? EN V'LĀ !

 

Depuis plus d’une année dans les grandes surfaces commerciales de France (et d’ailleurs!) MARVEL multiplie ses rappels publicitaires. Dans le domaine hétéroclite des BD il est le grand vainqueur quant à la création de « surhommes » plus ou moins héritiers du premier d’entre-eux : Superman ; et ça en dépit de la concurrence des mangas.

 

Car il a belle lurette (si j’ose dire) que le seul français capable de concurrencer les r’américains en ce qui concerne l’invention de supermen, a définitivement disparu, D.C.D. en 1967 : Pierre Mouchot. Effectivement, celui-ci était en compagnie de Marcel Navarro l’inventeur d’un grand cagoulard justicier : FANTAX dès 1946 et bien vite rival d’un Batman dans l’imagination des enfants d’alors.

 

Mais sans plus tarder passons à l’une des images publicitaires MARVEL.

 

BD-Marvel-Origines-couv..jpg

 

Si vous avez été jeune pendant les années 70 et au-delà vous les connaissez tous. Mais ce que vous ne savez peut-être pas c’est que par les grands mouvements de leur corps produisant des « raccourcis » de musculature ils proviennent du style d’un dessinateur de BD fameux quoique n’ayant jamais œuvré pour l’industrie Marvel : Burnes Hogarth dont le style ce développa en succédant à celui d’Harold Foster. Tenez, vérifiez ci-dessous, les attitudes «  à la Michel Ange » du personnage de romans puis de BD dont le nom est archi connu.

 

BD-Tarzan,-1950.jpg

 

Lorsqu’en 1981 je créai un atelier de bandes dessinées d’abord rattaché à la Mairie de Paris, les adolescents inspirés par les supermen r’américains n’étaient pas rares et deux d’entre-eux, dans ce domaine (STRANGE) méritaient particulièrement mon attention. L’un Bruno, l’autre Laurent et son COQ-ATOME.

 

Souvenirs, souvenirs.

 

Bar Zing

 

22/09/2024

Tarzanide n° 614

 

QUEEN of the JUNGLE

 

- Il ne tient plus en place !

 

Mes parents et moi rendions visite dans une petite épicerie de quartier, celle-ci tenue par un couple que je trouvais âgé : les Dubreucq. C’était alors presque incroyable pour moi qu’avec ma petite enfance montluçonnaise, je puisse être cousiné avec deux familles d’origine belge.

 

- Il ne tient plus en place je te dis, répéta mon père en s’adressant à maman. Donne lui 50 frs qu’il aille s’acheter un journal de guignols comme ça il se tiendra tranquille.

 

C’était vrai : depuis au moins deux heures que les adultes discutaient entre-eux ça m’avait donné comme des fourmis dans les jambes. Tout à proximité du commerce de ce couple de cousins, une boutique de Presse était ouverte : sa façade existe encore sur le trottoir de droite en direction de l’hôpital. Une bonne femme ne connaissant pas ma binette me surveilla de ses deux yeux en coin. Je feuilletai plusieurs petits bouquins jusqu’à en choisir un dont le titre : Youmbo ne m’était pas familier. Je venais de le sélectionner à cause d’un personnage féminin ressemblant à LA PANTHÈRE BLONDE : mais en se nommant SHEENA. Un poignard bien en main elle me paraissait plus violente encore, frappant, égorgeant, bref : elle était déjà « gore » avant que le mot se généralise dans le bac à sable des écoles.

 

BD-Youmbo-bandeau,-07-1950.jpg

 

Si je garde un bon nombre de fascicules « Panthère Blonde », en revanche je reste fort pauvre en « Sheena ». Aussi m’arriva t’il d’acheter le numéro 1 spécial, année 1985, lors d’un de mes déjà anciens allers-retours Montluçon-Paris. Cet exemplaire contient des images imprimées en 3 D et dont l’effet d’optique est obtenu à travers des lunettes bleu-rouge dites anaglyphes. Mais plutôt que des reliefs il s’agit surtout d’une simple illusion de plans superposés.

 

:sheena,youmbo,will eisner,rex maxon,impression anaglyphes,impression 3-d,tarzanide du grenier,bandes dessinées de collection,bar zing,montluçon

 

Sheena fut inventée par l’américain Will Eisner pendant l’année 1937 et quelques commentateurs écrivirent que SHEENA était inspirée par l’héroïne TARZELLA préalablement créée par un bédéiste trop souvent dénigré : Rex Maxon.

 

BD-Tarzella,-1946.jpg

2e trimestre 1946,  réédition tardive française

 

Chez nous tout un chacun sait que des personnages de BD peuvent devenir aussi des personnages de cinéma, lesquels demeurent moins nombreux que ceux de la BD. Mais dans le cas des héroïnes victorieuses dans des jungles fictives, il se peut que le nombre de films surpasse celui des titres dans les bandes dessinées. Prochainement et en nous inspirant du numéro 24 de la collection MONSTER – Bis du regretté Norbert Moutier, nous reparlerons de plusieurs de ces girls plus ou moins dénudées dans l'ombre des forêts où la férocité des hommes ne dérange pas les heures de digestion du grand boa.

 

Bar Zing