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17/11/2013

Aux bonnes heures des dames n° 29

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De façon générale, ils sortaient tous sans qu'elle eut à les raccompagner.

16/11/2013

Les Tarzanides du grenier n° 42

En 1958, le numéro 1 de JIM CANADA.


296 numéros suivirent, on se demande par quel miracle, malgré la courtitude et le banal d'histoires placées à la queue leu leu.


JIM CANADA disparut, en 1986 et ce fut aussi le cas de beaucoup d'autres BD « Petit format », lesquelles avaient commencé à pulluler dès après 1955. (Aujourd'hui je crois pouvoir dire que le titre SWING subsiste en solitaire, rescapé et dernier témoin d'une époque révolue).

 

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Plusieurs personnages de la police montée canadienne existèrent dans la bande dessinée. Le tout premier, leur modèle est loin d'être un modeste : KING qu'il se fait nommer. Donc, traduit « Roi de la Police Montée » dans les publications françaises. Il nous vint de l'Amérique pour être publié dans HURRAH (numéro 1, année 1935). Puis tranféré par l'Éditeur Del Duca vers le numéro 1 de l'hebdomadaire TARZAN, celui de janvier 1941.


Jim Canada fait vraiment piètre silhouette en présence des larges épaules de KING Roi de la Police Montée. C'est ce qui explique que, samedi prochain, le bon docteur Jivaro trouvera bien de la satisfaction à vous parler de l'illustre policier canadien inventé par le romancier Zane Grey et principalement dessiné par Jim Gary.


  

Bar Zing


10/11/2013

Aux bonnes heures des dames n° 28

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Et hop ! allez, avec elle, ils dégagent vite fait ! Toutes deux on se connaît depuis dix ans au moins. Mais elle n'est pas intéressante. Remarque qu'elle doit dire la même chose de moi.

Aux bonnes heures des dames n°27

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Lui, généralement, il arrive le vendredi soir, quand le gros de la clientèle s'est éclairci. Il apporte tout son attirail dans une valise du genre de celles des années 50. C'est un maso, un compliqué. "L'essentiel c'est qu'il paie bien".

03/11/2013

Aux bonnes heures des dames n° 26

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Dans le couloir, c'est Francine. En réalité c'est François qui se fait appeler Francine. Un travesti habitué auprès de Lydia. C'est elle qui le maquille, qui le déguise pour qu'il se fasse mettre trois ou quatre fois chaque vendredi. Elle lui loue un studio pour deux heures. Le prix des passes c'est elle qui le touche.


 Francine François venait régulièrement jusqu'à la fin des années 90. Mais les emmerdements causés dans le quartier par les lois répressives depuis 2003 l'ont découragé. Il espace ses visites, se prépare à cesser de venir.


 L'ambiance n'y est plus. Une époque disparaît.

Aux bonnes heures des dames n° 25

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•  Qu'est-ce t'as au bras, tu te le tiens ?

•  Arrête ! J'ai failli me faire faucher mon fric dans le métro. Juste avant Château d'Eau. De pire en pire que ça devient et faut trouver ça normal. Ils étaient deux.