29/12/2013
Aux bonnes heures des dames n° 42
Pour elle, il n'y a pas de morte saison. Décembre et Juillet se ressemblent : elle s'en fait un max. Elle a investi dans la pierre. Elle achète aussi dans l’œuvre d'art. Cependant, faut reconnaître qu'à présent, à cause du Sarko et de la Bekacem, le commerce question sexualité populaire tourne moins bien.
« A mon âge, je ne me vais pas me reconvertir sur internet et augmenter mes tarifs en jouant la voltigeuse dans les hôtels quatre étoiles entre Cannes et Lille ».
13:46 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Blog, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, sexualité, vie parisienne, moeurs
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