28/09/2014
Et Lucifer, ange de lumière, créa la femme
13:45 Publié dans Actualité, Arts, Blog, Cinéma, Film, Journaux, Media, Moeurs, People, Politique, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bb, brigitte bardot, cinéma, anniversaire brigitte bardot
Nocturne en ré n° 21
- J'en étais sûre ! cette Chloë lui a tiré son larfeuille, au mec ! elle va finir par se faire prendre au collet. On voit bien qu'elle ne va travailler qu'une semaine ici. Mais comme on bosse sur le même étage qu'elle, c'est nous qu'on risque d'écoper aussi.
13:00 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Blog, Brèves du trottoir, Nocturnes en ré, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, vie parisienne, vie nocturne, sexualité
27/09/2014
Les Tarzanides du grenier n° 81
Déjà le numéro 4 de Betty RUMBA ! Nous sommes en 1948. Les randonnées « piquantes » de cette jeune jolie délurée ne dureront que pendant six numéros bimensuels. Au moins trois collectionneurs m'ont affirmé que son premier exemplaire n'est plus présent chez les bouquinistes spécialisés. Sans blague ?
Coloriée d'un rouge tout sucré d'orange, Betty RUMBA est dessinée par … non, non ! pas « par » mais by Silly Jim.
Silly Jim n'est qu'un pseudo derrière lequel s'abrita YVES MONDET, français né en 1904, mort en 2004. Sa Betty RUMBA n'est pas une concurrente Tarzanide des Tarzella et autres Sheena ou Durga Rani. Elle n'en est que la contemporaine. Cependant, à l'occasion d'une croisière elle se met à rêver et ne voilà t'il pas qu'un bon gros gorille se métamorphose pour elle en un Tarzan joyeux drille. Rien d'étonnant sous le graphisme d'Yves Mondet puisque ce bédéiste de longue durée créa également un vrai tarzanide : OGAR le Démon de la Savane.
De cet OGAR, Docteur Jivaro vous a parlé précédemment, le 25 août 2012.
Yves Mondet en créa même un deuxième de tarzanide : TANKA à l'occasion duquel il alterna son travail avec celui de Remi Bordet. Ce Tanka fut édité en 1968 dans le petit format de poche NEVADA, lequel permettait de visiter, dès 1958, la réédition quelque peu malmenée du fameux MIKI le Ranger.
La Rumba, danse latino-américaine, n'est toujours pas parvenue à égaler le succès archi mérité du Tango. Pourtant toutes deux symbolisent un unique sujet, le « Je t'aime moi non plus » des relations érotiques autant que conflictuelles entre la prostituée et son souteneur.
Autre chose que la danse des canards.
Docteur Jivaro
17:17 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Media, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : yves mondet, miki le ranger, s.e.p., betty rumba, tarzanides, bd anciennes
21/09/2014
Nocturne en ré n° 20
- Mon cinquième du matin !
Bonne préparation pour la journée !
15:50 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Blog, Brèves du trottoir, Moeurs, Nocturnes en ré, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, vie parisienne, vie nocturne, moeurs, société
Nocturne en ré n° 19
Elle l'a embarqué.
Elle vient de le jeter
15:48 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Blog, Brèves du trottoir, Moeurs, Nocturnes en ré, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, vie parisienne, vie nocturne, moeurs, société
14/09/2014
Nocturne en ré n° 18
Les Halles d'avant Rungis.
« On se racontait que c'était à cause de Tante Yvonne que nous étions condamnées à demeurer plus ou moins cachées dans les couloirs du quartier pendant la journée. Cette Madame de Gaulle se serait scandalisée d'avoir aperçu des chandelles rue Godot de Mauroy. Et tiens ! nous aussi, c'est Mai 68 qui nous a libérées, nous permettant de revenir bien visibles sur le tapin de Paris pendant les vingt années qui suivirent.
Les filles, elles firent comme beaucoup de parisiens. Elles signèrent des pétitions pour pas que Pompidou détruise notre terrain de chasse. Bien sûr on n'inscrivit pas notre nom véritable ... Mais remarque, finalement, après le départ des maraîchers, il y eu du bon pour nous. On remplaça les petits hôtels merdiques par des studios aménagés dans les mansardes abandonnées de tous les clodos qui vivotaient des miettes laissées par les grossistes.
Tu sais, crois moi ! Lorsque l'acteur de ciné Michel Simon s'est fait embarquer après l'assassinat d'une fille, rue Saint Denis, j'étais dans le bar café d'à côté. La pute assassinée , attends, oui, attends … elle se faisait appeler Rosie ou Rosa. Une berbère, je pense. Il y devait y avoir du FLN là dessous.
Lydia c'est l'une des dernières mémoires vivantes de l'ancienne ambiance populaire qui allait de la gare de l'Est jusqu'à Chatelet. Elle parle, elle parle. Reste à trier.
13:30 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Aux bonnes heures des dames, Blog, Brèves du trottoir, Moeurs, Nocturnes en ré, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : michel simon, prostitution, prostitution populaire, vie parisienne, sexualité, moeurs