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11/12/2025

Ils - Elles croyaient l'avoir noyé :

Refait il surface pour les submerger ?

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NB. : Visez cette couverture de papier braves gens ! Oui, un journal de BD disparu ayant cédé sa place à Pif Gadget.

 

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Vaillant, n° 710, 21 décembre 1958

 

En ce moment, et tous les jours, des socialo-communistes parmi les plus fanatiques nous engagent à abolir la célébration religieuse chrétienne : NŒL. Comprenons bien : il ne s’agit pas de supprimer le mot ni de modifier la période mais de démunir cet évènement de toute interprétation métaphysique rappelant l’existence des dieux et des déesses chez les peuples antiques. Et nul ne peut nier sauf à se tromper que le dieu des juifs ne fut dans les temps anciens qu’un des dieux parmi des multitudes de divinités. C’est donc le dernier des dieux plutôt que le seul.

 

Tout de suite revenons à l’image ci-dessus. L’illustré BD VAILLANT fut une création des communistes staliniens d’après la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Jamais on n’y parlait de personnages religieux mais les allusions opposées au Christianisme y étaient fort nombreuses ; et notamment dans la série Yves le Loup. En fait, le Parti visait à conserver NŒL mais sous un aspect laïc strict.

 

C’est dire qu’à présent tous les gauchistes et autres groupes écolos n’apportent rien de nouveau en exigeant, par exemple, de changer « Fête de Nœl » en « Fête d’Hiver ». Sur ce même sujet bouleversant d’aucuns rappellent la décennie et + nazie en Allemagne-Autriche : Hitler s’efforçant bien avant tout le monde de modifier en une festivité laïque la festivité chrétienne.

 

Année après année, pendant la semaine du 25 décembre l’illustré BD pro-soviétique édité en France : VAILLANT, prit soin de rappeler l’existence d’un Noël à ses petits lecteurs français mais en l’interprétant comme une ... Fête athée des travailleurs.

 

Bar Zing

07/12/2025

Tarzanides n° 668

BD. LE PAVÉ D'OR

 

 

C’est sans préparation que j’informe de ceci z’ici : montluçonnais que vous êtes probablement ignorez-vous qu’un fragment de vos origines se situe dans l’océan atlantique en des temps plus lointains que ceux de la préhistoire ?

 

- Ah ! Le Royaume des Atlantes ! Ce gros baratin légendaire qui vient de je ne sais d’où ?

 

Voyons ! Généralement les historiens attribuent cette existence controversée à l’un des élèves de Socrate : Platon. Platon c’était un bœuf quand Socrate approchait d’un peu trop près les petits garçons. Mais vous me direz que les grecs de l’Antiquité ...

 

Les atlantes ... Royaume océanique, fabuleux, inouï dont les habitants pratiquaient déjà les sciences les plus avancés alors même que sur les terres continentales notre espèce  se déplaçait encore sur quatre pattes. Sur deux mains et deux pieds mais en cachant soigneusement ses parties génitales de mammifère créé par un Dieu Père la Pudeur. Rions ensemble.

 

Montlu’çon est traversée par une rivière alors que mieux vaut dire que de chaque côté d’une rivière se construisit notre ville. Le Cher est cette rivière. Savez-vous que ce mot « cher » nous viendrait de « caillou » ou de « rocher » à ce qu’en disent les linguistes ? Et que si vous vous promenez dans une de nos rues ayant pour identité « rue de la Grève » ce n’est pas en souvenir de protestations sociales mais en raison que les méandres de notre rivière se déplacèrent tout au long des millénaires.

 

- Les enfants ! Nous allons vous emmener jusqu’à Chenonceaux et nous visiterons plusieurs châteaux de la Loire.

 

Je ne me souviens plus quels châteaux nous visitâmes ou que nous ne visitâmes pas. En tous cas, le bus ne nous emporta pas aller et retour jusqu’à Chenonceaux. Ça je m’en rappelle. J’étais gamin encore et les anciens de l’école Voltaire qui organisaient le voyage de chaque fin d’année scolaire ne répondaient généralement pas à nos questions qui les embarrassaient, eux, les adultes.

 


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Et c’est par notre rivière le Cher que notre ville s’accorde avec une légende connue sous l’appellation : Légende du Pavé d’Or. Et cette même légende a son origine dans ue pays fabuleux mais disparu, le pays des Atlantes. Résumons : Dans le royaume des Atlantes les sirènes vivaient en paix en compagnie d’hommes dotés d’intelligence surpassant le QI de 160 généralement attribué à Einstein et Hawking (si j’en crois mon ancienne concierge parisienne). Hélas ! Malheur des malheurs ! Des secousses terrestres imprévues par les sismographes, s’amplifièrent jusqu’à détruire la cité légendaire et ça malgré l’intervention transcendantale du grand prêtre ATTALA. Finalement, effondrée, submergée, engloutie la ville des Atlantes disparut de toute mémoire, sauf de celle de l’académicien Platon. Toutefois, dans une dérive prodigieuse la dernière sirène parvint jusqu’à l’Europe pour terminer son périple incroyable sur l’un des petits îlots (ilets) de notre rivière le Cher. N’est ce pas merveilleux tout ça ? ... D’autant que cette petite sirène nommée IKEA, si gentille ; termina ses jours aquatiques de façon atroce : brûlée vive, au secours ! par de méchants humains quelque peu troglodytes.

 

 

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Heureusement pour sa mémoire, la petite Ikea fut assez maligne pour métamorphoser son corps et, surtout, son âme en un souvenir impérissable, éternel : un Pavé d’Or. Mais attention : pas de l’or pur pareil à celui d’un médaillon de margarine brandi par une jeune femme dans un spot publicitaire ...  Mais de l’or symbolisé à cause de sa couleur ensoleillée.

La légende du Pavé d’Or est devenue une bande dessinée réalisée par Christiane Boutet pour les images à partir d’un texte signé du pseudo ATTALA. La couverture est en carton rigide, les pages lustrées comme de la vitre, et l’impression soignée par l’imprimerie Franck Deschamps à Montluçon.

 

L’adresse du pavé mirifique existe réellement : n° 10 de la Place des Trois-Ayards sur la rive gauche du Cher, celle de la Ville de Gozet.

 

- Pépé, c’est quoi un ayard ?

 

Je venais de déranger un des rescapés de la guerre 14-18 : mon grand père paternel alors ouvrier fondeur éclairé non pas carbonisé par les flammes des fonderies de Saint Jacques.

 

- Je ne sais pas bien, qu’il me répondit. C’est un vieil arbre, très vieux. Un vieillard vieillard si tu veux.

 

Me semble me souvenir lui avoir posé la question après m’être arrêté pour faire pipi contre un des trois ayards. « Tu pourrais attendre d’être revenu à la maison ! S’était exclamée ma grand-mère en me ramenant de chez le médecin, le Docteur Perche alors rue du Capitaine Segond.

 

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Avant ZAZIE DANS LE METRO, IKEA sur le Cher

 

Bar Zing

 

30/11/2025

Tarzanides n° 667

A COTÉ ? 

EN PLEIN DEDANS, PLUTÔT

 

Nuançons d’emblée : nous préférerions plutôt qu’écrire Musée de Grenoble, écrire Musée dans Grenoble.

 

Nous ? Qui ça nous ? Mon épouse et moi pardi ! Puisque nous allons bavarder avec pour sujet la collection BD Michel Édouard Leclerc. Oui : le fils de son père fameux dans tout Landerneau. Collection réussie par un passionné.

 

Pour nous autres collectionner des bandes dessinées signifie accumuler dans leur ordre des journaux anciens en plus ou moins bon état de conservation, ce qui n’est plus du tout rare depuis les années 1970. Mais pour le collectionneur de haut niveau disposant des moyens nécessaires à l'acquisition d'une collection référentielle de BD, celle ci est d’abord constituée de tout le travail précédant l’impression des journaux : recherches du scénario, esquisses pour le portrait des personnages, dialogues entre les membres d’une équipe, références sur le permis ou le non permis pour des divertissements destinés à un public d’âge mineur. Car la BD en France fut d’abord un produit exclusivement réservé à notre enfance.

 

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N° 435, 16 novembre 1916

Pleine Première Guerre Mondiale.

l'hebdomadaire est réduit à 8 pages au lieu des 16 habituelles

 

Lorsque mon père me parlait des histoires en images qui l’amusaient étant gamin, il citait L’EPATANT. Généralement des histoires humoristiques dont l’identité des protagonistes était presque toujours venue de jeux de mots permis par l’ortografe « Les Pieds Nickelés » créés par Forton, revenaient souvent à la mémoire de Papa. Si bien que je regrette posséder à présent plusieurs paquets de l’Épatant dont j’aurais bien aimé prêter plusieurs numéros à mon père avec obligation de me les rendre ... Hélas ! Papa est mort depuis le début des années 70 de 1900.

 

L’exposition grenobloise intitulée EPOPEES GRAPHIQUES jusqu’au 19 avril 2026 mérite sûrement son succès. D’autant qu’au départ de Montluçon en direction de Domérat, autrefois village de vignerons, notre couple a l’habitude de s'approvisionner dans la grande surface LECLERC mentionnée plus haut. D'autant que, récemment encore, toute une équipe de Marvel assurait la sécurité dans le hall du grand magasin. Parmi lesquels nommons : Batman, Hulk, etc.

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Et pour remercier les lecteurs-lectrices de mon blog silencieux, je leur dédie à ne toucher qu’avec les yeux, la numérisation d’une des vignettes  de Billy the kid, n° 20 de l’année 1978 ; vignette exhibant le poupon Bonney suçant le canon d’un six coups en guise de biberon. Cette vignette fut interdite à la réimpression des albums prochains.

 

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Je souhaite à toutes et tous une visite réussie parmi les rares spécimens BD de la collection Hélène et Michel Édouard Leclerc.

 

Bar Zing

 

24/11/2025

Tarzanides n° 666

BUSTE DALIDA

 

Dalida, Dalida ... Bambino, Bambino. Une chansonnette qui connut vite le succès popul’air. Ça y est, vous y êtes : année 1956.

J’allais atteindre mes 14 ans et le dimanche en après-midi je me rendais dans l’une des fêtes foraines de quartier alors assez nombreuses dans ma ville. J’étais en compagnie d’un garçon de mon âge disparu pour moi depuis plus de 60 ans. Tous deux par la Rue Monge, nous approchions des premiers stands du quartier es Fours à Chaux. Nos oreilles déjà envahies par une rengaine : Bambino, Bambino. C’était les hauts parleurs des auto tamponneuses  qui obligeaient le voisinage à fermer leurs volets plus tôt en soirée.

Mes copains et moi, tous plus ou moins amateurs de Bédé, et la radio des familles d’alors n’était pas une concurrente sérieuse opposée à nos « petits mickeys ». Toutefois aucun d’entre-nous ne prévoyait la naissance d’un petit illustré dont le titre : BAMBINO espérait profiter de la chansonnette à la mode.

 

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Ce mensuel nouveau comptait 68 pages mais des petites pages. C’était en fait un des premiers des formats dits « de poche » qui allaient pendant les décennies suivantes amplement causer la disparition de nos journaux illustrés imprimés sur de grands formats. La couvrante de ce Bambino était illustrée par Erik ; et ce même Erik allait orner assez monotonement  la première page des 61 numéros successifs. Cependant, en ouvrant ce banal mensuel à ses pages 32 et 33, nous nous heurtons à un personnage dessiné de façon « réaliste » et contraire à l’ambiance clownesque de tous les autres scénarios. Le personnage : Handjar, je le connaissais déjà bien : ses aventurlures se déroulaient depuis longtemps dans L’INTREPIDE. Les images venaient du crayon de Souriau Christian. Et, sois dit en passant, ce même Souriau, avant le début de la deuxième guerre mondiale, fut le premier dessinateur français à réussir les illustrations pour le roman TARZAN publié dans l’hebdo Hop Là !

 

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- Ça y est ! Tu vas te vanter de posséder les 61 numéros !

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Pas du tout. Je ne me souvenais même pas avoir ce n° 1 de ce Bambino. Le z’hazard fait parfois bien les choses, mon cousin. Tu entends qu’en ce moment on nous reparle au jour le jour de Dalida née italienne en Egypte et qui se suicida en France pendant l’année 1987 ... En fait, les gens parlent surtout à propos de son buste exposé publiquement à proximité de la rue baptisée du nom de DALIDA. Des groupes de quidams s’amusent à tour de rôle à faire quoi ? à peloter les faux nichons ! Paraît que de les frotter et les soupeser, ça porte bonheur à l’intimité du foyer. Mais des refoulés patents se scandalisent pendant que d’autres, moins secs, regrettent que de telles caresses maternelles endommagent par leur répétition les nénés cachés hypocritement sous un bustier, masseur.

 

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Oui : hypocritement ! Étant connu ce quartier parisien archi-chaud qu’est toujours Montmartre quoique Lautrec de Toulouse et Casque d’Or des surins se soient fait la malle depuis long-longtemps.

 

Bar Zing

 

02/11/2025

Tarzanides n° 663

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Mettons, allez ! à la louche, une semaine à l’arrière de nous, une tempête traversait le pays de Le Pen et Mélenchon sans trop de dégâts. Le côté poétique de la météo baptisa Benjamin l’ensemble des vents. Fut un moment pendant mon ado où je m’amusai à couper les mots en leurs syllabes pour déformer leur sens ... Benjamin fit partie de ceux là et, bien que j’appris que Ben Hur est juif, il me sembla que Ben Jamin évoquait un arabe.

 

  • Dis donc Bar Zing tu es ici pour parler de BD.

 

Justement ! BENJAMIN était le nom d’un journal pour la jeunesse édité entre les deux guerres internationales, et qui semblait faire transition entre la BD proprement dite et les publications pour l’adulte. On pourrait même imaginer que les enfants des années 30 de 1900 étaient dotés de bras de géant. Tout le contraire de vos petits formats miteux dits pockets. Tenez, exemple : Prenons AKIM du 15 février 1966. Eh bien ! Il faut 9 petits formats AKIM pour couvrir une seule page BENJAMIN.

 

  • Ouais ! Mais AKIM compte 100 pages !

 

Cause toujours ! Des pages de nabot ! ! Et en plus, en mieux l’ancien BENJAMIN créé en 1929 contient tout un ensemble de rubriques d’information et d’images humoristiques ... Par contre votre piètre imitation italienne de Tarzan demeure très en dessous du niveau.

 

  • Cause toujours !

 

 

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Sur les huit grandes pages sans aucune couleur, deux pages centrales sont surtout consacrées aux plaisanteries. Nous y trouvons des noms dont quelques uns confirmeront leurs succès jusque dans les années 1950 et 1960. Un Erik ou un Bellus par exemple. Bellus illustrait alors une BD hebdomadaire Laurel et Hardi, rappelant le succès populaire cinématographique des deux fantaisistes : Toi le gros, moi le petit (Ou l’inverse). Un inattendu nous attend : PINCHON. Oui, oui : le créateur de Bécassine, la jeune bretonne grassouillette, un peu nigaude à cause de son dévouement ... servile à Madame de Grand Air. Mais dans notre Benjamin, Pinchon illustre quelques unes des phases réelles des grandes guerres indiennes. Buffalo Bill, bien sûr, domine. Quelques images ne manquent pas de violence.

 

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Le grand scout d’origine irlandaise transperce le thorax du grand chief emplumé Scalp jaune 
improprement appelé Yellow hand jusque dans COQ HARDI de Marijac
(Benjamin page 2, n° 461, année 1938)

 

Signalons un bon nombre de publicités dans ce même Benjamin. Publicité pour Phoscao, publicité pour les pâtes Lustucru. Et, eh ! Eh ! publicité pour les petites culottes de coton blanc tissées par la spécialiste du genre : Béatrice Mallet. Vous n’connaissez pas ? Interrogez vos grands parents. Et c’est ainsi que nous parvenons à la huitième page, celle particulièrement adressée aux vraies jeunes filles : Les benjamines. Pour elles, les mignonnes, les messieurs préparent déjà l’après adolescence grâce à deux petites publicités pour que très tôt petites demoiselles elles s’habituent à porter un corset porte-jarretelles.

 

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Benjamin, n° 410, page 8, année 1937

 

 

Enfin, terminons par l’excellent humoriste DUBOUT également présent. Ce qui nous permet de constater qu’en 1938 nous sommes encore loin du kama Soutra dont l’artiste donna, en 1973, une version humoristique. Version à laquelle les danseuses sacrées Khmères de l’harmonie entre religion et érotisme n’avaient probablement pas pensée.

 

Non ! Bar Zing détient nullement la collection complète de BENJAMIN. Mais il n’oublie pas de signaler l’identité du créateur dont le pseudo était : Jaboune. Jean Nohain ! Jean Nohain l’homme des spectacles multiformes qui déserta définitivement notre monde en 1981. Plutôt réussi pour un bébé qui naquit en 1900, non ?

 

J’espère n’avoir pas à préciser que Benjamin s’accordait au mouvement des Scouts.

 

Doc Jivaro

 

30/10/2025

Après la réédition de "L'Affaire Tournesol" de 1956 ...

Herbert Von Braun décide d'éditer :

"On va marcher sur la lune"

- Édition non expurgée des navrantures "Tintin et Milou" -

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