12/12/2018
Gâteau anniversaire du 10 décembre de Bar Zing
SPIDERMAN
régale
PETER PARKER
15:05 Publié dans Actualité, Arts, BD, Blog, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : gâteau anniversaire, spiderman, peter parker, bar zing de montluçon, tarzanides du grenier, stan lee, marvel, bande dessinée
24/11/2018
Tarzanides du grenier n° 325
Ce jour, Doc Jivaro a décidé de ne pas se fatiguer, puisant dans ses réserves. Aussi se suffit-il de présenter la planche BD n° 2 de l'épisode "Du Porc Chez Les Cochons" ; épisode dont il signala l'existence samedi 10 novembre.
Voici les dimensions réelles : 47 x 64,5 cm. L'encre de chine et la gouache aquarellée en sont les matériaux.
Doc Jivaro.
17:28 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Media, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bd, bandes dessinées anciennes, tarzanides du grenier, bar zing, doc jivaro
23/11/2018
L'home aux loups (Freud)
Dimensions réelles 50 X 65 cm.
L'hebdo politique VALEURS ACtuelles du 22 au 28 nov 2018 consacre 4 pages au LOUP « ennemi du genre humain ». Mais à connaître l’éradication subie par l'animal dans notre pays depuis le XIXe siècle, c'est surtout l'inverse : l’humain ennemi des canidés dont il ravage le territoire.
Pendant les années 1985-86 Doc Jivaro traça à l'aide d'un crayon noir plusieurs dessins et peignit à la gouache une dizaine d’œuvres relatives au PETIT CHAPERON ROUGE. Un tel sujet fut parfois traité par des artistes et des écrivains, de façon scabreuse...
Ci-dessus, vous venez de voir l’image en couleur ; ci-dessous vous allez voir une image en noir et blanc.
Dimensions réelles 32 X 50 cm.
Tout ça sans vous faire oublier l’élyséen Macron aux prises avec des gilets jaunes.
Ryal
15:59 Publié dans Arts, Blog, La vie des bêtes, Livre, Macron, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le petit chaperon rouge, charles perrault, frères grimm, bar zing de montluçon, tarzanides du grenier, gilets jaunes, macron, valeurs actuelles
17/11/2018
Tarzanides du grenier n° 324
L’esprit qui marche
ne nuit pas à la mobilité des corps
De tous les aventuriers de la BD américaine édités en France, le FANTÔME DU BENGALE reste sûrement celui qui fut embrassé amoureusement par le plus de jolies femmes. Et pas des femmes de tout repos : femmes pirates, femmes gangsters et femmes vampires (Les vamps), avec pour comble : les femmes infâmes.
Embrassé malgré lui le champion masqué paraît réfractaire à tous charmes féminins. Mais non, mais non ! seulement voici : le FANTÔME tient absolument à rester fidèle à sa fiancée : Diana.
Image année 1937
TARZAN, à son tour, est souvent sollicité pour des galipettes par de belles dames … Mais il n’est jamais dessiné accomplissant un bouche à bouche. (Sauf dans une image datée du dimanche 9 juillet 1939 sous l’étreinte de la Reine des Amazones). Mais vous, échapperiez vous à une Reine des Amazones quand vous n’échappez même pas à bobonne ?
Image 1947
Est-il encore nécessaire de rappeler que la loi du 16 juillet 1949 infligea une censure à ce genre d’imagerie pendant plus d’une quinzaine d’années dans les journaux illustrés destinés à notre chaste adolescence ?
Image Tarzan 9 juillet 1939
Regardons la vignette du 9 juillet 1939. La prise de vue est effectuée de loin pour amoindrir l'effet érotique, pendant que le dessinateur ajoute l'ombre de la tête de la femme pour cacher mieux encore le baiser amoureux. Burnes Hogarth pratiqua dans tous ses travaux publics une censure anti-sexuelle.
Doc Jivaro
17:59 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Media, Moeurs, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bd américaine, le fantôme du bengale, tarzan, ryal, bandes dessinées de collection, loi du 16 juillet 1949, tarzanides du grenier, bar zing
10/11/2018
Les Tarzanides du grenier n° 323
Au soir de ce soar, 22 H 10, sur Ciné+Classic, le retour d’une de nos vieilles connaissance du cinéma des salles obscures françaises. Lemmy Caution ... Pardon : Eddie Constantine.
La Môme Vert-de-Gris
Pas un chef-d’œuvre du cinéma pour intellos mais le titre doit retenir notre attention pour deux raisons : il fut le numéro UN publié dans la célèbre collection Série Noire de chez Gallimard ET EN MÊME TEMPS il fut le film qui lança définitivement Eddie Constantine dans le 7ᵉ Art.
La sculpturale Dominique Wilms débutait pareillement, elle, qui ondulait dans une robe-fourreau habitée par une sirène sur deux jambes. (De quoi faire s'aggacer la Schiappa de service !)
D'aucuns savent, d’autre pas, que Lino Ventura servit de modèle involontaire pour un personnage Bédé : BLACK BOY (créé par Chott) et que le lieutenant Blueberry dessiné par Gir-Giraud s’inspirait de la physionomie de Jean-Paul Belmondo. De mon côté, j’ignore encore si Eddie Constantine prêta son visage à tel ou tel héros de la bande dessinée française. (Exista un pocket italien SADIK dans lequel nous reconnaissons volontiers Lemmy Caution).
Regardez à gauche, rien ne manque : les petites pépées et le lampadaire
devenu dès son installation l'objet-symbole des nuits prostitutionnelles.
Vous voyez bien que certaines images d’annonces publicitaires pour des films font penser aux manières graphiques de bande dessinée.
Alors n’oubliez pas à 22 H 10, ce samedi, le rendez-vous avec Dominique Wilms.
- Âgée de 88 ans ?
Doc Jivaro
18:47 Publié dans Arts, BD anciennes, Cinéma, Film, Media, People, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : série noire gallimard, bernard borderie, dominique wilms, rancho black boy, eddie constantine, tarzanides du grenier
13/10/2018
Les Tarzanides du grenier n° 319
– Tu nous as signalé que le Pillou-Pillou de POPEYE se nomma TSOIN-TSOIN dans la première traduction française alors que Popeye lui-même s’y appelait Mathurin.
Deux montluçonnais de ma génération venaient de m’adresser cette remarque, quand nous en étions à feuilleter de vieux livres dans la boutique du dernier bouquiniste de la Ville dont Marx Dormoy fut le maire.
Me semble qu’il y eut trois albums de ce titre édités par TALLANDIER. Mais il suffit d’en lire un seul pour vérifier tout de suite que Popeye s’y trouve changé en matelot de Marseille. Et que pour ce qui est de son œil borgne celui-ci interprété comme un œil « poché au beurre noir ». Enfin des exclamations telles que dubled, jobard, pechère, quinquin ou encore galapiat et galéjade confirment l'ambiance de l'ancienne cité phocéenne sans avoir à pousser la mystification jusqu’à conter l'histoire de la sardine qui bouche le port de Marseille.
Et maintenant, regardons la couverture scannée ci-dessous où Popeye Mathurin voisine avec ... avec Betty Boop, la piquante starlette en mini jupe des années trente. À ce propos, souvenons-nous que le gaillard mangeur d'épinards n'est jamais insensible à la présence des jolies filles. Sans oublier que le gonflement anormal de ses avant-bras suggère une disponibilité sexuelle permanente.
La proximité des deux personnages devenus marionnettes de films d'animation, est encore une des preuves quant aux nombreuses correspondances entre le cinéma et la bande dessinée. (Ici, la jarretière de Betty et l'ancre marine de Popeye sont détaillées par les studios Fleischer).
En France, l’influence réciproque entre bédé et ciné fut sérieusement étudiée dans le numéro 159 de la revue CINÉMA 71 de septembre et octobre 1971.
Sur ce, Doc Jivaro vous dit au revoir, mes amis.
Doc Jivaro
18:40 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Cinéma, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pilou-pilou, popeye, studios fleischer, tallandier, cinÉma 71, ville de marx dormoy, bd, bandes dessinées anciennes, tarzanides du grenier, bar zing de montluçon, betty boop