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21/11/2021

Tarzanide n° 528

 

Rama Yade sauvée par Tarzan

 

 

Flash Gordon, BD célèbre autant qu’américaine fut créée par Alex Raymond et transcrite en sérials cinématographiques dès 1936, avec pour personnage central le jeune énergique Buster Crabbe … Votre chaîne TV championne des nanars et de quelques vieux chefs-d’œuvre : Movie Channel chaque dimanche autour de dix heures, vient de nous en servir quelques rations poudrées de naphtaline.

 

J’allais pour bavarder de ce sujet quand les propos infects tenus par une Rama Yade, ne m’ont pas fait changer d’épaule mon fusil mais changer ma cible. Alors comme ça, Rama Yade, tu racontes ne peut pas pouvoir passer devant une statue représentant notre ancien ministre Colbert, sans trembler de dégoût ?

 

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Les images accompagnées de textes dans les illustrés de mon enfance résumaient parfois des vérités historiques qu’a présent la vulgarité mensongère de l’agitation Woke s’efforce de cacher aux jeunes générations d’aujourd’hui. Pour que les gamins et les gamines « visages pâles et peau blanche » s’ auto dévaluent en présence du reflet d’eux-mêmes dans le miroir de leur salle de bains. La graphie ci-dessus est signée de Bob Lubbers, lequel nous gratifia du TARZAN le plus souriant, le plus sympathique de toute l’histoire de la bande dessinée. Mais ici, la censure exigée par la Loi de 1949 a encore frappé : l’arc tendu d’une flèche est gommé, rendu invisible. Comme vous les voyez des jeunes-filles noires sont condamnées esclaves, vouées prochainement aux caprices érotiques de tel ou tel sultan. Et regardez mieux : l’une d’entre elles ne ressemble t’elle pas à Rama Yade ? J’espère que non.

 

Le plus rigolo dans tout ça (si j’ose dire) c’est que le boxeur Cassius Clay se convertit à l’islam et prit le nom de Mohammed Ali en croyant participer à la libération des noirs américains alors que l’islam pratiqua pendant au moins treize siècles l’esclavage à l’encontre des peuples africains.

 

Et que ce sont les foutus méchants chrétiens de race blanche qui abolirent mondialement l’esclavage.

 

Doc Jivaro

 

21/07/2020

Tarzanides n° 440

"Lorsqu'avec ses enfants vêtus de peaux de bête" ...

 

On se souvient plus ou moins bien du poème rédigé par Hugo le Victor et rappelant l'un des mythes fondateurs des sociétés humaines. Ici, Caïn tuant Abel, deux frères jumeaux l'un s’attardant auprès des moutons pendant que l'autre s'émancipe pour une ère nouvelle celle des forgerons. Le bâton du berger va céder la place à l'arme du guerrier.

 

Le poème de 1859, changé en peinture d'art par Fernand Cormon en 1880, donna naissance à nombre de thèmes dits "préhistoriques" dans la littérature mais aussi dans quelques uns des premiers films muets. Ceux qui ne connaissent TARZAN que par la silhouette qui lui est attribuée dans la bande dessinée, ignorent que l'homme singe pour le cinéma à ses débuts ressemblait quelque peu à un grand gaillard plus souvent abrité dans une caverne que sautant de branches en branches dans une forêt. Tenez, regardez le dans son premier aspect cinématographique.

 

 

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On est alors en 1918 et c'est Elmo Lincoln qui tient le rôle. Aucun pagne en peau de léopard mais une toison évoquant un ours plutôt qu'un félin. Ce n'est qu'avec l'acteur suivant nommé Frank Merril que la fourrure devient tâchée, mouchetée à la ressemblance d'un carnassier. Toutefois, en France, en 1937 et dans un petit fascicule de 16 pages, le Roi de la Jungle perd son identité. Il s'appelle TANTOR. C'est ça : le nom de l'éléphant devient le nom de l'homme.

 

 

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TARZAN n'est en rien l'individu sauvage et solitaire que nous présente sans cesse la bande dessinée. Il est en réalité un gentleman de haute famille : Lord Greystoke, propriétaire d'une importante plantation en Afrique colonisée et, à ce titre comme au moment de sa naissance il est  un sujet de la Reine Victoria et combattra vaillamment pour que prospère le Commonwealth of Nations.

Un Commonwealth of Nations auquel le théoricien Karl Marx lui-même rendit hommage en choisissant la terre d'Angleterre comme lieu de sa sépulture.

 

Doc Jivaro

 

22/11/2014

Les Tarzanides du Grenier n° 89

Défaillante, la mémoire du Docteur Jivaro lui faisait croire qu'il possédait le numéro 1 de MACHO. En réalité, il n'est en possession que du numéro 5 de l'année 1979. MACHO était une brochure de 48 pages marquée par une homosexualité militante.

 

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Outre d'habituels textes réprouvant des comportements hostiles envers les gays, ce numéro 5 expose une illustration de couverture ayant trait à un des aspects de la sexualité humaine le moins toléré par la victoire législative judéo-chrétienne contre les mœurs païennes. Nous parlons de la zoophilie.

 

Mais qu'est-ce que cette "déviance"  érotique vient faire dans notre série BD consacrée aux Tarzanides ? Voyons, l'évidence en apparaît lorsqu'on lit MACHO numéro 5 ! Son article « Le Beau et la Bête » de sa page 6 jusqu'à sa page 14, utilise un graphisme signé Burnes Hogarth. Des dessins célébrant Tarzan, bien sûr ! Et qui sont extraits des deux volumes retraçant la naissance puis l'âge adulte du fils de Lady Alice et Lord Greystoke. De ces deux volumes réussis par Hogarth, un seul – le premier – reçut une traduction en langage indigène français (Dépôt légal : 1973).

 

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MACHO n° 5 sélectionna des attitudes suggérant l'amour "contre nature" entre l'humain et l'animal.

 

Faut-il supposer que l'homosexualité incline plus souvent que l’hétérosexualité à la pratique zoophile ? Docteur Jivaro n'en sait fichtrement rien. Pour un tel sujet, il se limite a espérer que les échanges poussés entre l'animal humain et l'animal animal n'incitent pas à une maltraitance contraire aux sensations naturellement agréables à la bête.

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De plus en plus, amplifiant son style, Hogarth attribua à son Homme singe des hanches et des fesses dotées d'un charnu que  l'hétéro préfère généralement rencontrer chez la fille voluptueuse. N° 106 et année 1950 de l'hebdo TARZAN.

 

Qui donc peut ignorer les bienfaits que des dames blasées d'avoir à fréquenter journellement l'homme, trouvent dans la compagnie de leur bichon favori ?

 

Docteur Jivaro

 

30/03/2013

Les Tarzanides du grenier (n° 28)

Si j'écris BOMBA fils de Tarzan vous ne me croirez pas. Et moins encore lorsque pendant votre enfance vous lisiez les BD TARZAN commercialisées par la SAGEDITION.

 

Car, pendant les années 70 du siècle précédent, le fils de l'homme singe apparut sous le nom de KORAK et non pas sous celui de BOMBA. C'est effectivement KORAK qui correspond à la seule vraie identité de l'enfant qui grandit auprès de Lady Jane et John Greystoke.

 

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 Image prélevée page 51 du numéro 16 de TARZAN GEANT,

année 1973.


  Nous verrons cela moins brièvement

samedi prochain.