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13/08/2019

Tarzanides n° 369

Tomates inodores autant qu'insipides. Moissons surabondantes mais sans faire baisser le prix au kilo de farine. Pesticides, conservateurs + ou - toxiques ... Mes grands parents paternels qui sont couchés sous une dalle sur laquelle se repose un crucifix, avaient pour habitude de jardiner en engraissant la terre avec du fumier fait maison. Ils cultivaient "Bio" sans savoir que c'était du "Bio". Tout au plus, pour se rassurer quant à la prochaine récolte, ils vaporisaient de la Bouillie Bordelaise sur les plantations. Le joli bleu de ce fongicide paraissait devant mes yeux d'enfant plus important que sa qualité de tueur de tous les parasites qui font enrager le plus important des parasites : l'homme.

 

Ce matin, j'ai tourné et retourné non pas la terre mais les pages d'un album VAILLANT daté 1952. Je me suis arrêté devant une photo de gamin, photo imprimée et dont la légende indique qu'il s'agit d' "Un petit Mitchourinien de l'Ain".

 

BD-Vaillant,-17-08-1952.jpg

 

 

Mitchourine, trépassé en 1935, était le plus génial agronome de tous les temps puisqu'il savait que les résultats faramineux qu'il obtenait s'expliquaient par la philosophie sociale de Marx, Lénine et Staline tout autant que par l'expérience du praticien. Grâce à quoi, les fruits obtenus étaient des fruits géants de même que les légumes étaient, eux-aussi, frappés de gigantisme. En lisant ces choses, vous comprenez bien que les lois de la génétique énoncées par Georges Mandel ne sont que des subterfuges imaginés par le capitalisme afin d'exploiter les peuples.

 

BD-Vaillant,-07-09-1952.jpg

 

 

Les deux images ci-dessus sont extraites d'une série Bédé dessinée par Poïvet et scénarisée par Lécureux : "Les Pionniers de l'Espérance", dans VAILLANT le journal le plus captivant. Nous constatons qu'une coccinelle, elle aussi, a amplement profité de la science du glorieux camarade Mitchourine.

 

Allons ! sans doute Doc Jivaro n'aurait-il pas écrit ces lignes s'il n'avait pas, hier soir, regardé sur l'écran TV et en replay le film "Good bye, Lenin !" réussi en 2003 par Wolfgang Becker et toute son équipe.

 

Doc Jivaro

 

12/08/2019

A jouer au Père Noël 365 jours sur 365

EPSTEIN le milliardaire
se suicide (?) en prison

Epstein-se-suicide.jpg

08/08/2019

Notre ancien dessin macho

Marlène Schiappa
affirme :

"Les femmes en ont marre d'être suivies dans la rue"

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31/07/2019

Les congés payés 2019 n'sont plus ceux de 1936

En août un couple de citadins
est persécuté par le monde rural

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30/07/2019

Tarzanide intermède n° 364

Pendant la dizaine d'années d'avant la Seconde Guerre Mondiale existaient deux journaux pour la jeunesse, tous deux commencés en 1929 et tous deux sous la responsabilité d'un certain Jean Nohain ...

 

En 1938 (22 septembre) les deux journaux qui avaient fusionné, affichaient un numéro 463 qui offrait (et offre toujours pour les collectionneurs) une particularité rare : toutes ses images étaient dessinées par des enfants proches de l'adolescence.

 

BD-Benjamin,-sept-1938.jpg

 

Un garçon appelé Robert Perron et âgé de quatorze ans présentait, sans doute influencé par Jean Bellus, les deux personnages du cinéma américain Laurel et Hardy sous l'aspect d'une bande dessinée. Profitons en pour indiquer que ce duo comique n'apparut jamais en France dans un illustré ayant leurs noms pour titre. Oui : à la différence de Charlot. Et si vous tapez sur le clavier de votre ordi'acteur Robert Perron plusieurs homonymes apparaîtront. L'un d'eux apparaîtra même comme pédophile piégé par un journaliste dans Montréal en 2012. Ce fait divers nous amène à présenter une image publicitaire bel et bien réalisée dans le journal BENJAMIN de 1938. Une réclame pour la marque PETIT BATEAU, marque longtemps spécialisée dans la confection de petites culottes en coton pour fillettes et garçonnets.

 

BD-Benjamin,-22-09-1938.jpg

 

Une de nos voisines trop âgée pour appâter le loup, a l'habitude, les jours de beau soleil, d'exposer du linge dans son jardin. On mentirait à qualifier d'érotiques ses sous-vêtements. D'autant qu'elle laisse pendre à une seule pince chacune de ses culottes blanches traditionnelles afin d'en cacher la forme "triangle des Bermudes" suggestive.

 

- C'est bien une précaution de vieille bigote ! m'a dit mon épouse.

 

Doc Jivaro

 

26/07/2019

Libérons les potiches hôtesses d'accueil !

Place aux

Hôtes d'Accueil !

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