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23/01/2017

L'antisocialisme primaire existe

Dimanche 22 janvier 2017

Hamon Valls

 

 

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21/01/2017

Les Tarzanides du grenier n° 238

 

Lors de la toute recente investiture du républicain TRUMP à la Présidence des États-Unis, beaucoup de téléspectateurs-trices en France s’interrogèrent :

 

- Pourquoi y a t’il quatre drapeaux américains suspendus en arrière plan ?

 

En effet, on voyait quatre modifications successives de l’étendard du « Nouveau Monde », chacune rappelant l’agrandissement des territoires depuis qu’en 1770 avait élaté dans Boston la révolte contre le colonialisme anglais.

 

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Ci-dessus un fragment d’une bande dessinée d’Outre Atlantique traduite en français. L’en-tête en est : Les Aventures de DICK. Nous y suivons les exploits d’un jeune garçon, exploits imaginaires mais brodés sur la trame historique des luttes réelles en faveur de l’indépendance américaine. DICK rencontre des personnages d’importance : Montcalm, Wolfe, Daniel Boone, Washington … etc. Des chefs indiens, aussi, tels Pontiac.

 

Et DICK, sous les ordres de Washington, finit par rencontrer une certaine Betsie ROSS. Le Général demande à cette dame de tisser le premier emblème des États-Unis. Toutefois, un différend apparaît à propos de la forme de chaque étoile. Washington a décidé six branches et Madame Ross n’en avait prévu que cinq. George s’incline finalement devant Betsie : chaque étoile ne se hérissera que de cinq branches. George Washington avait-il imaginé conquérir une nouvelle et immense « Terre Promise » pour un peuple dispersé depuis la destruction de la Jérusalem antique ?

 

Les aventures de DICK peuvent encore être lues dans l’hebdomadaire DONALD, depuis le 25 juin 1950 jusqu’au dimanche 22 mars 1953. C’est à dire de son numéro 170 jusqu’à son numéro 313. Les images de DICK sont d’une tournure claire, bien lisible malgré quantité de détails relatifs aux uniformes et paysages. Cependant on regrette quelques saturations de pigments dans les couleurs de l’imprimé français.

 

Assez bizarrement, le BDM de l’année 2009 n’inscrit pas « Les Aventures de DICK » dans la liste des BD présentes dans l’illustré DONALD de 1947 à 1953.

 

Doc Jivaro et Mfcl

 

 

14/01/2017

Les Tarzanides du Grenier n° 237

Les éditions Casterman et Moulinsart SA doivent faire des choux gras en rééditant le bon vieux Tintin au pays des SOVIETS (1929) mais dans une version prostituée à la colorisation. Donc dans une falsification avouée.

 

Vous n’allez pas me dire que vous n’accepteriez de vous rendre à une rétrospective des gravures de Dürer ou de celles de Rembrandt qu’à condition qu’elles aient été d’abord scannées et colorisées sous prétexte de les rajeunir ou de les rendre plus vivantes – pouah !

 

 

A propos de TINTIN au pays des SOVIETS, le fanzine RECTO VERSO numéro 3 de l’année 1983, (tellement rare qu’il en est aussi précieux qu’une des précieuses pierres du Graal), le fanzine RECTO VERSO, dis-je, publia en son temps une page critique bousculant quelque peu la mémoire d’Hergé après le trépas du Monsieur Belge. Voici cette page mais amputée d’une de ses vignettes dont le sujet ne concerne pas Tintin.

  

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- Doc Jivaro ?

- Oui ?

- Si t’aimes pas l'arc en ciel n’en dégoûtes pas les gens.

- Soyez sérieux ! Doc Jivaro aime les couleurs en Art lorsqu’elles y sont utiles. Exemples : Le dernier tiers du film YVAN LE TERRIBLE ou encore dans ANTONIO DA MORTES film de 1969. Sans oublier qu’existe aussi un DICK TRACY de 1990 ayant bien joué des teintes fluorescentes. Mais qu’un quelconque quelqu’un vienne à trahir en le colorisant KING KONG, le seul vrai KING KONG, celui de 1933, j’envoie en riposte la Reine du Royaume d’Opar couper les deux breloques du quelconque quelqu’un.

 

Vous voilà tous avertis, cornegidouille !

 

Doc Jivaro et Mfcl

 

11/01/2017

Suicidée à cause de son public ?

 

D A L I D A

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07/01/2017

Les Tarzanides du Grenier n° 236

 

Une fois n’est pas coutume, affirme t’on familièrement. Et, en conséquence de quoi, tout collectionneur quelque soit l’objet de ses recherches vous pariera qu’il est plus aisé de trouver plusieurs des numéros quelconques d’une collection que de trouver le numéro 1 d’une même collection. Le cas contraire existe pourtant d’une BD de l’année 1950, celle ayant pour titre TEDDY L’HOMME GRENOUILLE. Car son exemplaire premier nous le rencontrons assez facilement chez un marchand spécialisé alors que nous ne rencontrons que rarement les cinq numéros suivants complétant la série.

 

 

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C’est l’éditeur ELAN qui fit paraître bi-mensuellement douze pages de ce TEDDY L’HOMME GRENOUILLE. Le dessinateur en était George BRIENT. A ce moment là nous autres élèves de l’éducation populaire étions loin de fantasmer à propos d’un humain couplé avec un batracien. Que l’homme chauve-souris BATMAN excita notre imagination, très bien, bravo ! Mais qu’un homme combiné avec une grenouille parvint à nous enthousiasmer, c’était exagéré ! c’était trop prétendre abuser de nos naïvetés d’enfance. Comment accepter sans humour un héros de papier BD dont la performance anatomique eut été d’utiliser deux yeux globuleux pour pousser des aliments dans son appareil digestif ? S’envoler comme l’aigle, d’accord. Mais patauger dans une eau vaseuse parmi des sangsues suçant, allez vous faire voir ailleurs ! Évidemment, nous restions réfractaires à ce que l’homme grenouille se classât comme Frogman dans la liste prestigieuse de nos Batman, Wonderman, Superman, Spiderman et l’autre, le Apeman fondateur, c’est à dire le Tarzan homme singe.

 

Le dessinateur George Brient organisait, je suppose, ses mises en page sous l’influence de celles signées de Nortier et Poïvet, ces deux là se relayant pendant l’année 1946 de la parution de leur « LES PIONNIERS DE L’ESPÉRANCE ».

 

 

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Comme d’autres commentateurs de BD, je crus George BRIENT non seulement oublié depuis des décennies mais encore disparu mortellement. La loterie du hasard vient de me détromper en plaçant devant moi un album cartonné de l’Éditeur LAVAUZELLE daté de 1989 et traitant de la carrière exemplaire du Maréchal De Lattre de Tassigny. Une séquence historique dessinée par … George BRIENT ! Malheureusement, les images fabriquées à partir de documents photographiques n’ajoutent rien au talent de l’artiste.

 

 

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Ma femme ne s’est pas gênée me callant d’un croche-pied : « Tu sais, en 1952, il y eut chez les américains un FROGMAN ! ».

 

Pas d’embrouille Madame ! Votre Doc Jivaro, ici, se limite aux seules publications françaises.

 

Doc Jivaro et Mfcl

 

 

 

03/01/2017

Brexit : Première victime


ELISABETH 2


DISPARUE
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Personne ne m’a conseillé un remède pour m’en corriger mais les séries ou les films traduits en français et relatifs au locataire célèbre du 221 bis Baker Street, m’ennuient jusqu’à l’assoupissement.

 

Destinés à un lectorat le plus nombreux possible, les romans de Conan Doyle se limitent forcément à des énigmes proches des secrets d’un polichinelle.

 

On nous a bien fait croire quand nous étions des gamins que la question que le sphinx posa à Œdipe était : qu’est-ce qui marche sur quatre pattes à sa naissance, puis sur deux, puis sur trois pour finir sa vie ?