26/04/2010
Suicide d'Adolf Hitler
11:43 Publié dans Cinéma, Dessin humoristique, Film, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : adolf hitler, la chute, 3e reich, bernd eichinger
13/01/2010
Invictus
12:37 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Film, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eastwood, mandéla, afrique du sud
24/06/2009
King Kong
Mensonge.
Ou erreur.
Et d'abord, faut s'entendre : lorsqu'une œuvre est annoncée intégrale n'est ce pas un contre sens de la présenter comme « version ».
Quoiqu'il en soit, ARTE ne nous a imposé qu'une version incomplète. Et dans ce cas, au bon vieux temps des caméras à manivelle, le projectionniste s'affolait, s'exclamant : Il manque la première bobine !
Car le seul vrai scénario de KING KONG débute par la fuite d'une petite voleuse occasionnelle. Une mendiante ayant chapardé une pomme sur un étalage et qui n'échappe à une correction qu'en acceptant de s'embarquer comme actrice pour une île aussi lointaine que mystérieuse, présage à moult dangers.
La pomme, objet du larcin, n'est pas du tout négligeable pour la compréhension du thème filmé. La société américaine très marquée par la mythologie judéo-chrétienne, cela par redondance de notre déjà vieille société européenne, interprète la pomme - simple fruit - en tant que symbole originel d'une sexualité humaine FAUTIVE devant le dieu d'Israël. Or, il s'agit bien d'une trame sexuelle qui sous tend l'histoire de l'instinctif gorille géant arraché à son île-paradis et qui va finir mitraillé (assassiné ? ) à cause d'une passion amoureuse pour une jolie fille affectée d'un « ça » refoulé par la civilisation.
Contrairement à Tarzan souvent indifférent à l'attrait érotique des jeunes filles,
KING KONG, lui, joue franc-jeu.
Déshabillant sa captive épouvantée, le bel animal va jusqu'à en renifler les dessous de vestale vagabonde.
En 1954 la censure américaine eut la mauvaise idée de supprimer cette séance d'effeuillage
érotique pourtant atténuée par une ambiance humoristique.
Le film complet est d'une durée de 100 minutes.
Je ne l'ai vu en totalité qu'une seule fois, en 1965 et dans le cinéma Le Champollion, si j'ai bonne mémoire. Oui c'est ainsi : à Paris, quartier Latin. Cette salle assez petite par son espace fut longtemps spécialisée dans la reprise de films datant d'avant et pendant la seconde guerre mondiale.
Malgré ou à cause de l'hostilité manifestée par les doctrinaires religieux, KING KONG influença toutes les sphères de la création culturelle. En France artistes et écrivains surréalistes débattirent de ses qualités. Les psychanalystes et leurs assimilés s'en donnèrent à cœur joie. L'inclassable Boris Vian s'en enthousiasma (soit dit en passant la médiathèque montluçonnaise du même nom que l'auteur de « L'écume des jours », nous étonnerait en mettant en place une exposition sur le phénomène qu'on surnomma par plaisanterie « le beau ténébreux ». Je parle de King Kong, bien sûr).
La BD française, elle même, pendant l'année 1948, publia un hebdo de huit pages et de treize numéros, ayant pour titre KING KONG. A ce sujet, je signale posséder une reliure KING KONG à dos verdâtre, groupant onze numéros et dans laquelle se trouve le numéro 2 (alors que le BDM 2009-2010 semble ne connaître qu'une reliure à laquelle manque ce numéro 2).
RYAL
Dessin de Hogarth, 12/7/1942 (vignette réduite sur sa longueur)
Forcément Tarzan ne pouvait pas faire autrement que de rencontrer des gorilles titanesques plus ou moins imités de KING KONG.
Ici le fils de Kala la femelle risque sa peau en affrontant, sur le fuselage d'un bimoteur lancé en vol, une créature formidable, poilue comme les mille castors de Bleck le Roc
14:31 Publié dans Arts, Cinéma, Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : king kong, arte, cinéma, tarzan
25/05/2009
Cloture Festival de Cannes
CHARLOTTE GAINSBOURG
PRIX D'INTERPRETATION FEMININE
14:29 Publié dans Actualité, Cinéma, Dessin humoristique, Film | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : festival de cannes, prix d'interprétation féminine, charlotte gainsbourg, antichrist, lars von trier, bar-zing
22/04/2009
Mein Fürher
JEUDI 23 SUR ARTE
20 H 45
" MON FURHER "
Film par Dani Levy
Le chancelier du IIIe Reich était-il un personnage comique ?
Toxicodépendant, impuissant, incontinent ... tel fut Adolf d'après ce qu'en rapporte une dame Rossignol (Le Monde 19 et 20 avril 2009) à partir du film de Dani Levy, lequel voit une « épave psychologique » dans Hitler.
Doit-on comprendre que les démocrates des années 1920 et 1930 en Allemagne ainsi que dans les pays européens de l'Ouest, furent trompés, ridiculisés et battus militairement jusqu'en 1944 par un pauvre type déficient au physique comme au mental ?
Si tel fut le cas, alors nous ne sommes pas rassurés quant à l'avenir des démocraties.
Yral
20:55 Publié dans Arts, Dessin humoristique, Film, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hitler, dani levy, film, télévision, arte, bar-zing de montluçon
17/04/2009
Annie entends-tu ?
J'avoue : j'ignorais que Druon ( Maurice) fût encore vivant. Je le croyais mort, mort et enterré depuis belle lurette. C'est pourquoi l'annonce de son décès récent m'a porté un coup d'épouvante pareil à celui d'une bande annonce pour film de zombies.
On va, on vient et l'on s'en va.
Les médias en ont profité pour rappeler que lui, Maurice, et son oncle, Joseph, eurent l'excellente idée d'écrire « Le Chant des partisans ». Un air qui se fredonne plutôt qu'il ne se chante, ce me semble.
Seulement voilà : les communistes s'en emparèrent, comme si les couplets venaient de leurs seuls rangs staliniens ; et nous connûmes l'après-guerre où le camarade Yves Montand, débutant comme collaborateur des soviets, collait ce chant sur sa panoplie de comédien.
Faut oublier, c'est le passé, que vous dites. Je vous comprends bien : Montand en est même trépassé.
Et sa Signoret aussi, qui aimait tant regarder les enfants faire trempette dans sa piscine à Neuilly.
Donc Druon vient de quitter notre vallée de larmes. Non sans nous avoir agacés lorsqu'il était ministre de la culture, fonction qu'il confondait avec un ministère de la censure. Il y mélangeait la protection du verbe français avec la protection du pucelage des demoiselles huppées du Lycée Pascal. C'est ce qui explique qu'il ne pouvait admettre les revendications économiques et sexuelles des jeunes femmes de mai 68.
Je n'ai ni lu « Les grandes familles » ni « Les Rois maudits ». Je n'en ai pas non plus vu les adaptations pour la télé. Toutefois, étant grand garçon en 1958, j'ai assisté aux démêlés entre Jean Gabin et Pierre Brasseur dans le film tiré du roman « Les Grandes ... ». Et quand j'entendis un des deux parents ambitionner d'uriner sur les fauteuils de l'autre, je compris que dans la haute bourgeoisie l'instinct de propriété se marque comme chez les chiens.
Annie entends-tu ...
11:56 Publié dans Actualité, Blog, Film, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : maurice druon, yves montand, bar-zing de montluçon