03/10/2010
Maisons closes
14:36 Publié dans Actualité, Actualité, Arts, Arts, Dessin humoristique, Dessin humoristique, Film, Film, Moeurs, Moeurs, Sexualité, Sexualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : religion, sexe, moeurs, cinéma, canal plus
07/09/2010
Interlude ciné
Mon épouse – ma légitime si vous préférez – a absolument voulu apprécier jusqu'au final le film Inglourious Basterds signé de Tarantino.
S'agit d'une œuvre d'imagination, d'une sorte de revanche imaginaire autant qu'anachronique développée à l'encontre de l'ennemi nazi, par des juifs. Des juifs encore aujourd'hui au regret de n'avoir pas disposé en temps voulu d'une armée nationale capable d'affronter celle de Hitler quand celui-ci recevait l'appui du Grand mufti de Jérusalem.
Comme on les comprend !
Bien que nul ne peut rejouer l'Histoire passée.
J'observe surtout que ce film manifeste une rare complaisance dans l'étalage de scènes aussi cruelles que sanglantes.
Vous vous en êtes régalés ? Moi pas. Même présentée sous des formes artistiques et intellectualisées, la violence répugne assez fréquemment à mon goût.
Et tenez : ne croyez vous pas qu'un porno solft sur Arte, à 20H35, convienne mieux à la jeunesse ?
Je me suis dis, aussi, que c'est le peuple palestinien qui, depuis plus de 60 ans, subit le contre-coup de la situation désastreuse qui fut celle des familles israélites sous un führer venu d'Autriche.
Toutefois, comme d'aucuns racontent que cet Adolph était fou, le cinéaste Tarantino a pu sans complexe avoir l'idée folle de faire accroire que le chancelier antisémite du 3e Reich se serait enfermé, lui et son état major, dans un cinéma français géré par une juive.
Idée folle qui n'a que l'excuse d'être simplette. Mais vous me direz que Bécassine et Tintin sont pareillement simplets ; et que c'est ce qui explique que Papa et Maman vous en aient recommandé la fréquentation lorsque vous débutiez sur les bancs de la Primaire.
Inglourious Basterds a été récompensé, « oscarisé » par le Festival de Khan 2010.
C'était quasi d'emblé prévu par le scénario.
Bar-Zing
N.B. : Faites savoir à Brad Pitt qu'il ne suffit pas de se décorer le nez par une moustache pour égaler Pierre Fresnay ou Clark Gable.
Info succincte :
Hitler ne vint qu'une seule fois pour une promenade matinale dans Paris.
Le 23 juin 1940.
Guidé qu'il était par un certain Arno Breker, artiste sculpteur de géants et dont les œuvres animées d'un héroïsme théâtral furent en partie détruites par la double victoire armée communiste et capitaliste en 1945.
20:00 Publié dans Arts, Film, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : inglourious basterds, tarantino, brad pitt, arno breker
09/08/2010
Bruno Cremer
11:56 Publié dans Actualité, Cinéma, Film, Littérature, Séries télévisées | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : simenon, bruno cremer, littérature, media, showbizz
26/04/2010
Suicide d'Adolf Hitler
11:43 Publié dans Cinéma, Dessin humoristique, Film, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : adolf hitler, la chute, 3e reich, bernd eichinger
13/01/2010
Invictus
12:37 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Film, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eastwood, mandéla, afrique du sud
24/06/2009
King Kong
Mensonge.
Ou erreur.
Et d'abord, faut s'entendre : lorsqu'une œuvre est annoncée intégrale n'est ce pas un contre sens de la présenter comme « version ».
Quoiqu'il en soit, ARTE ne nous a imposé qu'une version incomplète. Et dans ce cas, au bon vieux temps des caméras à manivelle, le projectionniste s'affolait, s'exclamant : Il manque la première bobine !
Car le seul vrai scénario de KING KONG débute par la fuite d'une petite voleuse occasionnelle. Une mendiante ayant chapardé une pomme sur un étalage et qui n'échappe à une correction qu'en acceptant de s'embarquer comme actrice pour une île aussi lointaine que mystérieuse, présage à moult dangers.
La pomme, objet du larcin, n'est pas du tout négligeable pour la compréhension du thème filmé. La société américaine très marquée par la mythologie judéo-chrétienne, cela par redondance de notre déjà vieille société européenne, interprète la pomme - simple fruit - en tant que symbole originel d'une sexualité humaine FAUTIVE devant le dieu d'Israël. Or, il s'agit bien d'une trame sexuelle qui sous tend l'histoire de l'instinctif gorille géant arraché à son île-paradis et qui va finir mitraillé (assassiné ? ) à cause d'une passion amoureuse pour une jolie fille affectée d'un « ça » refoulé par la civilisation.
Contrairement à Tarzan souvent indifférent à l'attrait érotique des jeunes filles,
KING KONG, lui, joue franc-jeu.
Déshabillant sa captive épouvantée, le bel animal va jusqu'à en renifler les dessous de vestale vagabonde.
En 1954 la censure américaine eut la mauvaise idée de supprimer cette séance d'effeuillage
érotique pourtant atténuée par une ambiance humoristique.
Le film complet est d'une durée de 100 minutes.
Je ne l'ai vu en totalité qu'une seule fois, en 1965 et dans le cinéma Le Champollion, si j'ai bonne mémoire. Oui c'est ainsi : à Paris, quartier Latin. Cette salle assez petite par son espace fut longtemps spécialisée dans la reprise de films datant d'avant et pendant la seconde guerre mondiale.
Malgré ou à cause de l'hostilité manifestée par les doctrinaires religieux, KING KONG influença toutes les sphères de la création culturelle. En France artistes et écrivains surréalistes débattirent de ses qualités. Les psychanalystes et leurs assimilés s'en donnèrent à cœur joie. L'inclassable Boris Vian s'en enthousiasma (soit dit en passant la médiathèque montluçonnaise du même nom que l'auteur de « L'écume des jours », nous étonnerait en mettant en place une exposition sur le phénomène qu'on surnomma par plaisanterie « le beau ténébreux ». Je parle de King Kong, bien sûr).
La BD française, elle même, pendant l'année 1948, publia un hebdo de huit pages et de treize numéros, ayant pour titre KING KONG. A ce sujet, je signale posséder une reliure KING KONG à dos verdâtre, groupant onze numéros et dans laquelle se trouve le numéro 2 (alors que le BDM 2009-2010 semble ne connaître qu'une reliure à laquelle manque ce numéro 2).
RYAL
Dessin de Hogarth, 12/7/1942 (vignette réduite sur sa longueur)
Forcément Tarzan ne pouvait pas faire autrement que de rencontrer des gorilles titanesques plus ou moins imités de KING KONG.
Ici le fils de Kala la femelle risque sa peau en affrontant, sur le fuselage d'un bimoteur lancé en vol, une créature formidable, poilue comme les mille castors de Bleck le Roc
14:31 Publié dans Arts, Cinéma, Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : king kong, arte, cinéma, tarzan