09/08/2016
Montluçon ! terminus. Buffet froid
Maire de notre ville
DANIEL DUGLERY
refuse l'inhumation de
Abdel Malik
dans un cimetière montluçonnais
12:03 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Montluçon, Religion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : montluçon, daniel dugléry, saint etienne du rouvray, erdogan, franck petit-jean, abdel malik petit-jean, mohamed merrah
07/08/2016
Dimanche, jour du Seigneur n° 21
Dans une rue traversée par le ruisseau des Étourneaux (et alors que l’herbe sauvage garnissait les deux côtés de cette rue qui semblait s’être tracée tout seule avec sa terre bosselée par l’affleurement de pierres rondes), dans ce parcours populaire, donc, un des gamins avait longtemps gardé une manie de bébé.
Ce n’était pas moi, c’était le voisin.
14:56 Publié dans Dessin humoristique, Education, Moeurs, Religion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dimanche jour du seigneur, souvenirs d'enfance, montluçon, rue des étourneaux
03/08/2016
Aujourd'hui ...
... journée sans
18:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vacances, blog bar-zing, montluçon
31/07/2016
Dimanche, jour du Seigneur n° 20
11:23 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Politique, Religion, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : montluçon, cusset, cracovie, pape françois, guide vanupied, jacques hamel, saint etienne du rouvray
28/07/2016
Paris 2016 : le politique soumis au religieux ?
Contre le Moloch
un autre Moloch importé du Moyen Orient
13:11 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Politique, Religion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : moloch, baal, astarté, carthage, andré vingt trois, saint etienne du rouvray, daesh, jacques hamel, montluçon, daniel dugléry, notre dame de paris, police nationale, police municipale, gilgamesh, abdel malik nabil petit jean
17/07/2016
Dimanche, jour du Seigneur n° 18
A l’approche du midi d’un des jours dominicaux, ma femme et moi passions à l’ombre du haut mur de l’église, du côté des marchands musulmans, lorsque brusquement tous les clapotements forains furent noyés dans un déluge de battements de cloches tout autour de nos têtes. A ne plus s’entendre parler.
- Il y va trop fort, le curé ! cria dans mon oreille mon épouse née dans une famille de vraie bourgeoisie pratiquante catholique.
Sûrement, oui, la prêtrise frappait trop fort. Et je m’amusais à supposer que le grand bruit des cloches secouées servait moins à célébrer l’office des fidèles qu’à faire s’écrouler le clocher.
Se rendre à la messe dominicale c’était obligatoire pour être bien accepté aux deux leçons de catéchisme en semaine. Me semble même me souvenir qu’il fallait faire pointer quelque carte de présence.
- Tu l’as oublié ta carte ?
- Ca ne risque pas. Ma mère l’a fourre dans ma poche et faut que je la lui rende à mon retour.
- Que tu lui rendes ta poche ?
- T’es con ! … Dis, on va faire une partie de baby-foot à la sortie ?
- Impossible ! j’ai failli prendre une raclée l’autre dimanche quand je suis rentré en retard qu’ils m’attendaient pour commencer à bouffer l’entrée de céleri-tomates.
A l’approche de la fin de la messe, tout le monde devait chanter l’allégresse d’être chrétien. Surtout catholique. Je ne me rappelle plus les paroles mais quelques unes surnageaient comme un refrain :
Je suis chrétien
Voilà ma gloire
Mon espérance et mon soutien.
Pour mon copain du moment et pour moi ce chant religieux correspondait vraiment à une délivrance : il annonçait la fin d’une heure d’ennui.
Nous allions nous retrouver libre dehors, sous le ciel, DANS le ciel, avec de véritables nuages. Nous allions échapper à la surveillance des statuettes en plâtre peint dont chaque visage fermé comme une serrure de geôlier épiait nos mouvements y compris les plus discrets. Surtout les mouvements de nos lèvres. Car assez rapidement une des phrases religieuses chantées par l’assemblée, se trouvait déformée, ici ou là, par quelques langues enfantines irrespectueuses. Le « Je suis chrétien » était trahi en un « Je suis crétin ».
C’était tellement facile.
- Tu crois que le curé il nous a repérés ?
- Mais non ! Mais non ! Il a autre chose en tête ! Il va aller manger dans la famille de la Grande Boucherie Charcuterie de la Place, où qu’il est invité tous les dimanches. Y paraît que leur fils veut faire le séminaire.
- Le quoi ? Comment tu sais ?
- Je le sais c’est tout. Allez, bye ! Je cours en avant pour m’éviter une engueulade.
Ryal
13:22 Publié dans Education, Enseignement, Religion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : montluçon, abbé chevalier, abbé sauvageot, souvenirs d’enfance, paroisse saint paul, cinéma des marais, Étourneaux