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15/04/2016

Voici ce qu'il résulte de l'ENA

 

L'AVEU

Hollande-France-2.jpg

14/04/2016

Sarkozy / Hollande : c'est tout médire


Sondages :
D'une égale réprobation

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11/04/2016

Le Phénix étouffé de ses cendres

 

Baisse béton

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09/04/2016

Les Tarzanides du grenier n° 207

 

De tous les journaux illustrés publiés en France dans l’immédiat de l’après Seconde Guerre Mondiale, le plus alimenté en bandes dessinées américaines fut certainement DONALD, acheminé chez nous par l’Agence Opéra Mundi.

 

Ma petite enfance y trouva des séries fameuses devenues des classiques du genre, et que mon père avait appréciées, lui aussi ayant été enfant mais en un temps où Clemenceau avait cessé depuis peu d’importuner les jeunes femmes. J’appréciais Guy l’Éclair et le Roi de la Police montée, Brick Bradford et les autres, tous les autres depuis le « Dernier des Fédérés » jusqu’au magicien Mandrake en passant par l’illustre héros de Milton Caniff : TERRY, lequel était à peine grimé en BARRY. Il y avait aussi Raoul et Gaston d’un courage égal à celui de Gaston et Raoul, là-bas en Afrique du Sud.

 

Donald-1947.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Ne la cherchez plus, elle est ici au bout de votre nez la première page du numéro 1 de DONALD daté du dimanche 23 mars 1947.

 

 

 

 

 

 

Or, c’était cette qualité dans la diversité qui, en France, faisait de DONALD la cible à détruire par des concurrents éditeurs jaloux. Ceux-ci fortement épaulés par des politiciens de gauche et des académiciens de droite qui, incapables de rivaliser en succès auprès d’un public populaire, ne savaient rivaliser que par des mensonges parfois exagérés jusqu’à la calomnie. Nous vîmes alors les communistes mécréants et les soutanes confessionnelles, précédemment alliés en maquisards pendant quatre années d’une guerre terminée, recommencer à combattre côte à côte mais, cette fois, pour vaincre une bande dessinée américaine jugée trop influente auprès de la jeunesse française. En résulta la LOI de Juillet 1949 qui abattit dans le dos DONALD et plusieurs de ses semblables, dont TARZAN.

 

C’était Don Camillo et Peppone signant une trêve entre eux deux afin de s’unir momentanément dans la chasse au canard DONALD. N’est-ce pas que c’aurait pu devenir le sujet d’un nouveau livre humoristique écrit par Guareschi ?

 

Doc Jivaro (MFCL)

 

02/04/2016

Les Tarzanides du grenier n° 206

 

Hop ! le tour est joué. Effet miroir (sauf les couleurs). Il suffit d’inverser une image pour se dispenser d’avoir à en – hi-han ! - dessiner une deuxième.

 

Tex-Tone-n°-355-et-468-.jpg

 Tex Tone n° 355 - Tex Tone n° 468

 

De ce titre, il y eut 526 numéros mis en vente depuis mai 1957 jusqu’en mai 1986.

 

Le Copyright IMPÉRIA détient, peut être, le record en France quant à la réutilisation d’un dessin sous sa forme réfléchie pour des couvertures différentes.

 

De cette façon, Cassidy n° 65 (année 1955) resservira selon le truc de faux jumeaux placés vis à vis, pour son n° 265 de l’année 1957.

 

Cassidy-1955-et-1957.jpg

 

 

Le Gérant, Rédacteur en chef, Directeur des publications se nommait BAGAGE. Robert BAGAGE. Isolez ROB pour ajouter BA, vous obtenez ROBBA. Oui : la signature de l’illustrateur des premières couvertures de TARGA, tarzanide exemplaire.

 

Doc Jivaro (MFCL)

 

 

30/03/2016

Un gastronome meurt de faim


Jean-Pierre "Coffre"
a pas pu avaler son  dernier handburger

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