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04/09/2015

Au feu les pompiers !

 

En apprenant l'incendie dans la célèbre rue Myrha du PARIS d'Harlem Désir et Julien Dray, les gauchistes avaient immédiatement pensé : super cool ! c'est l'occasion de mettre en cause les racistes d'extrême-droite !

 

D'autant que huit parisiens inconnus du grand public périssaient.

 

Mais – merde alors ! à la place d'un franchouillard français d'origine bourbonnaise, les soupçons portent sur un algérien récidiviste habitué des tribunaux sans en être ni avocat ni témoin ; (et que la justice « droits de l'homme » remet systématiquement en liberté peut-être parce que le crime doit payer en France démocratique).

 

On raconte même qu'un asile psychiatrique c'est bien commode pour échapper à telle ou telle punition pour tel ou tel délit.

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- En date du 3 septembre 2015, LE MONDE eut un titre annonciateur de nouveaux lendemains qui chantent.

  

Le-Monde-03-09-2015.jpg

 

Les propagandistes socialo-communistes camouflés en journalistes n'ont cesse de vous promettre un bien-être futur – et vous les croyez ! Toutefois cet avenir de cocagne, ce n'est jamais comme résultat de votre travail qu'ils vous l'annoncent. C'est toujours de l'arrivée de l'étranger qu'ils vous le prophétisent. Hier, par exemple, l'armée soviétique à laquelle Thorez Maurice vous demandait d'ouvrir les portes de la France.

 

Et aujourd'hui ? … Aujourd'hui c'est grâce aux populations du « printemps arabe » en errance de guerres religieuses, qu'un avenir mirifique vous est assuré. Ces populations ayant tout raté chez elles, arrivent pour vous expliquer comment tout réussir chez vous.

 

LE MONDE devrait au moins avoir une parole d’honnêteté pour titrer :

 

LES MIGRANTS

UNE CHANCE POUR L'ISLAM

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Vite !  

 

Votons un IMPÔT EUROPÉEN dont le rendement servira à l'installation des populations migrantes clandestines dans les pays « droits de l'homme » !

 

Vite ! 

 

Ryal

18/08/2015

J-J. Bourdin - Direct RMC

L'ornithorynque du jour
PHILIPPE SAUREL
un catho pratiquant
pratiquant Franc-Maçon

Philippe-Saurel-chez-Bourdin.jpg

 

17/07/2015

Les démocrates, collabos nouveaux, exigent :

Ouvrons nos frontières !

 

Vallauris-plage-privée.jpg

Vous partez en vacances.

 

Alors Bar-Zing, Lyar et autres Yral et Raly

ainsi que le Docteur Jivaro

arrêtent leur blog

jusqu'à la dite prochaine rentrée de septembre.

16/07/2015

Histoire d'eau mise au sec

 La Petite Sirène

Pénurie d'eau Petite-Sirène.jpg

 

Un individu identifié et armé d'une canne à pêche vient de mettre à mort un poisson en eau douce d'un poids de 28 kg.

     - Dans le Cher ?

     - C'est ça : dans la flotte de cette rivière où, jadis, pissa le Père Coulon.

Si les poissons de 28 kg avaient du temps à perdre pendant leur existence marine, ils iraient à la chasse aux gros connards.

Ils ne rentreraient jamais bredouilles. 

13/07/2015

Bruxelles 2015

Parlement  européen
EXPO
ART GREC ANTIQUE

Dette-grecque.jpg

 

11/07/2015

Les Tarzanides du Grenier n° 117

 

Dès la naissance d’une carrière appelée à devenir prestigieuse, PELLOS est sollicité par Robert Offenstadt pour participer à la création d’un tout nouveau journal illustré visant une clientèle de jeunes gens. Il s’agira de JUNIOR, quatre pages géantes de BD hebdomadaires importées d’Amérique du Nord. On est alors en 1935. PELLOS assurera la présence française au milieu des produits étrangers de haute tenue : Tarzan, Alley Oop, Red Ryder, etc. Outre FUTUROPOLIS, il créera un Jean-Jacques Ardent au moment de la déclaration de guerre lancée par la France à l’Allemagne. La bande dessinée jouait ainsi son rôle, trop modeste il est vrai, de soutien auprès d’une armée cocardière quelque peu obsolète en face d’une Wehrmacht moderne et revancharde.

 

Les professionnels de la mémoire BD présentent fréquemment des extraits de futuropolis… par contre, Jean-Jacques Ardent demeure presque toujours comme quantité négligeable. C’est donc par esprit de contradiction que nous présentons, ici, un fragment paru dans le numéro 200 de JUNIOR en janvier 1940.

 Junior-numéro-200-année1940.jpg

 

  Pendant l’occupation allemande du pays de Pierre de Coubertin, PELLOS continua son œuvre. Il travailla principalement dans ROBINSON, hebdomadaire doté de huit pages et publié à Nice. D’autres français travailleront en sa compagnie : Pierre Billon, Pommert, Max André d’Azergue… Pommert mériterait d’être redécouvert.

 

Avec Compagnon MICHEL, Pellos conforte sa position d’auteur de BD où le sport tient une place essentielle. Et, dans ce cas, c’est l’alpinisme qui occupe le terrain, c.a.d. la montagne.

 

À cette époque, Pellos dut faire une concession aux directives politiques énoncées par le gouvernement du Maréchal P. dans le domaine des journaux populaires. Cette concession consistait à renoncer à utiliser des bulles et autres fumettis dans lesquelles et sous l’influence américaine, étaient enfermés les paroles, les dialogues des personnages.

 Robinson-3-octobre-1943.jpg

  

Contrairement à plusieurs de ses collègues français en BD, Pellos ne fut pas inquiété par une épuration gaullisto-communiste appliquée après la disparition de la Kommandantur et de ses collaborateurs trop zélés. Il continua son art de plus en plus spécialisé dans les séries sportives : le ski, la boxe, le cyclisme, le football. Toutefois l’escrime et le tennis n’attirèrent pas le style magistral de son graphisme aussi hâtif qu'enthousiasme.

 

 

Zorro-numéro-238-année-1950.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans Zorro, : Et vlan ! prend ça dans la tronche ! Tricheries, calomnies, dopages, rancunes et menaces de mort, Pellos ne nous épargne rien du monde « vertueux » des sports en tout genre.

 

 

Aujourd’hui, les BD ne sont guère publiées que sous la forme d’albums périodiques. C’est dire que le scénario et le dessin sont entièrement complets lorsque l’histoire est mise en vente par l’éditeur. Tel n’était pas le cas pendant les décennies passées de notre jeunesse, celle de mon père et la mienne. En bas de page, le récit portait la mention « à suivre ». Les dessinateurs travaillaient souvent une planche hebdomadaire sans réellement prévoir quel aspect ils donneraient à celle de la semaine à venir. Parfois un problème social rendait momentanément impossible la livraison de la planche à l’imprimerie – grèves SNCF ou encore grèves des services postaux. - Mais reconnaissons que de tels manquements restaient rares, très rares.

 

Il y eut le cas d’une absence quelque peu spéciale survenue à PELLOS lui-même.

 Zorro-numéro 47, année1953.jpg

 

Chapeautés par cet article édité dans le numéro 47 de la Nouvelle Série de ZORRO, année 1953, les derniers mots de notre commentaire seront pour rappeler que Pellos reçut le prix d’Angoulême en 1976.

 

Docteur Jivaro