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15/06/2013

Les Tarzanides du grenier (n° 36)

Exception culturelle française, mon cul !

 

Exception européenne ! Exception pour une culture française ? La préserver malgré l'influence mondiale des États-Unis d’Amérique ?

 

En somme, prétendre protéger des Pieds Nickelés contre Jesse James, et Madame de Pompadour contre une fadasse Mary Poppins américanisée. Lorsqu'on affiche une telle prétention on ne commence pas par tolérer l'implantation de l’ogre Disneyland tout à côté de Paris ! Oui, oui, ça rapporte beaucoup de fric, on sait. Mais le résultat final chiffré c'est que ce fric va principalement enfler la tirelire de Mickey ! … Et que prostituer les exigences naïves de l'enfance pour faucher le blé dans les poches des parents, ce n'est pas du joli, joli.

 

Dites moi, aujourd'hui, vous fêtez les 70 ans de qui ? De Jean Smet ? Pas du tout. Jean Smet n’existe plus depuis le débarquement des g'is sur les rivages de Normandie. C'est Johnny Halliday. Johnny, pas Jean. C'est ainsi depuis que le jargon franglais oblige à trafiquer avec du show beez plutôt qu'à commercialiser avec du spectacle.

 

Madame La Ministre de la culture en fait l'aveu involontaire lorsqu'elle se dit toute contente d'être félicitée par un Steven Spielberg … Chère, trop chère Aurélie Fillipetti, être fière comme vous l'êtes des compliments d'un américain, c'est encore reconnaître la supériorité américaine.

 

Moi, j'apprécie pleinement le génie des États-Unis d'Amérique. Aussi vais je peut-être vous surprendre à mes dépens, estimant que les véritables révolutionnaires des débuts du XXe siècle ne sont ni Jean Jaurès ni même Lénine. Ce sont plutôt Rockfeller, Taylor et Keynes. Et pourquoi pas, aussi, les présidents nordistes Grant et Lincoln ? Voila deux types qui organisent le massacre des peuples chasseurs et guerrier amérindiens rien que pour faire de la place aux descendants d'esclaves africains ; et que tous les démocrates d'à présent applaudissent en se réclamant d'une « amitié entre les peuples ». Paradoxal, non ?

 

Vous savez, puisque vous parlez d'une « exception culturelle française » s'opposant aux goinfreries de l’Oncle SAM, alors parlons des quatre années d'occupation militaire allemande de la France. Durant cette période le Maréchal PETAIN et l'ambassadeur Otto ABETZ réussirent très bien à interdire toute présence artistique, littéraire et musicale yankee dans le pays de Voltaire et du Marquis de Sade. Pas vrai ?

 

Finalement, comment oser parler d'Exception Culturelle Française quand l'Islam étranger à nos mœurs fait construire partout chez nous des mosquées , et que cinq prières journalières en appellent non pas à Notre-Dame, non pas au Panthéon, non pas à l'Accadémie Française mais à la Mecque ?

 

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KALI

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Le seul tarzanide de Bédé à cacher son zob sous un slip kangourou.

 

Pourtant ce Kali ne hante pas les savanes d'Australie et les aborigènes crépus lanceurs du boomerang ne sont donc pas ses ennemis. En fait il parcourt l'Inde colonisée par les anglais quoiqu'il n'y rencontre pas Winston Churchill, ce double WC bien utile aux lanciers du Bengale.

 

 

Doctor Jivaro

13/06/2013

La vie des bêtes n° 11

La vie des bêtes


Un petit dessin, comme ça, en passant ; et qui ne peut même pas servir d'illustration pour une des fables que Monsieur de La Fontaine n'écrivit pas.


 

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26/12/2012

Barzinguette n° 7

La charmante Christine Boutin – notre Boutin favorite – fait-elle de temps en temps connaissance de notre blog BAR-ZING ? La voici qui reconnaît aux lesbiennes le droit de satisfaire aux lois du mariage catholique en épousant des hommes homosexuels.

Voir ou revoir notre page du 06/11/2012.


09/08/2012

Exceptionnellement ...

Bar-Zing s'est absenté aujourd'hui.

Ceux-celles qui accompagnent son blog le retrouveront demain, vendredi 10 en fin de soirée.

À bientôt.

27/04/2010

Girouette

Prenez garde petits n'enfants !

 

En plein dans le voisin de mon jardin ... Ou, pour l'écrire plus correctement : au milieu du jardin de mon voisin, un mat en haut duquel se trouvait perché un coq girouette faisait le divertissement de mes yeux par temps de gros vent.

 

Eh bien ! Figurez-vous que pendant mon absence, mon voisin, retraité de la maréchaussée, a arraché supprimé cette belle vigie.

 

  • Qui était là depuis avant ma naissance, m'a indiqué la demoiselle d'âge canonique qui, quelques fois en soirée, appuie son menton sur le petit mur qui sépare sa propriété de la mienne.

 

J'ai, par instant, un faible pour les vieilles demoiselles.

 

Lorsque j'étais petit n'enfant et que mes parents m'envoyaient passer deux ou trois semaines de vacances d'été en Creuse, à Chenérailles précisément, il y avait là bas une demoiselle âgée dont les amples jupes sentaient toujours le savon de lessive. Elle m'emmenait promener entre les crottes d'oie, par de petits sentiers disparus aujourd'hui. Mais surtout, il lui arrivait de me tenir le zizi pour m'aider à faire pipi, comme si je n'avais pas une main à chaque bras.

 

Plus tard, je dus pourtant reconnaître que cette bonne demoiselle n'était pas aussi vieille qu'elle me paraissait au sortir de mes derniers biberons. En 1947-48 elle ne devait porter qu'une trentaine de balais. C'était d'ailleurs une nature assez agréable à regarder malgré ses yeux myopes à l'affut derrière deux hublots.

 

Des gens me racontèrent, quand je fus adolescent, qu'elle avait « échappé à la boule à zéro ». Comprenez : elle avait failli être tondue après le départ des troupes allemandes. Son bon ami - elle avait donc un amour ! - appartenait au mouvement fasciste de Marcel Déat.

 

Quand j'y repense je vois bien que ma tendre enfance ne fut pas à l'abri de certains attouchements, de certaines caresses que bien des filles adultes se permettent, sous couvert d'instinct maternel, auprès de nous autres tendres garçons innocents pareils aux bébés en sucre d'orge.

 

S.O.S Jeunesse traumatisée

 

 

11/04/2010

Paris-Pourri

Histoire de ne pas finir anémié trop tôt dans Montluçon, BAR-ZING est parti séjourner sur les bords de la Seine.

 

Pas sous les ponts : Ça c'était à ses débuts quand il distribuait des buvards publicitaires pour la librairie Gibert.

 

Paris se fait de plus en plus pourri. Paris-Pourri. Et c'est à coup sûr son grouillement malsain qui nous crève par la fatigue, nous évitant de crever par l'ennui.

 

Mais, bon sang ! Mourir pour mourir, autant mourir dans le hall de l'Hôtel Meurice.

 

Que dîtes-vous ? Que vous z'êtes écolo et que vous préférez avoir à périr allongé sous un prunier de printemps, rien qu'en regardant dans tout le blanc de tous ses yeux fleuris ? C'est que vous oubliez qu'existe aussi de la verdure pour les riches : le billet dollar.

 

BAR-ZING promet pour après-demain la suite de ses dessins d'humeur et d'humour, lesquels lui valent tantôt l'approbation, tantôt la réprimande, le plus normalement du monde.

 

Le nombre de ses visiteurs ne cesse de croître, et cela, oui, c'est de l'encouragement pour lui comme pour ses autres pseudonymes faciles à démasquer.

 

Merci.

 

Bar-Zing