14/08/2023
Bouquinistes fermés à cause des J.O. 2024
13:06 Publié dans Actualité, Blog, Consommation, Dessin humoristique, Littérature, Livre, Macron, Politique, Religion, Société, Sport | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : j.o. 2024, paris, bouquinistes parisiens
15/01/2020
La pénibilité au boulot
16:41 Publié dans Actualité, Blog, Faits-divers, Justice, Media, Moeurs, Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris, anne hidalgo, réseaux sociaux, balayeurs éboueurs, les finis partis, groupe derichebourg
18/07/2019
Mon PANTHÉON est déchiré
SI CA CONTINUE ...
Nos sœurs et nos frères de couleur LES GILETS NOIRS exigent légitimement que l'Europe leur restitue la peinture intitulée "Les Demoiselles d'Avignon", peinture qui porte abusivement la signature d'un Picasso alors qu'elle est la preuve flagrante de l'influence décisive de l'immortel "art nègre" précolonial sans lequel la modernité culturelle de l'européen ne serait jamais apparue.
huile sur toile, 244 × 234 cm, Paris, atelier du Bateau-Lavoir, fin 1906 - juillet 1907
Bon, allez ! il ne s'agit pas de "demoiselles" mais de travailleuses tarifées dans une maison close ouverte au public.
Doc Jivaro
15:56 Publié dans Actualité, Arts, Blog, Histoire, Media, People, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : gilets noirs, picasso, art nègre, les demoiselles d'avignon, cubisme, huile sur toile, 244 × 234 cm, paris, atelier du bateau-lavoir
09/08/2018
Dans Nantes et bientôt dans Paris-pourri
Les z'écolos
installent l'urinoir public à sec
pour les messieurs
Les dames sont priées de réapprendre
à faire pipi debout
17:58 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Economie, Media, Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : urinoir à sec, nantes, paris, urinoir écologique, uritrottoir, pissotière
02/08/2018
Ton délégué syndical a toujours la solution
TOUR R'EIFFEL
11:26 Publié dans Actualité, Dessin humoristique, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : tour eiffel, société d'exploitation de la tour eiffel, sete, dame de fer, cgt, f.o.tourisme, paris
02/06/2018
Tarzanides du grenier n° 301
En fin d’année 2005 ou 2006 quand mon épouse et moi bavardâmes avec une des dernières dames de la rue Saint Denis, nous entendîmes celle-ci rouspéter contre tous les changements apportés à son environnement.
D’abord se plaindre de la disparition des salons de coiffure de proximité. « Rendez-vous compte : on en avait deux rien que rue Blondel ! aujourd’hui, zéro. Je dois remonter à pinces le Sébasto plus loin que Gare de l'Est… Et encore ! j'ai rien que des boutiques où elles font le décrêpage ou la touffe afro. Je leur en mettrais, moi : »
– C’est la déroute des blondes.
– Plaisantons pas avec ces choses ! Vous savez qu’a fallu que j’avertisse mes habitués ? Vous ne me verrez plus en manteau de fourrure sur le ruban, que je leur ai dis. L’autre jour, un groupe de femmes est passé avec des écriteaux. J’ai pas eu le temps de les lire. Je me suis faite agonir… Je me suis planquée dans le couloir. Je leur ai juste crié que c’était du faux, pas du vrai. C’est du vrai bien sûr ! je l’ai payé assez cher, mon renard !
– Tu devrais écrire tes mémoires. T’as connu des tas de gens. Tu nous as souvent dit avoir… Enfin t’as dit avoir connu Michel Simon.
– Lui ou les autres… Je suis en bout de piste, je sais. J’en ai gros sur la patate à voir la rue comme elle est. Ou, pour mieux dire, comme elle n’est plus.
Il n’y a pas que les femmes qui doivent renoncer en public à se blottir dans de la fourrure. Il y a aussi leurs compagnons humains, réels ou mythiques qui ont dû se débarrasser de tout vêtement en peau d’animal. Tenez : le plus connu dans le genre « homme des bois » : TARZAN. Regardons l’image BD d’en dessous. Doc Jivaro l’a sortie du numéro mensuel 23 de SAGEDITION, année 1974.
Bravo ! Vol plané réussi pour tomber sur le râble d’un esclavagiste fournisseur de jolies filles pour le harem du grand vizir. Mais reculons plus de dix années vers l'arrière, en 1951. Nous retrouvons cette même scène avec quelques modifications.
Le pagne est dessiné façon « peau de léopard » alors que dans la réédition en 1974 le marquage de l’animalité a été gouaché, rendu invisible par la censure. On détecte même un autre « détail » qui joue à cache-cache : le poignard escamoté dans l’image en couleurs, réapparaît dans l’image imprimée noir sur blanc.
– Dis donc elle n’a plus l’air d’avoir le moral, la fille.
– Pourtant, c’est à croire qu’elle met un point d’honneur à rester la seule survivante en piste. Tu sais qu’elle raconte avoir été présente lorsque "ils' ont sorti un Monseigneur inconnu par l’escalier pour pas que la police le trouve mort dans une piaule ?
– Elle peut prouver ce qu’elle dit ?
Doc Jivaro
19:21 Publié dans BD, BD anciennes, Brèves du trottoir, Grenier de la BD, Journaux, Moeurs, Sexualité, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tarzan, tarzanides du grenier, bandes dessinées de collection, bd anciennes, sagédition, rue saint denis, paris, bob lubbers