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24/01/2021

Tarzanide n° 477

TINTIN VAILLANT

 

Pas eu la peine de se creuser les méninges pour trouver le sujet BD d'aujourd'hui : l'actualité mortuaire nous le donne : le décès de Jean Graton.

 

Jean Graton créa en 1957 et pour l'hebdomadaire TINTIN le titre MICHEL VAILLANT. Un pilote course formule 1. Seulement voilà votre serviteur Doc Jivaro, pendant son adolescence, avait négligé pour ne pas dire abandonné la BD et c'est ce qui peut expliquer que Michel Vaillant ne figure pas au Panthéon de ses souvenirs de jeunesse.

 

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Ce n'est qu'avec Mai 68 et sa production BD pour adultes où se mêlèrent le monde politique et l'influence Underground des fanzines américains qu'il reprit vraiment contact avec les petits mickeys cette fois sexués de son enfance. Donc ce fut en 1973 et dans le trimestriel format de poche LES ROIS DE L'EXPLOIT, a ses numéros 69 à 74, qu'il approcha mieux les exploits de Michel Vaillant après les avoir presque ignorés.

 

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Les Rois de l'Exploit était publié par l'Editeur MON JOURNAL, et j'ai plaisir à rappeler que cet éditeur fut créé à partir d'un des premiers titres Bédé hebdomadaires publiés après la date politique de LA LIBERATION 1945, par une authentique résistante : Bernadette Ratier, l'une des fondatrices du groupe "Combat".

 

Michel Vaillant signé de Graton compte parmi les piliers  les plus fameux publiés dans le TINTIN de R.G., en compagnie de BLack et Mortimer, et autres ALIX de païenne fréquentation.

 

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On peut encore s'amuser, non ?

 

Doc Jivaro

 

14/10/2009

Libéralisation du cannabis

MICHEL VAILLANT

ANCIEN MINISTRE SOCIALISTE

VEUT LIBERALISER LA VENTE DU CANNABIS

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Allez un peu de texte


Parait qu'en ce moment, Carla a confié avoir besoin – doux Jésus ! - de recourir à l'aide d'un psychanalyste.

Pourvu que ce genre de rendez-vous sur un divan, n'aboutisse pas à un divorce, Nicolas.

Vous savez, bien des braves gens croient que lorsque l'on consulte auprès d'un psychanalyste on est forcément fou.

Erreur ! on n'est pas fou, on est riche.

Vu les tarifs pratiqués par le gourou.

Mais c'est peut être, justement, à cause des tarifs que les braves gens estiment avoir quelque raison à taxer de folie les clients de l'héritier du bon vieux docteur Freud.

Tenez, je devrais m'abstenir de vous en parler, mais je vous en parle rien que pour entrer en conflit avec le devoir d'abstention. L'un de mes beaux-frères fréquenta … Non ! Il ne fréquenta pas : il se rendit chez un psychanalyste, fin des années 70.

Au terme de chaque séance, le sondeur de rêves, ayant traversé le surmoi, puis le moi jusqu'au « ça » reptilien , demandait à être payé.

Une somme certaine.

Mais là où mon œil d'agent du fisc se faisait plus vigilant, c'était lorsque mon beau-frère précisait que l'homme de l'art préférait être payé en liquide.

  • Pas de chèque cette fois ! Vous culpabiliseriez à ne pas VOIR l'argent de notre rencontre, expliquait le professionnel.

Mon beau-frère versait la somme demandée, trouvant quand même bizarre la thérapie par laquelle l'artiste entendait neutraliser tout sentiment de culpabilité.

Madame Zita, qui connaît notre avenir rien qu'en le lisant dans un jeu de cartes, et notre copine Alexandra, qui monte et descend entre le troisième étage et la chaussée des chalands, elle aussi, toutes deux insistent pour n'être payées qu'en liquide.

Même qu'avec Alexandra, le versement en liquide s'effectue en deux fois.

 

Ryal