06/09/2025
Histoire d'O ... qui faisait pschitt !!
17:04 Publié dans Blog, Consommation, Dessin humoristique, Grenier de la BD, Journaux, Media, Moeurs, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vichy ville d'eaux, prendre les eaux, bd et publicité perrier, bibi fricotin publicité perrier
05/09/2025
Shun Yen
17:32 Publié dans Arts, Blog, Media, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : shen yen performing arts, cuddebackvikke new york, danse inspiration chinoise, spectacle
31/08/2025
Tarzanides du grenier n° 657
Rivière sans retour
A cette minute où vous débutez la lecture de ce petit texte votre TV sur TCM Cinéma permet de voir ou revoir un film daté de 1954 : « Rivière sans retour ». Et si votre âge égale au mien alors peut-être appréciâtes-vous Robert Mitchum et Marilyn Monroe en duo dans ce pseudo western puisque le Canada n’est pas la conquête de l’Ouest.
Pour Mitchum mon adolescence le surnomma : « Le somnambule » puisqu’il me semblait avoir toujours les paupières mi-closes lorsqu’il marchait. Quant à Bertrand ... Pardon, j’allais dire quant à la Reine du sexy international : Marie Line elle ne pouvait prévoir, en 1954, qu’une Brigitte Bardot allait lui rivaliser le titre.
En février 1955 le film « Rivière sans retour » sous forme d’un résumé accompagné de quelques photos fut publié dans l’illustré bimensuel LE PETIT SHERIFF n° 113,114,115 et 116, publication sous la responsabilité de l’éditeur « SAGE ».
Petit Shériff, n° 116 de 1955.
Prix français : 35 frcs. Prix Canada 15 cts.
Le Petit Shériff était constitué d’une série BD d’abord paru dans l’hebdomadaire L’INTREPIDE depuis son numéro 1 en 1948. Vous connaissez les relations entre la bande dessinée et le cinéma, et cet hebdomadaire dépendant de Del Duca proposait a ses débuts à son jeune lectorat des films modifiés en bandes dessinées. Quelques exemples : Rocambole (Produit DISCIA), TUMAK (Édition Film Marceau) ou encore : L’Aigle des mers (de la Warner Bros.). Les dessinateurs en étaient Cazanave, Poïvet, Remy Bourlés. La décennie année 50 fut également riche en publications dites Romans-photos. Mais alors pourquoi les historiens spécialisés dans les relations entre la Bédé et le cinoche négligent-ils d’y adjoindre les romans-photos ? Probablement parce qu'hier encore les femmes étaient déclassées en deuxième position sociale et qu'ainsi leurs lectures de base n'étaient pas jugées sérieuses.
Page 2 du numéro 113 Page 36 du numéro 116 (1955)
Au moment de la sortie en France du film dont nous parlons, des copains et moi le vîmes dans le cinéma le plus haut perché dans Montluçon-Ville : Le Rex, cinéma aujourd’hui disparu. A ce moment là, notre cité comptait 5 salles de projection mais sans compter le cinéma dit "des Marais", lequel ouvrait sur une ancienne petite chapelle uniquement le dimanche après-midi : les adultes y étaient rares, tant mieux ! Et les Pères chrétiens qui le géraient semblaient pas choisir les spectacles en fonction d'une valeur religieuse.
Mais devinez un peu de quel personnage est signé cette Rivière sans Retour. De Otto Preminger. Oui : celui dont Louis Jouvet disait quelque chose comme : Ah ! Vous cherchez le colporteur d’accessoires ?
Bar Zing
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18/08/2025
Washington, Bureau Ovale
Zélensky,
la tête au carré ?
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NB : Montluçon 27 juillet 1944
Ayant cessé d’avoir le goût et la force de longues randonnées de vacances me voici replié sur Montluçon mais, achtung ! Je viens de relire sous la plume d’Alain Bisson un écrit relatif à une historique « Attaque de l’Hôtel de l’Écu, 27 juillet 1944 » ... Un attentat terroriste réussi par des maquisards à l’encontre de collabos pronazis. Parmi les résistants se trouvait une femme : Nancy Wake. Et savez-vous comment la surnomma la Gestapo ? ... « La Souris Blanche ».
A ce propos, juste une simple remarque : dans l’illustré célèbre COQ HARDI créé par Marijac (qui connaissait fort bien l’Auvergne où il pêchait la truite), un des scénarios est consacré à la Résistance Française combattant l’occupant allemand. Le titre en est COLONEL X. Scénario Marijac, dessin Poïvet. L’héroïne principale est une jolie blonde surnommée « Souris Blanche ».
Coq Hardi, n° 151 (nouvelle série), jeudi 10 février 1949
Et pourquoi donc Souris Blanche ? Si votre âge approche du mien, vous avez depuis longtemps appris que le personnel féminin allemand dans nos villes était corseté d’un uniforme gris, ce qui fit aussitôt surnommer « Souris Grises » ces dames aux ordres de la Wehrmacht.
Sincèrement, je regrette de n’avoir pas plus souvent échangé avec Alain Bisson lors de nos trop brèves rencontres dans l’ancienne librairie « L’Idée-au-gramme ».
Bar Zing
12:08 Publié dans Actualité, Blog, Dessin humoristique, Media, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : washington, bureau ovale, macron, zélensky, trump, colonel x, marijac, coq hardi, alain bisson
17/08/2025
Tarzanides du grenier n° 655
ZAR’O
Editeur Claire Jeunesse
Année 1947
Dessin MOUMINOUX
Ce pockett n° 1 date de 1986. Mise en route à cheval par Les Éditions de la Page Blanche. L’omniprésence du Sergent Garcia donne à penser que ce nième renard du Mexique s’est fait sous l’influence des séries TV « à la pointe de son fouet » réalisées par les Studios Walt Disney. Sans oublier qu’un français déjà connu comme batteur dans le jazz allait jouer à son tour le rôle de ce Sergent Garcia pas mauvais bougre : Moustache.
Pour ce qui concerne les BD de notre pays nos éditeurs pensèrent qu’en réduisant les dimensions des, pages de nos illustrés, ils en augmenteraient les ventes. Nous étions alors dans la moitié des années 50 de 1900, les instituteurs hussard en blouse grise méprisaient nos lectures d’illustrés : « Je te confisque ce guignol ! Je te le rendrai à la fin de l’année scolaire ». Cause toujours menteur ! Le guignol finissait à la poubelle.
De nos jours la BD française est en pleine décomposition. Même les titre publiés en collaboration avec l’Italie ont disparu. Tenez, exemple : KIWI dont le numéro final - 582 – nous fit un signe d’adieu en janvier 2003.
Si vous avez la curiosité de lire les arguments avancés par les catholiques et les communistes en 1949 pour justifier le vote d’une LOA de censure en juillet 1949, vous avez remarqué que les borborygmes, les explosions et les zigzags comme déchirant le papier étaient dénoncés comme nuisibles à la bonne éducations des enfants. Cette Loi de Juillet 1949 n’étant pas abrogée comment se fait-il qu’un MANGA ne soit pas réprimandé ?
Les collectionneurs vieillissants tels que moi préfèrent la première série ZORRO celle de l’éditeur CHAPELLE, série apparue en remplacement de Jeudi Magazine. Le dessinateur OULIE assura les images du Justicier Masqué même lorsque l’hebdomadaire ZORRO modifia son nom pour celui de l’INVINCIBLE dont l’ultime numéro fut 144.
Êtes vous d’accord avec moi : l’Alain Delon déguisé en Zorro ne nous a pas fait oublier Douglas Fairbanks.
Bar Zing
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15/08/2025
15 août 2025 à la sauce woke
18:50 Publié dans Actualité, Blog, Dessin humoristique, Histoire, Media, Moeurs, Politique, Religion, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : 15 août assomption, louis xiii, histoire religieuse france