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26/07/2010

Marx Dormoy

24  et  25 juillet

SABRINANA

Passe un week-end à Montluçon

Marx-Dormoy.jpg


04/07/2010

Festivités à Montluçon

MONTLUÇON

 

FÊTE DE LA SAINT JEAN DU 18 JUIN

 

ÇA NE S'OUBLIE PAS

DÈS 17 H : STRUCTURES GONFLABLES POUR ENFANTS

Festivités-à-Montluçon.jpg


28/03/2010

Montluçon écolo

INFORMATION NATIONALE

 

MONTLUÇON :

 

On y coupe les arbres de la place devant l'Hôtel de Ville afin d'aménager des stations de repos pour la population vieillissante.

 

Arbre-coupé.jpg

Banc pour s'asseoir

05/03/2010

L'usine, c'est sans moi

Un des visiteurs de BAR-ZING nous reproche de ne jamais parler de Montluçon quoique notre blog précise être “de Montluçon”.

 

Cette critique n’est pas fondée puisqu’il nous est arrivé de tenir des commentaires sur cette ville dont Marx Dormoy - mort assassiné en 1941 – reste aujourd’hui encore le maire le plus connu. Cependant, oui, ces mois derniers, BAR-ZING est demeuré sans écriture sur le va-et-vient de la gente montluçonnaise.

 

Le va-et-vient ? Tiens, à propos, un vieux café bar identifié par cette expression souvent employée de façon grivoise, à fermer sa porte d’entrée-sortie, définitivement. Il était installé Quai Louis Blanc, à vingt ou trente pas du Cher, rivière dans laquelle des habitants se baignaient assez librement en slip et soutien-gorge pendant l’été 1948, à proximité de la passerelle des Nicauds.

 

Mon grand-père fréquenta beaucoup le quai Louis Blanc … C’était avant la guerre 1914-18. “Elle nous pendait au nez celle là ! mais on se racontait qu’elle arriverait beaucoup plus tard, après notre mort. Ca serait pour la génération suivante. Tu parles !”

 

Scolarité à peine terminée, mon grand-père dut bosser, marner parmi les hommes, lui âgé de onze ou douze ans. Les hommes, les vrais : ceux qui buvaient, qui gueulaient, qui boxaient entre Blanzat et le pont de la Verrerie. “Ils portaient tous un couteau dans la poche arrière de leur falzar. Ils s’en servaient surtout pour fendre des sacs de charbon dans lesquels ils volaient de quoi se chauffer un peu mieux.”

 

Alors, entrainé, obligé de se grandir avec les grands, le garçon Jean-Baptiste prit rapidement l’habitude des bistrots et des gargotes des deux côtés du canal de Berry. “C’était sombre, souvent malodorant faut le dire ; on n’y faisait pas attention. Quelques-unes de ces tanières – Il n’y a pas d’autre mot – employaient une serveuse … Elle servait un peu à tout. Elle servait aussi au patron, son père.

 

- Tais-toi ! N’en parle pas ! s’exclamait ma grand-mère, tout en versant une dernière louche de potage. Puis, s’adressant à moi dans mon adolescence, elle me prévenait : “Ne le crois pas. Il invente pour faire le malin”.

 

Il inventait rien le grand-père.

 

Il passa la fin de sa vie dans les ateliers de fonderie des usines Saint Jacques. Bon ouvrier, le Jean-Baptiste ! Mis à la retraite à 65 ans, il ne refusa pas la médaille du travail. Il disparut une ou deux année après, ne coûtant rien à la société. C’est dangereux le travail. C’est pour s’en dispenser que nos ancêtres les plus violents inventèrent l’esclavage puis le servage avant de se laisser piéger par la démocratique égalité des droits et des devoirs, qui prétend obliger chacun à se résigner à ne plus être le caïd d’un autre.

 

- N’entre jamais à l’usine ! m’avait dit mon grand-père en tournant un bout de pain dans son assiette.

 

Cinquante ans après son décès, je le remercie de cet excellent conseil.

Quant à ma mère, elle eut un projet pour me concilier le monde industriel, un cran plus haut : deviens ingénieur mon fils !

Je ne suis pas non plus devenu pianiste dans un bordel.

 

RYAL

 

29/11/2009

Dimanche 29 novembre trop pluvieux

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30/09/2009

La Poste

LA POSTE ?

ELLE SE MODERNISE !

TOUS LES COMMERCES PEUVENT SERVIR

DE RELAIS POUR LE SERVICE POSTAL

La-Poste.jpg