11/09/2021
remember
Les jeunes musulmans qui réussirent l’attentat contre les deux tours du World Street Center n’étaient surtout pas des « kamikazes ». Ils étaient simplement des assassins au plein sens du terme historique : des disciples modernes du « vieux de la montagne » c’est à dire des disciples machouilleurs et fumeurs de haschisch. Vous savez : cette substance conviviale réputée chez les gauchistes et à partir de laquelle se fabriqua le mot assassin. Un bon assassin est donc un type qui se suicide pour tuer.
Et vous comprenez comment l’officier allemand Stauffenberg en juillet 1944 manqua l’assassinat de Hitler dans la « Tanière du loup ». Voulant sauver sa peau, il sortit de la cabane dans laquelle il venait de poser la bombe à proximité de l’amant d’Eva Braun. S’il était resté pour surveiller l’engin destructeur l’Adolph du IIIe Reich aurait sûrement été déchiqueté à mort. Vous voyez bien que Stauffenberg ne priait pas à genoux sur un tapis.
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07/09/2021
Tarzanide n° 515
BEL MON DO
« A BOUT
DE
SOUFFLE »
Et cette fois c’est pour de vrai
15:19 Publié dans Actualité, Arts, Cinéma, Media, People, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : belmondo, a bout de souffle j-l godard, cinéma, bar zing de montluçon, tarzanide du grenier
05/09/2021
Tarzanide n° 514
DU BIKINI AU BURKINI
Elle avait peur de montrer aux voisins son ITSY BITSY petit bikini qu’elle portait pour la première fois.
Si votre âge égale le mien vous gardez sûrement entre vos deux oreilles l’air de cette chanson rengaine venue de Dalida en l’an 1960.
Bikini ? Le gouvernement espagnol « sous » Franco avait interdit aux femmes ce maillot de bain réprouvé comme trop impudique … cependant bikini c’était d’abord un atoll de cet océan que le navigateur Magellan baptisa « Pacifique » pour l’avoir trouvé beaucoup plus calme que le vieil Atlantique. Sur cet atoll l’armée américaine de 1946 faisait exploser une bombe atomique améliorée et équivalente à un vrai coup de semonce en direction d’un Staline glorieux et immortel prolétaire de l’URSS. Forcément cette nouvelle expérimentation après la destruction de Hiroshima et Nagasaki ne manqua pas d’exciter l’imagination des créateurs de bandes dessinées, à commencer par un certain Burnes Hogarth qui inventa le scénario et le graphisme de DRAGO, jeune gaucho en Argentine.
Résumons l’épisode : un ingénieur allemand spécialiste en physique des atomes, a bord de son u boat, réussit à échapper aux recherches effectuées par la « Machine de Turing » et se réfugie en Argentine, pays de l’immigration nazie après la débâcle du IIIe Reich. C’est le Baron ZODIAC dont l’objectif revanchard est de détruire l’atoll Bikini.
Chez nous, l’hebdomadaire Coq Hardi de 1947 entreprit une traduction quelque peu censurée sous la direction de Marijac. C’est un jeune garçon un peu plus âgé que moi et dont le père prisonnier en Allemagne avait connu Marijac, qui me fit connaître les premiers numéros du journal qui disait-il : « Chante tous les 10 jours pour la jeunesse de France ».
Montage d’images effectué à partir du recueil DRAGO
édité en mai 1971 pour les éditions SERG
Dans son scénario, Burnes Hogarth s’abstint de faire référence au président argentin de l’époque : Péron, ainsi qu'a son épouse l'élégante Évita Péron, tous deux bien connus pour avoir facilité l’hébergement d’anciens criminels de guerre hitlériens auprès desquels collaboraient les musulmans du grand mufti dans Jérusalem. On n'est jamais trop prudent, non ?
On sait que l’espèce humaine aime à se rassurer en donnant des sobriquets ou des prénoms féminins aux catastrophes ravageant la planète terre. C’est sans doute pourquoi l’armée américaine appela GILDA la bombe atomique explosant sur l’atoll Bikini. Gilda étant le prénom octroyé à la superbe RITA HAYWORTH pour son film du même nom, film rendu inoubliable par un « strip-tease gantier »
« PUT THE BLAME ON MAME »
Aujourd’hui – et c’est heureux – nos amies les femmes sont deux fois libérées : une fois par Moulinex, une autre fois par le BURKINI de l’Islam que le camarade Mélenchon recommande à ses créoles futures.
Doc Jivaro
18:01 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Cinéma, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Media, Musique, People, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bd drago, rita hayworth, burnes hogarth, coq hardi, baron zodiac, marijac, doc jivaro, bandes dessinées de collection
09/08/2021
Tarzanide n° 509
« L’occasion fait le larron » qu’il dit le proverbe. J’allais pour me reposer une fois encore lorsqu’un petit format de poche BD oublié de ma mémoire entra comme par effraction dans mes yeux. BAMBINO il s’appelle, daté de l’année 1957.
Le numéro UN (Le Diable, seul sait d’où m’est venu cet exemplaire). Et comme 1957 est aussi l’année pendant laquelle la jeune chanteuse DALIDA méritait ses premiers succès, je me dis que ce fut peut-être sa chanson BAMBINO qui incita à créer un titre bédé du même nom afin de récolter quelques échos pécuniaires de cette mode musicale. En effet dans les fêtes foraines du moment, dont celle du quartier montluçonnais des Fours à Chaux, le stand des voitures tamponneuses retentissait de la voix amplifiée de cette chanteuse : Bambino ! Bambino !
Je ne connais pas la collection BAMBINO dont je viens d’apprendre qu’elle contient 62 numéros de parution. Le spécimen que je possède tout à fait par hasard a été imprimé dans un des ateliers Del Duca, l’ogre fameux de la littérature populaire du lendemain de la Seconde Guerre Mondiale. Je note dans ce numéro 1 de Bambino la présence d’un HANDJAR que je connus dès 1952 dans l’hebdomadaire L’INTRÉPIDE. Cependant dans cet ancien illustré, le corsaire HANDJAR est surnommé « Le Justicier » et non pas dépendant d’un « pavillon noir ». HANDJAR est accompagné d’un athlète noir qui ne fait aucun cadeau aux adversaires de son ami blanc.
A l’instant de mettre sous presse (comme on disait dans les ateliers d’autrefois) j’apprends qu’un individu d’origine africaine vient de se dénoncer comme assassin d’un prêtre chrétien. L’individu fort connu des services de police, serait le même immigré qui commença d’incendier la cathédrale de Nantes, sans doute pour apporter sa force de travail chez nous. Les z’humanitaires venus de la veine de Badinter racontent que ce type n’est qu’un pauvre type « malade mental » auquel il faut bien pardonner. Dites moi : vous trouvez pas bizarre que les prétendus dérangés du ciboulot attaquent uniquement les religieux chrétiens mais pas les religieux musulmans ? Et comment se fait-il qu’un innocent « malade mental » entre toujours chez son voisin avec un couteau plutôt qu’avec un bouquet de fleurs, Docteur ?
Bar Zing
16:09 Publié dans Actualité, BD, BD anciennes, Blog, Grenier de la BD, Journaux, Media, Moeurs, Musique, People, Société, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : bd bambino, dalida bambino, del duca, bd l’intrépide, bandes dessinées de collection, bandes dessinées anciennes, tarzanides du grenier, bar zing
20/07/2021
Tarzanide n° 506
GARE AU GORILLE !
Si nos vieux collectionneurs de BD anciennes admirent le rôle essentiel d’un MARIJAC dans la Bédé française au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, plus rares sont ceux qui savent que le créateur de COQ HARDI s’inspira parfois de faits réels vécus par les maquisards de notre pays. D’autant que le même MARIJAC connut bien un authentique résistant gaulliste : PONCHARDIER.
Oui ! ce n’est pas une blague : Ponchardier est le créateur d’un héros de série noire : Le Gorille. Et c’est un souvenir pour Doc Jivaro d’avoir vu dans un cinéma de Bourges en 1958 la tête de Lino Ventura entre deux épaules massives dans le film : Le Gorille vous salue bien.
C’est Ponchardier qui aida Marijac à obtenir les lots de papier nécessaires à la parution régulière de l’illustré COQ HARDI, lequel fut d’abord imprimé sur quatre pages et publié tous les dix jours avant de réussir, à partir de 1946, une diffusion sur huit pages dont quatre en quadrichromie.
Ponchardier n’était pas le seul dont les réussites guerrières pouvaient être adaptées à certains aspects des bandes dessinées signées de Marijac. Il y eut aussi certains faits réussis par Dupontel, tel celui publié sous le titre Colonel X dans le numéro du 19 janvier 1950 et dessiné par Mathelot.
Ces mêmes vieux collectionneurs ont appris depuis longtemps qu’un certain Jacques Chirac pendant son enfance appartenait à la Tribu des Coqs Hardis fondée par Marijac et son spécialiste aux Affaires Indiennes appelé Joë Hamman. Mais on raconte moins que Wolinski se frotta lui aussi contre l’un des totems de Coq Hardi. Oui, vous savez bien : ce Wolinski qui caricaturait salement le soldat Le Pen pour sois-disant préserver les musulmans contre le « fascisme » et qui, nigaud politique, se fit finalement mitrailler par de jeunes musulmans.
Ainsi va le monde réel.
Doc Jivaro
16:18 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Cinéma, Film, Grenier de la BD, Media, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ponchardier, coq hardi, dupontel, marijac, mathelot, joë hamman, lino ventura, bandes dessinées de collection, bandes dessinées anciennes, tarzanides du grenier, doc jivaro
06/07/2021
Les fans de Jhonny ...
14:20 Publié dans Actualité, Blog, Cinéma, Dessin humoristique, Film, Journaux, Media, Musique, People, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : rita cadillac, nicole yasterbelsky, souvenirs souvenirs, ne touche pas à l'animal, jhonny halliday, statue projet