28/10/2012
A tire d'Elles n° 19
Du temps d'avant hier, lorsqu'elle s'activait pour 15 frs le coup
(avec la piaule en plus : 4 frs) et que "le Grand René" lui cherchait
des noises jusqu'à ce qu'elle fît deux tentatives de suicide.
13:07 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, vie parisienne
27/10/2012
Les greniers de la BD n° 10
Les d'oeufs n'orphelines
14:56 Publié dans Arts, BD, Grenier de la BD | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bd, bd anciennes, bandes dessinées, dessin, illustrations
21/10/2012
A tire d'Elles n° 18
Sera-ce le premier tôt matin ?
14:46 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Moeurs, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, vie parisienne
A tire d'Elles n° 17
- Ça boum ! Julia ?
- Sûr ! j'viens d'en passer trois d'affilée.
14:40 Publié dans A tire d'Elles, Arts, Brèves du trottoir, Sexualité, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prostitution, prostitution populaire, prostitution parisienne, vie parisienne
20/10/2012
Les Tarzanides du grenier (n° 7)
Un TARZANide nommé THORWALD
Ici, nous sommes aventurés dans la collection TARZAN mensuel des disparues « Éditions Mondiales » que l'italien Del Duca dirigea, publiant autant des BD pour la jeunesse que du roman photo « presse du cœur » pour la femme mariée maintenue au foyer conjugal.
Sur ce sujet, Doktor Jivaro a remarqué depuis longtemps que bien des bandes dessinées « pour enfants » offraient des scénarios et des dessins autrement plus adultes que beaucoup des romances et illustrations de bas étage destinés à divertir nos amies les femmes.
En cela, Doktor Jivaro ne peut rien modifier : ce fut ainsi.
Les numéros 23 et 24 de TARZAN mensuel (année 1947) comptent chacun 16 pages – 15 imprimées noir et blanc accompagnées d'une seule frappée de couleurs, la couverture évidemment. Cependant, si vous souhaitez les acquérir auprès d'un marchand spécialisé ne vous étonnez pas qu'il veuille vous les vendre un prix plus haut que le prix de chacun des autres numéros de la série. C'est que …
C'est que l'infernal Adolf HITLER s'y déplace dans nombre d'images. Un Adolf dessiné par Rex Maxon, l'américain qui inventa Tarzella. Mais cette fois, c'est la vie d'une anglaise, Jane Porter, que les nazis menacent : « Lache-LE sinon je LA Tue ! gueule un soldat allemand affecté d'un faciès patibulaire conforme aux caricatures du genre.
LE ? Qui donc LE ? Mais voyons, Hitler !
Hitler que l'homme singe, une fois encore victorieux, s’apprête à étrangler. « Vous valez moins que les bêtes » lui crache TARZAN en plein visage, avec mépris. Le vouvoiement marque dans cette phrase la distance répulsive et non pas la politesse d'une première rencontre.
Mais comment le führer de toutes les fureurs se retrouve t'il en situation fâcheuse dans le numéro 24 ? C'est que le chancelier du troisième Reich a mis à contribution quelques-uns de ses ingénieurs parmi les meilleurs. Il a exigé, exigé et obtenu d'eux qu'ils lui fabriquent un ersatz de TARZAN. Un puissant Tarzanide répondant à un nom du tonnerre de Dieu : THORWALD.
Hitler se montre ainsi opportunisme : le vrai TARZAN vient d'être annoncé disparu, sans doute perdu, noyé en mer. L’Allemagne nationale socialiste va donc pouvoir conquérir l'Afrique subsaharienne en abusant les populations noires par la pseudo réapparition d'un TARZAN présenté sous les traits d'un surhomme imposteur.
Heureusement pour la démocratie des milliardaires américains et, également, pour les démocrates dictateurs marxistes, TARZAN revient réellement pour poignarder l'usurpateur que les walkyries accueillent aussitôt dans leur glorieux Walhalla – Ouf !
Notons que le nom de Hitler n'est pas mentionné sur les couvertures des numéros 23 et 24. Son visage est absent, aussi. La croix gammée n'y apparaît même pas et les sous-titres n'ont aucun rapport avec le scénario. Probablement qu'au lendemain de la capitulation allemande, les croix gammées furent déconseillées dans les journaux pour enfants. Un exemple : Marijac dirigeant l'hebdomadaire COQ HARDI, s'abstiendra de toute svatiska pour raconter les premiers exploits du Colonel X illustré par Poïvet.
Vignette sortie du n° 21 de FANTAX « Les buveurs de sang ».
Le boche repère le terrain d’atterrissage mais sans se soucier que la croix gammée du Parti s'y affiche tournée dans le mauvais sens. (Atelier Chott.)
Herr Doktor Jivaro
17:45 Publié dans Arts, BD, Fanzine, Grenier de la BD, Histoire, Journaux, Media, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bd, bande dessinée, bd ancienne, tarzan, editions mondiales del duca, illustration, dessin
17/10/2012
Cinoche : Astérix en relief
Mais c'est encore le calme plat !
15:02 Publié dans Actualité, Arts, BD, Cinéma, Dessin humoristique, Film, Journaux, Littérature, Media, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, film, astérix, obélix, uderzo, goscinny, gérard depardieu, edouard baer