06/04/2016
Jour de demain :
Sorti vivant de clinique
Bar-Zing revient jeudi
16:34 Publié dans Blog, Médecine, Santé | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : bar zing, docteur jivaro
05/04/2016
Jours à venir ...
Mardi et mercredi 6
hospitalisation.
13:48 Publié dans Blog, Santé | Lien permanent | Commentaires (0)
04/04/2016
Jours à venir ...
Lundi, mardi et mercredi 6
hospitalisation.
09:56 Publié dans Blog, Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bar zing, docteur jivaro
03/04/2016
Jours à venir ...
... dimanche 3, lundi, mardi et mercredi 6
hospitalisation.
08:58 Publié dans Blog, Montluçon, Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blog, bar zing, docteur jivaro, santé
02/04/2016
Les Tarzanides du grenier n° 206
Hop ! le tour est joué. Effet miroir (sauf les couleurs). Il suffit d’inverser une image pour se dispenser d’avoir à en – hi-han ! - dessiner une deuxième.
Tex Tone n° 355 - Tex Tone n° 468
De ce titre, il y eut 526 numéros mis en vente depuis mai 1957 jusqu’en mai 1986.
Le Copyright IMPÉRIA détient, peut être, le record en France quant à la réutilisation d’un dessin sous sa forme réfléchie pour des couvertures différentes.
De cette façon, Cassidy n° 65 (année 1955) resservira selon le truc de faux jumeaux placés vis à vis, pour son n° 265 de l’année 1957.
Le Gérant, Rédacteur en chef, Directeur des publications se nommait BAGAGE. Robert BAGAGE. Isolez ROB pour ajouter BA, vous obtenez ROBBA. Oui : la signature de l’illustrateur des premières couvertures de TARGA, tarzanide exemplaire.
Doc Jivaro (MFCL)
08:30 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Journaux, Media, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : targa, robert bagage, hopalong cassidy, tex tone, Éditions impéria, bd, bandes dessinées anciennes, robba
01/04/2016
Dans notre assiette, un cadavre !
En province, un abattoir, j’ai connu. En tout cas, j’y entrais sans avoir à faire dedans. J’accompagnais mon oncle, boucher à Saint Sauvier. Il s’y rendait pour faire abattre des bêtes après que la loi lui eut enlevé le droit de les saigner tout seul, comme un grand, les bêtes.
Les tueurs assommaient à coups de masse … Parfois de travers, ils rataient la tête. disons que, parfois, ils chancelaient, ils titubaient, les hommes. L’alcool … Un bistrot ouvrait en face. Il suffisait de traverser la rue pour y aller et en revenir.
- Vas- y ! cogne ! Han !
Si le bœuf tournait de l’œil dans la direction de son bourreau, les témoins s’amusaient, lubriques, criant : il t’aime ! Il t’aime ! … ou encore : elle t’aime ! lorsqu’il s’agissait d’une fille que le péquenot du coin avait amenée ici, lui reprochant de ne jamais donner assez de lait.
En fin d’après midi de je ne sais plus quel jour, un bœuf ou quelqu’autre viande sur pattes s’échappa de l’abattoir. Un délinquant sûrement. Il fallut prévenir la police mais ce fut, disait-on, la gendarmerie qui abattit d’une ou deux balles de fusil l’animal évadé. Paraît qu’il était a moitié égorgé le bestiau à l’instant de son évasion en dehors du camp de la mort. Vous savez : certaines de nos victimes ont, comme ça, des sursauts d’incivilité dus à un évident manque d’éducation.
Mon oncle, que j’aimais bien, devait périr d’un cancer quand pour soigner le malade la chirurgie découpait toute une portion de bidoche.
Sa veuve, donc ma tante, eut ce mot quelque peu égaré : « Lui qui savait si bien détailler les morceaux ! ».
Ryal
15:45 Publié dans animaux, Consommation, L'avis des bêtes, La vie des bêtes, Moeurs, Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : souffrance animale, abattoirs, souvenir d'enfance, vie des bêtes