Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/03/2016

Taubira : le retour


Chié Bô les droits de l'homicide

Taubira-Islam.jpg

30/03/2016

Un gastronome meurt de faim


Jean-Pierre "Coffre"
a pas pu avaler son  dernier handburger

Jean-Pierre-Coffe.jpg

 

29/03/2016

Nos enfants menacés de maladies cardio-vasculaires

 

Trop sédentaires, trop de malbouffe
avachis devant la télé et la tablette numérique

 

Enfants-sédentaires.jpg

Je, moi, étant gosse, entre mon domicile et l’école, j’avais … j’avais combien à parcourir ? 500 mètres ? 600 mètres ? Guère plus. J’y allais à pied, j’en revenais à pied. Matin, midi, treize heure et le soir. Et, chaque jour d’école, je devais franchir quatre fois la voie ferrée des trains à charbon Montluçon – Paris et Paris – Montluçon. De ces choses journalières, je n’en concluais pas être la victime pantelante du Grand Capital dévoreur d’enfants du prolétariat.

 

On était en 1950, j'avais huit ans et ma petite copine du moment était bien jolie.

 

Lorsque je suis revenu dans Montluçon, quarante ans après, j’ai vu quoi ? j’ai vu des parents en bagnole attendant leurs rejetons devant l’école pour les ramener chez eux, assis, suçant et mâchouillant des friandises, sur une distance parfois inférieure à celle que je devais … etc, etc.

 

Comment s’étonner aujourd’hui de l’obésité de nombre d’enfants.

28/03/2016

Oui ? ici le 18. Parlez, j'écoute.


Toute demande d'intervention
injustifiée sera facturée
Pompiers-interventions-facturées.jpg
 

27/03/2016

Dimanche, jour du Seigneur n° 4

 

Je me demandais si ça commençait bien
ou si ça commençait mal

Dimanche-numéro-4.jpg

 

26/03/2016

Les Tarzanides du grenier n° 205

 

Nos ancêtres les français.

 

Dessinée par Pierre Luc sur des textes de Paluel – Marmon regardons une des couvertures de la collection LYS DE FRANCE.

 

La hache haute, le roi Jean le Bon (que nous, écoliers d’hier, surnommions « jambon » dans la cour de récréation lorsque, divisés en deux camps, nous nous amusions à crier : Père, gardez vous à droite ! Père, gardez vous à gauche ! ) Donc, la hache haute, le roi Jean le Bon espère bien ouster hors du Royaume Franc l’usurpateur anglais. Nous sommes en 1356 de l’Histoire Chrétienne aux abords de Poitiers.

 

 

La-belle-histoire-de-France.jpg

 

 

Cette collection LYS DE FRANCE n’édita que 16 numéros, respectant la chronologie des Seigneurs Francs qui, agrandissant leur domaine familial, créaient en même temps le territoire qui allait devenir notre pays patrie. Chaque brochure de douze pages allongées en format italien expose une suite d’images ne correspondant pas à une vraie bande dessinée et que nous rangerions dans le genre « figuration narrative » si les Lichenstein et Adami de 1967 n’avaient pas fait servir cette expression à des œuvres picturales modernes. Une dictée restreinte est sagement inscrite dans chaque case – toujours en bas, jamais en haut. Les personnages ne parlent pas. D’où l’inutilité de bulles, de ballons ou de fumetti. Et ne parlons de phylactères ! Ce mot à connotation israélite aurait mal sonné à l’oreille de l’occupant hitlérien. C’est que LYS DE FRANCE était publié pendant les années où Paris cessait d’être la capitale d’une France condamnée à la guerre civile après sa débâcle politique en Juin 1940.

 

 

Histoire-de-France-page-int.jpg

Nous ne détenons pas la totalité de la collection LYS DE FRANCE, non plus que celle de « A LA FRANCAISE » qui était publiée, elle-aussi, par les Éditions artistiques et littéraire logées au 13 de la Rue des Saints Pères, Paris 6 ème.

 

 

Existe un site Web s’efforçant de lister tous les titres parus aux Éditions Artistiques et Littéraires, ces dernières étant désignées, voire dénoncées comme « emblématiques de la collaboration Vichyste » (www.bd-anciennes.com).

 

 

Doc Jivaro (MFCL)