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03/11/2013

Aux bonnes heures des dames n° 26

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Dans le couloir, c'est Francine. En réalité c'est François qui se fait appeler Francine. Un travesti habitué auprès de Lydia. C'est elle qui le maquille, qui le déguise pour qu'il se fasse mettre trois ou quatre fois chaque vendredi. Elle lui loue un studio pour deux heures. Le prix des passes c'est elle qui le touche.


 Francine François venait régulièrement jusqu'à la fin des années 90. Mais les emmerdements causés dans le quartier par les lois répressives depuis 2003 l'ont découragé. Il espace ses visites, se prépare à cesser de venir.


 L'ambiance n'y est plus. Une époque disparaît.

Aux bonnes heures des dames n° 25

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•  Qu'est-ce t'as au bras, tu te le tiens ?

•  Arrête ! J'ai failli me faire faucher mon fric dans le métro. Juste avant Château d'Eau. De pire en pire que ça devient et faut trouver ça normal. Ils étaient deux.

27/10/2013

Aux bonnes heures des dames n° 24

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•   T'sais, j'aime pas quand ils s'en vont de ce côté en pente ! Y en a un qu'a glissé une fois que c'était verglas, qu'il s'est pété une guibole. J'ai hésité, j'savais pas quoi faire. J'ai téléphoné aux pompiers. Alors, eux pour tout compliquer ils ont téléphoné aux poulets. Comme si j'avais besoin de les voir, les poulets !

Aux bonnes heures des dames n° 23

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Juste après la sortie de la séance de cinoche. 

 

20/10/2013

Aux bonnes heures des dames n° 22

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Fais gaffe, ce soir, je quitte vers 19 heures ! T'as retenu une table de deux chez la mère Gilberte ? Parce que le vendredi, tu sais, c'est toujours plein. Je n'aime pas me retrouver à côté de pétzouilles. On ne peut pas causer tranquille.

Aux bonnes heures des dames n° 21

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Quand Julia ouvre la porte à Lydia