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02/02/2014

Aux bonnes heures des dames n° 51

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« Nathalie les poteaux » ne travaillait qu'en changeant fréquemment d'un carrefour à l'autre ; et par conséquent sans chercher à s'assurer une clientèle d'habitués.

 La dernière fois que je l'entendis parler d'un tiercé raté à un poil près, c'était dans un petit bar à l'angle des rues Grenata et Palestro … Elle terminait un lait grenadine allumé d'un petit verre de rhum.

 

30/01/2014

Mauvais genre : l'école socialo-communiste

Contaminée par

l'hypocrisie cléricale

 

 

« Si on autorisait les adultes enseignants

à parler de sexualité aux enfants dans les

 z'écoles ce serait assimilable à de la

pédophilie »

 

"Une pie nommée Rossignol"

Fable inédite de Monsieur de la Fontaine

 

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29/01/2014

Dans les z'écoles du socialisme féministe

LA MIXITÉ DEVIENT INTERDITE

Ecoles-égalité-filles-garçons.jpg

26/01/2014

Aux bonnes heures des dames n° 50

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Des fois, Pierre devait s'asseoir pour se déchausser because un début de goutte qui lui gonflait le pied. Vous me direz que pour un videur, avoir les pieds fragilisés ce n'est pas l'idéal. 

 

Il commentait : « Il y en a une (il parlait des gagneuses) qui veut absolument que j'aille me faire soigner chez un magnétiseur qu'elle connaît et qui vous guérit rien qu'en appliquant ses mains sur où vous avez mal. Tu me vois croire cette bêtise, non, hein ? ».

Aux bonnes heures des dames n° 49

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J'ai connu … enfin, j'ai modérément connu quelques-uns des clients assidus auprès de Lydia. L'un d'eux nous disait : « Je voudrais être un chat, cela me permettrait de faire semblant de dormir tout en regardant sous la jupe des jolies filles sans qu'elles s'en offusquent ».

19/01/2014

Aux bonnes heures des dames n° 48

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Aussi, elle les besogna dans l'étroite et sombre rue Boisseau ; pas longtemps, à peine cinq ou six mois.

 C'était assez laborieux. Les michés, fallait insister pour les décider à filer l'arrière train jusqu'à l'entrée presque jamais éclairée du tringle.

 Une consolation pourtant : le couloir double du petit hôtel des passades traversait l'immeuble, permettant d'aller et venir entre la ruelle Boisseau et la rue du Ponceau où l'on trouvait plus d'amateurs.

 Lydia se risquait certaines fois rue du Ponceau … Mais alors, gaffe ! Le crêpage de chignon entre filles rivales n'était pas loin.