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13/05/2012

Brèves du trottoir n° 67

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Comment tu ne le reconnais pas ? Il y a des années, c'est vrai : c'est celui de la rue aux Ours avec Nathalie. Il me vient encore de temps en temps quand il en a marre des gros nichons de l'autre fofolle bourrée aux amphétamines.

Brèves du trottoir n° 66

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Et son troisième client à sortir avant dix heures en matinée, un dimanche de 1996. 

Il faisait beau. Nous avons bouffé à La Criée entre midi trente et quatorze heures.

Je me suis dit : faut pas que celà devienne une habitude.

29/04/2012

Brèves du trottoir n° 62

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Rue Saint Martin, année 72 ?

 

Une des dernières visibles.

Les parents de l'école toute proche se plaignirent du va-et-vient des filles.

Ça faisait pourtant plusieurs décennies qu'elles l'arpentaient, le trottoir à proximité des entrées et sorties du petit écolier qui s'en amusait bien. Elles étaient visibles 24 heures sur 24. Exception faite d'un intervalle de trois ou quatre années d'avant mai 68 ; années pendant lesquelles, de jour, la police veilla à ce qu'elles restassent planquées au fond des couloirs.

A ce propos me semble que le Canard Enchaîné imprima quelque chose comme : c'est à cause de Tante Yvonne ! Elle a aperçu des grues rue Godot de Mauroy, et s'en est offusquée.

Aujourd'hui, Madame de Gaulle, pudibonde catholique défunte, va peut être devenir la Sainte Patronne de militantes féministes athées acharnées à se venger du patriarcat.

 

Brèves du trottoir n° 63

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Zut de zut ! sur les trois, n'y en a pas un qui se décide, ce matin.

22/04/2012

Brèves du trottoir n° 61

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Brèves du trottoir n° 60

Bavardez autour de vous, l'étonnement peut vous plomber sur place. Principalement en petite province. Presque tout un chacun croit, mordicus, que la loi dépossède du droit de vote la prostituée.

 

« Et c'est juste, c'est la déchéance la punissant. Elle a refusé d'apprendre à gagner de l'argent de façon normale, de façon honnête ».

 

Assurément ! Il est bien plus normal, bien plus honnête de s'empoisonner à l'amiante pour toucher un salaire de misère. Ou encore de passer pauvrement 40 ans de sa vie les pieds dans l'eau froide, rien qu'a trier des tonnes de poissons morts dans des bacs à glace.

 

Toujours est-il que les prostituées et les prostitués (n'oublions pas nos amis les hommes) gardent tout à fait leur droit de vote.

 

En 1981, Mitterrand l'emportait contre Giscard. Le Monde raconta, longtemps après, que les filles de la rue Saint Denis avaient joyeusement scandé « On a gagné ! On a gagné ! »

 

Je ne sais où certains des pigistes de ce journal de gauche glanent leurs cancans. Mais bien des messieurs assidus auprès des tapins pensent que les gagneuses blanches traditionnelles ont plutôt le réflexe de voter d’extrême-droite. Principalement  depuis qu'une double immigration asiatique et africaine leur cause une concurrence déloyale dans le quartier.

 

Toute immigration massive apporte avec elle SA MAFIA originaire.

 

D'où un danger antisocial omniprésent que les nigauds de la tolérance et les politiciens d'une démocratie-passoire ignorent ou affectent d'ignorer.

 

Comme un tel danger ne se voyait pas comme le visage autour du nez.

Bar-Zing