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20/09/2012

Chez les souris et les rats gavés d'OGM ...

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 voit deux tumeurs se développer

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Ce matin sur RMC ...

... l'invité de Bourdin s'appelle Con Bendit

 

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Et la retraite, Dany ?

Faut y penser à la retraite,

mon pauvre vieux !

19/09/2012

Charlie hebdo protégé par les keufs

En mai 68 toute la gauche gueula contre la police française – et tout particulièrement contre les Compagnies Républicaines de Sécurité (celles-ci fondées par un certain François Mitterrand, non?). 

Aujourd'hui la bourgeoisie socialiste en appelle aux mêmes CRS pour protéger ses journaux qui essaient de bouffer du Muezzin après avoir bouffé du Curé. 

Mais c'est moins facile à digérer le Muezzin, hein, les bobos ! ? 

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18/09/2012

Un nouvel électorat

Les démocrates ne sont-ils vraiment que des 

"couillons utiles" comme l'affirmait Lénine ?

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17/09/2012

Message de fraternité entre les peuples

Partout dans le monde

contre  l'islamophobie


FAIRE FACE


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16/09/2012

A tire d'Elles n° 7

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Pas simplement un dimanche de juin mais une matinée de pluie. 

Lydia ne faisait pas uniquement dans la conserve du maquereau, elle faisait aussi dans l'entretien de deux pots de fleurs. Bégonia et géranium, du classique, quoi. C'était son côté voisine montluçonnaise. 

Par temps pluvieux, il lui arrivait de les descendre (les pots de fleurs) pour leur faire prendre l'air et l'eau sur le trottoir, en bordure du caniveau. Une manière héritée de son adolescence provinciale. 

  • Tu ne vois pas que quelqu'un me les fauche ? Je les surveille du coin de l’œil.

Mais voilà, fallait quand même monter avec le clille ; et Lydia ne pouvait tout de même pas monter avec ses pots de fleurs, un dans chaque main. 

  • Tu les planques dans le couloir, tu les ressortiras quand tu redescendras.

  • T'en as de bonnes toi ! Les filles vont balancer des coups de pied dedans ! Quelle est la connasse qui encombre l'entrée ? C'est Lydia, j'en fais le pari ! 

(Sur l'image, quand la rue est trempée, un client est devancé par un autre client.

Oui, ce n'est pas du dessin « terminé » … rien n'est jamais terminé. Si vous aviez été « terminé » à votre naissance vous n'auriez jamais vieilli.)