Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/07/2017

Le Venezuela ruiné par les nationalisations

 

 

MADURO

 

Démocrate vénézuélien

dépose son vote dans l'urne

Venezuala-Maduro.jpg

28/07/2017

France-Italie : Pince Mi et Pince Moi

 

STX.jpg

 

27/07/2017

Les droits du travail : ça va saigner ...

 

FINI - PARTI

Fini-parti.jpg

26/07/2017

Hausse de la mortalité humaine sur les routes

 

40 millions de chauffards

Mortalité-sur les routes.jpg

22/07/2017

Les Tarzanides du grenier n° 261

  

Lorsque Doc Jivaro n’œuvre pas à accélérer la disparition de l’espèce humaine, il se repose. Se reposant il feuillette divers paquets de journaux vieillots, tous écornés, déchirés poussiéreux.

 

- Tu cherches à périr empoisonné ? Interroge son n’épouse.

 

Doc Jivaro s’attarde sur un journal populaire pour les adultes année 1955 : LA PRESSE MAGAZINE dont la Rédaction se tenait au 142 rue Montmartre Paris 2e.

 

En bas de la deuxième page de l’exemplaire numéroté 505, une photo-montage affichant la tête d’une gamine avalant un restant … de banane.

 

« Elle en mange 10 000 par an » c’est ce qui est imprimé dans le texte.

 

Est ce vraiment un appétit pantagruélique ? Ou alors … Ou alors une incitation à récidiver avec toutes les insinuations obscènes relatives à ce fruit originaire des pays chauds. Vous savez, ces histoires qui font rigoler toute la tablée à la fin d’un gros repas d’européens bien nés, quand la jeune fille dans sa robe blanche de « Communion Solennelle » a les oreilles rougies d’en attraper tant et tant au vol « des raides et des pas mûres »

 

pecos bill,bandes dessinées de collection,bd 1955,le presse magazine 1955,susan morgan,bananes,tumeur estomac,ponchatoula

 

Sur la photo montage, ce qui attire notre curiosité ce n’est pas tant la goinfrerie attribuée à la gamine que l’affichage, en avant d’elle, de la couverture d’une brochure de bandes dessinées : PECOS BILL.

 

PECOS BILL, héros légendaire du Texas, eut ses heures de gloire auprès des garçons de mon âge. Mais, justement, ce genre de BD était destiné aux garçons. Pas aux filles. Les mœurs d’alors séparaient nettement deux écoles : pour Mademoiselle, la couture ; pour le jeune homme, la boîte de Meccano. D’où, à coup sûr, une petite fille lisant PECOS BILL devait être le résultat d’une erreur d’aiguillage. C’était une « garçon manqué ».

 

Doc Jivaro ne possède pas la collection complète des BD PECOS BILL. Aussi n’a t’il pas trouvé à portée de sa main la brochure dont il bavarde ici. Toutefois, une recherche auprès de nos faux amis que sont les commerçants dans Wikipédia, lui a permis d’obtenir des précisions . Il s’agit du numéro 13, portant pour sous titre : le Tam Tam du Woo-Doo. Ce fascicule, commercialisé 35 frs en 1955 se vend à présent entre huit et dix euros, l’achat étant relatif à l’état de conservation des pages.

 

pecos bill,bandes dessinées de collection,bd 1955,le presse magazine 1955,susan morgan,bananes,tumeur estomac,ponchatoula

 

 Faisons mine d’en finir tout de suite : Susan MORGAN, la petite demoiselle condamnée à ne digérer que des cargaisons de bananes « à cause d’une tumeur à l’estomac », VIT-elle encore, vieillissant minute après minute comme vous et moi.

 

pecos bill,bandes dessinées de collection,bd 1955,le presse magazine 1955,susan morgan,bananes,tumeur estomac,ponchatoula

 

 

 

 

 

 

 

 

Aux dernières nouvelles, voici ce que fut la VRAIE physionomie de la petite Susan.

 

 Doc Jivaro et Mfcl

 

21/07/2017

La parité, ça se mérite !

 

Assemblée-Nationale-parité.jpg

 

_______________________________

 

 

Brève : PRAVDA !

 

L’écolo Hulot : chassons le loup !

 

Ce n’est pas le loup qui tue le plus de moutons, c’est l’Islamisme.

 

M’a dit mon cousin garçon boucher qui s’est protégé contre le chômage en se convertissant à l’abattage rituel musulman.

 

Preuve qu’en France la laïcité n’arrête pas le progrès religieux.

 

Les socialo-communistes d’aujourd’hui ne bouffent plus du curé. Ils bouffent de l’athée.