Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/12/2011

Brèves du trottoir n° 26

prostitution,prostitution populaire,vie parisienne,sexualité

Rue Saint Martin, début année 70.


Il y en avait une qui n'arrêtait pas de regarder l'heure tourner sur le cadran de son bracelet-montre.

Carole la narguait : plus tu les attends, moins ils viennent !

Certaines filles restent collées sur place des heures sans dérouiller. Pas plus moches que leurs voisines, elles n'attirent pourtant pas le chaland.

C'est l'ambiance : c'est le premier client qui mobilise le deuxième. Les clients attirent les clients.

C'est ainsi.

Il y a comme un relai masqué d'homosexualité auprès de la fille publique.

17/12/2011

Bientôt Noël et déjà ...

... les héros préférés de l'enfance

  au  chevet  des  petits  malades

 Noël,enfants malades,noël des enfants malades


16/12/2011

Tempête sur la France

tempête hivernale,tempête en France,tempête Joachim

15/12/2011

La fin d'une presse papier

quotidien français,france soir,presse écrite française,journaux

 

Un fauteuil pour deux

 

Supposons … (j' osions à peine) supposons qu'un film ait pour scénario un homme noir infirme dont le fauteuil d' handicapé ne se déplace que par l'action d'un homme blanc valide …

Et parions que les belles âmes d' à présent ne manqueraient pas de dénoncer là dedans des relents de colonialisme.

 

Des frites comme s'il en grêlait

 

Mon n'épouse devant le maire du Xe rondissement parisien vient d'acheter une friteuse électrique « qui fait des frites pas grasses ».

Faut se rendre à l'évidence : après 40 minutes d'une patience de momie nous constatons qu'elles sont cuites pas grasses les patates coupées fuselées.

Sont pas grasses, sont même trop sèches.

Ça, oui.

Encore un progrès dans le recyclage des emballages en carton.

Il existe un vieux film de propagande made in URSS où nous voyons le camarade Popov tout émerveillé devant une écrémeuse en fonctionnement. (Je ne me souviens plus du titre. Est ce : « La grève», cinéma d'Eisenstein ?). Filmé en gros plans, le bec de l'engin éjacule avec force hoquets tout un flot de crème.

Ce souvenir m'a fait baptiser notre nouvelle friteuse : friteuse soviétique.

Je n'en maintiens pas moins mon opinion de petit bourgeois : les frites sans huile ne sont pas des frites et j'aime les frites blondes croustillantes.

Lorsque j'étais étudiant, je payais 1 franc le cornet de frites bien huileuses, tout à côté d'une Gare du Nord alors bien tranquille.

Je badigeonnais ce repas du soir avec de la grosse moutarde dont la quantité était laissée à la discrétion des clients. C'était en 1962-63. C'était une époque extra-terrestre : vous pouviez faire dix fois le tour du quartier de la Goutte d'Or, en pleine nuit, sans être emmerdé ni de face, ni de dos.

Enfin, bon, ma moitié et moi avons vite décidé d'un terrain d'entente pour notre ménage à huit pattes : une semaine les frites soviétiques ; l'autre semaine les frites françaises façon provinciale.

Et que mon assiette s'agrandisse au diamètre de la table, SVP !

Bar-Zing


14/12/2011

Rachida Dati "est une paire de couilles sur des talons aiguilles"

L'amazone de la Pampa

 rachida dati,ana cabana,le point,politique,


13/12/2011

Le voyage dans la Lune

Méliès enfin révélé

georges Méliès,voyage dans la Lune,cinéma,jules Verne,science fiction,

 

Le  cinéma de divertissement populaire commence et finit souvent par des niaiseries. Méliès en fut l'exemple type. Il aurait pu très bien utiliser ses trucages et ses superpositions transparentes pour autre chose que pour monnayer des amusements enfantins à l'attention d'un public d'adultes.

La photographie de nus masculins et féminins exista dès les progrès du daguerréotype (1839-1840) et les artistes tels Delacroix en apprécièrent d'emblé les premiers résultats érotiques. Mais Pépé Méliès, encore en 1903, s'attardait dans des programmes puérils. 

Cependant, rénovant les photos endommagées du film  Le voyage dans la Lune, les spécialistes furent stupéfaits de découvrir l’inattendu de plusieurs scènes. 

L'inattendu ? disons surtout l'inacceptable, l'insoutenable. 

Un faciès de grosse mémère toute laide, toute grimaçante et dont Méliès fait couler le sang menstruel d'un coup de suppositoire phallique. 

Ne me dites pas que vous emmenez vos enfants applaudir une cochonnerie pareille !

 

Bar-Zing