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16/02/2019

Tarzanides du grenier n° 339

 

Tout'en soleil, belle journée pour un février plutôt réfrigéré pendant ses nuits.

 

J’ai failli non pas attendre comme Louis XIV mais rentrer gibecière vide à la maison. Pourtant je m'étais pointé avant l'heure d'ouverture ... Je veux dire que je venais de parcourir tous les stands d'une brocante annuelle dans Domérat ; village hier encore séparé de Montluçon par les rangs d'un vignoble ne donnant qu'une "piquette" capable de vous baisser le pantalon sur les souliers.

 

Je me consolais déjà en pensant : heureusement l'entrée est gratuite ! lorsque mon regard s’est aplati sur le sol sous une planche allongée sur des tréteaux. Oui ! c’était bien lui le blondinet !

 

BD-Mascotte,-n°-28,-1950.jpg

 

 

Oui, c’était bien MASCOTTE.

 

Deux petits fascicules chacun de douze pages, les numéros 28 et 54, de parution hebdomadaire pendant la période 1950-1951. Tous deux d’un même format mais l’un imprimé à l’italienne, le texte parallèle au plus grand côté, et l’autre d’écriture horizontale alignée sous le petit côté. La provenance en était les Éditions Populaires Modernes.

 

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Les premiers scénarios se déroulent aux Indes lorsque l’Angleterre disposait d’un Empire Coloniale. MASCOTTE le blondinet est un écossais juvénile accompagné d’un grand, d’un solide gaillard les cuisses et les fesses couvertes d’un kilt. Ce me semble que sa collection englobe 87 numéros.

 

Doc Jivaro n’a jamais envisagé devenir proprio de la mascotte d’un régiment.

 

Doc Jivaro

 

22/01/2019

1 oeuf + 1 oeuf = 2 yeux

 
Intervention réussie mais ...
... faut adapter une nouvelle paire de binocles.
 A bientôt.
 
Bar Zing

21/01/2019

Binoculaire

 
N'étant pas cyclope
Une deuxième cataracte m'a été retirée

 

Bar Zing

 

 

08/01/2019

Nos frères et sœurs en vieillesse

 

 

Intervention chirurgie

 

Bar Zing

 

Demain est un autre jour !

 

 

29/07/2017

Les Tarzanides du grenier n° 262

  

Promenant mon regard sur le défilé de noms d’artistes affichés dans Wikipédia, j’ai stoppé sur celui de TREZ.

 

TREZ fut longtemps apprécié pour son talent d’humoriste politique en première page du quotidien FRANCE SOIR. A présent, la peinture d’art, la trituration de la matière picturale l’engage vers des voix inattendues de la part d’un esprit qui se manifesta longtemps par des dessins profilés d’un seul trait de feutre noir.

 

TREZ jouit d’une belle réputation.

 

Ce que l’on sait moins, par contre, c’est que l’une de ses deux filles … (Je ne me trompe pas dans le nombre ?) c’est que l’une de ses deux filles : ISABELLE TREDEZ, artiste graveur intense, s’est aussi exprimée dans le domaine de la bande dessinée. Elle publia notamment dans ÉLECTRODE, en 1983 puis dans RECTO VERSO (1984). Sa première parution a pour titre L’ÎLE CHAUDE. Une série dont l’action se développe à la Jamaïque entre la drogue et la musique reggae. Pour accroître l’ambiance menaçante, Isabelle recourait souvent aux effets de matière sur calque transparent et adhésif, les fameux LETRASET dont l’utilisation se raréfia par la suite à cause de « pattern » fournis avec l’informatique personnalisée.

 

Ci après la première et la deuxième planches de l’Île Chaude.

 

BD-Isabelle-Tredez.jpg

 Salut à toi Isabelle.

Doc Jivaro