Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/03/2013

A tire d'Elles n° 54

Prostitution,prostitution populaire,sexualité,moeurs,vie parisienne

Monica te fait signe, vas-y ! s'exclama l'autre.

Ne reste pas planter comme un poireau.

Qu'est-ce qu'ils ont tous, aujourd'hui, à ne pas se décider. 

03/03/2013

A tire d'Elles n° 53

Prostitution,prostitution populaire,sexualité,moeurs,vie parisienne

– Combien tu prends ?

C'était au croisement des rues Saint Martin et Aux Ours, quand Pierre et moi avions pris l'habitude de nous adosser contre la vitrine, à l'intérieur du Petit Marsouin, le matin, pour tremper les croissants dans le café crème. Double, le café crème !

En ce temps là, les Halles étaient encore l'estomac et l'intestin de Paris.

A tire d'Elles n° 52

Prostitution,prostitution populaire,sexualité,moeurs,vie parisienne

Elle allait l'emballer quand elle s'aperçut qu'il avait un peu trop bu. Et pas de l'eau ! Alors elle le refusa. 

Il essaya de la frapper. Pas violemment mais c'était idiot quand même. C'est Pierre qui intervint. Le type, déjà déséquilibré par la boisson, tomba le cul sur le trottoir. Ce fut tout ça et puis rien.

27/02/2013

Viande - étiquetage frauduleux

 TROP C'EST TROP !

 

 DSK croyait se taper une jument

c'était une vache

 

 

DSK,Marcela Lacub,sexualité,fraude alimentaire,viande de cheval,étiquetage frauduleux,

 

 

24/02/2013

A tire d'Elles n° 51

Prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,sexualité

Tiens ! Je te l'avais dit que ça ne marcherait pas. C'est rare quand ça marche avec elle. Lui comme d'autres l'aurait mieux fait de grimper avec moi.

Lydia à quelque peu la manie de faire des commentaires non favorables sur chacune des cinq filles besognant dans le même immeuble aux mêmes heures qu'elle.

C'est ainsi qu'elle nous a raconté que D … - une réunionnaise venue depuis longtemps de la rue de la charbonnerie - ne tâte du machin de ses clients qu'après avoir enfilé une paire de gants « comme pour une opération chirurgicale ».

La capote ne suffit pas pour la rassurer. Elle est un peu déboulonnée de là-dedans, c'est ce que conclut Lydia en se tapotant du doigt contre la tempe. 

 

A tire d'Elles n° 50

Prostitution,prostitution populaire,prostitution parisienne,sexualité

 

La grande blonde très sollicitée et dont j'ai parlé précédemment (15-07-2012) elle stationne encore dans une des rues donnant sur le Sébasto. 

Trente années de présence, ça fait un sacré bout de chemin au compteur.