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21/12/2018

C'est encore de l'officiel :

Journée mondiale
de l'Orgasme

Journée-de-l'orgasme.jpg

Les bonnes recettes de Tante Maria :
pour bien touiller bien tenir la queue

 

28/11/2018

Jupiter à l'écoute du peuple

Demain,

votre préservatif remboursé

par vos impôts

Préservatifs-remboursés.jpg

14/11/2018

Mercredi n'y a pas école - y a le cinoche

Les-chatouilles.jpg

09/11/2018

Tout de suite après l'Armistice en 1918

Sujet taboo :

La drague dans les cimetières

 

L'après-Armistice-1918.jpg

22/10/2018

Agression anti-scolaire dans Créteil

« Pompidou salaud !

Le peuple aura ta peau »

 

C'était dans Paris 1969, en longeant les grilles du marché couvert Boulevard Magenta... Quel jour ? Je ne m’en souviens pas. C’était sûr, c’était en matinée et la classe des gamins scolaires marchait en désordre, tous excités par je ne sais quel « enseignant » dont le bras martelait les paroles assassines.

 

Etais-je donc encore à rêvasser sur mon sommier du sixième étage sous le zinc des toitures ? non ! Je descendais à pied jusqu’au boulevard Bonne Nouvelle, là où nous prenions rendez-vous, Jean-Guy et moi, pour avaler une choucroute trop liquide dans un self service dont j’oublie l’enseigne.

 

Les lendemains de Mai 68 n’étaient pas toujours révolutionnaires : ils étaient aussi bandants : de plus en plus de jeunes et de moins jeunes parisiennes adoptaient la nouvelle mode vestimentaire, celle de la mini-jupe. Alors que le porte-jarretelles restait encore de service autour des hanches, en dessous.

 

« Pompidou salaud !

Le peuple aura ta peau »

 

Une autre étape venait d’être franchie par des révolutionnaires auto proclamés annonçant le nouvel ordre d’un monde tout frais, pas rose bonbon mais rouge sanguinaire :

 

– À bas l’école caserne !

 

Il fallait abattre les murs emprisonnant les lycées et les collèges. Il fallait ouvrier les écoles à la rue ! libération totale !

 

Comme si nos aïeux n’avaient pas bâti des écoles entourées de murs, justement pour protéger les enfants contre l’ignorance et les violences des rues.

 

Le slogan nouveau était À bas les collèges-prisons ! Il faut que la rue libératrice entre dans les écoles enfin libérées !

 

Aujourd’hui et depuis plus de vingt ans, c’est réussi : le racket, l’incendie, la drogue, les délinquances et les crimes multiples de la rue entrent démocratiquement à l’école.

 

Enseignante-braquée.jpg

 

 

01/10/2018

Anniversaire du 1er octobre 1968


Premières publicités à la télévision


De laquelle vous souvenez-vous ?

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Quand les jolies femmes choisissaient
d'être abordées dans l'espace public