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12/12/2022

Ça ne s’arrangeait déjà pas …

 

A CAUSE DU MAROC

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Ma grand-mère maternelle née Guillot perdit ses deux frères pendant la Grande Guerre. L’un sur la frontière franco-belge, l’autre au Maroc, (Où il faisait le zouave disait mon père). Leurs deux noms figurent sur le monument aux morts de l’Avenue de Marx Dormoy fils de Jean.

 

Ma Grand mère ne se consola jamais de cette double perte et jusqu’à la fin de ses jours, chaque dimanche matin, elle portait un bouquet de fleurs sur la tombe familiale.

 

« A présent, avait-elle fini par constater, je suis bien la dernière à aller rendre hommage aux morts du cimetière ». On était en 1968.

 

 

06/12/2022

Emmanuel Macron : méli mélo

La France a toujours été

une terre d'immigration

Cela fait partie de notre ADN

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27/11/2022

Tarzanide n° 541

LOLA

 

Dans le XIXe arrondissement parisien, un hommage vient d’être rendu à une jeune fille française torturée pour être assassinée par une algérienne obsédée sexuelle illégalement présente dans le pays du Maréchal Bugeaud. L’enfant se prénommait LOLA.

 

J’espère ne choquer personne en écrivant que le prénom de la jeune victime m’a remis en mémoire le titre d’un livret écrit et illustré pour distraire les enfants. Il s’agit des mésaventures d’une girafe géante prénommée LOLA ; livret édité en 1945 par les éditions WILLEB, celles-ci actives depuis 1900 et finalement disparues en décembre de l’an 1988.

 

 

 

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Racontée et dessinée par Mireille Pradier, l’histoire fantaisiste offre un exemple rare : son titre placé tout en bas de l’illustration de couverture. Il est probable que les pérégrinations de Lola furent inspirées par le voyage bien réel, lui, d’une girafe africaine que MEHEMET ALI offrit en cadeau en 1827 à notre Roi Charles X. L’animal fit sensation en parcourant à pattes la distance de Marseille jusqu’au Jardin des Plantes de Paris. Tout au long de son parcours certaines auberges et restaurants adoptèrent alors l’expression « A la girafe » en guise d’enseigne. Par la suite, toute une littérature populaire se fit, ainsi que le montre le journal Le Petit Français illustré daté du 4 juillet 1903.

 

 

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Dans le livret LOLA destiné aux enfants on peut constater que la censure permettait de suggérer la nudité totale d’un personnage dessiné à condition de recourir à une astuce picturale : noircir entièrement la silhouette du personnage et pas uniquement lorsqu’il s’agissait de représenter un négrillon. Attention : il existe aussi une mode « Négrillon » pour ce qui concerne certaines robes élégantes portées par des bourgeoises de l’ethnie blanche à l’approche des années 20 (c’est ce que me rappelle mon épouse ancienne chargée de recherches documentaires pour le Palais Galliera).

 

 

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Souvenirs, souvenirs : le petit bouquin LOLA me fut donné par une de mes petites voisines de mon âge vers mes sept ou huit ans. Je viens oh ! surprise de remettre la main dessus je l’avais conservé dans ma bibliothèque désordonnée dont le plafond est soutenu par des piliers formés de livres superposés.

 

Doc Jivaro

 

23/11/2022

Adieu, veaux, vaches, cochons …

 

CORRIDAS

 

A propos de la corrida, mon épouse vient de dire : Le combat entre le taureau et l’homme se déroule dans un espace clos construit par l’homme et auquel il est habitué. Mais pourquoi l’affrontement ne se déroule t-il pas dans un champ, un terrain de pâturage dans lequel le taureau se sent à ses aises ? Ça donnerait moins l’avantage au toréador.

 

Bar Zinc n’a jamais assisté à une corrida. Il n’en connaît que des représentations picturales, voire des séquences cinématographiques.

 

 

MITHRA

 

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Avez-vous entendu parler de Mithra ? C’est un dieu antique d’origine indo-européenne représenté généralement occupé à mettre à mort un taureau. Toutefois, un détail dont la signification échappe encore aux spécialistes : la présence d’un scorpion piquant les testicules de l’animal. La religion de Mithra fut importée dans le monde latin par les légionnaires romains environ un siècle avant l’arrivée, toujours grâce aux guerriers conquérants païens, du judéo-christianisme, lequel ne manqua pas de calomnier comme satanique Mithra afin de le faire disparaître de la mémoire occidentale.

 

Pour ma part, il m’arriva de voir l’abattage d’animaux dans les anciens abattoirs à Montluçon. Quand j’écris « voir », je me comprends : je fermais les yeux quand la masse frappait la tête de l’animal … Il y avait tout un langage chez les tueurs : si la bête dirigeait son regard vers le bourreau, quelqu’un criait : Elle t’aime ! … Il faut savoir que de l’autre côté de la rue il y avait un bistro et qu’ainsi les bonshommes n’étaient jamais à jeun, jamais à sec pendant leur boulot d’égorgeur. Je me trouvais là-dedans avec mon oncle boucher-charcutier qui tenait son commerce dans le village de Saint Sauvier. Comme tous les autres bouchers la loi lui avait ôté son droit d’abattage des bestiaux qu’il achetait chez les paysans de la région. Cependant mon oncle s’imposait une règle : ne jamais manger de viande autre que celle choisie par lui. «  Il y a trop de bêtes malades vendues pour la consommation ! ».

 

- Mais il y a bien des vétérinaires qui visitent, disait mon père ?

 

- Tu parles ! Les dessous de table c’est pas pour les chiens.

 

Bar Zinc

 

08/11/2022

Décolonisés, viennent-ils tous mendier en Occident ?

 

Décadence de notre civilisation ?

 

 

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L’Empire Musulman Ottoman s’imagina capable par la guerre de conquérir définitivement l’Europe de l’Ouest en 1683 de l’ère chrétienne. Sa prétention fut mise en échec au-delà de la Hongrie par la famille des Habsbourg : Le Pape de l’époque, Innocent XI, approuva nos ancêtres européens.

 

Rien à voir, donc, avec un actuel argentin immigré improvisé Pape sous l’appellation François ; lequel gaspille son temps et notre argent à favoriser l’implantation clandestine des africains et islamistes en Europe sous prétexte de feindre d’être charitable.

 

Encore un peu et le curé de la paroisse Saint Paul dans Montluçon distribuera des aumônes à nombre de familles musulmanes pour qu’elles assistent mais sans y participer à la messe du dimanche matin. Et le bon prélat de dire : Venez constater comme notre église est à nouveau pleine comme au temps du Moyen-Age !

 

Bar Zing conseille à tous ses amis catholiques de se débarrasser au plus vite de l’immigré Pape François afin de le remplacer par un Pape nouveau, jeune et reprenant pour l’église catholique la vaillance guerrière qui fit sa grandeur historique à l’opposé de l’Islam.

06/11/2022

Tarzanide n° 540

Le coup du Père François

 

En 1936, en août 1936, les jeux olympiques furent un triomphe, pour la propagande nazie, tant par la modernité de l’installation gigantesque que par les procédés nouveaux notamment la télévision et, avant tout, l’invention de la flamme qui allait en devenir le symbole.

 

A cette occasion une cinéaste de génie réalisa un super-film qui en France fut programmé sous le titre : « Les Dieux du Stade ». La réalisatrice allemande, Leni Riefenstahl n’aurait peut-être pas été satisfaite de constater que le magazine français CINEMONDE de juillet 1938 présentait bien en couverture une photo extraite de son film mais aucun commentaire sur son œuvre. La rédaction du journal avait préféré faire l’éloge d’une « Sex bomb » : Dorothy Lamour.

 

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Au cours de ces jeux sportifs, le public s’enthousiasma particulièrement pour les épreuves de course à pied, en particulier le Marathon remporté par un coréen mais condamné à courir sous le drapeau japonais. Cependant c’est un noir américain, Jesse Owens, qui allait être applaudi comme mettant à mal la prétendue supériorité d’une race blanche aryenne.

 

Peu après, en 1941 et dans le journal de Bédé HURRAH ! apparut un surhomme dont l’équipement ne ressemblait pas à celui habituellement porté par les héritiers de SUPERMAN. Au lieu d’un collant moulant sa musculature, ce super héros était vêtu comme un sportif : gilet ou tricot de sueur, short et chaussures à crampons. Peut-être les vrais champions de la course à pied qui avaient enthousiasmé les publics pendant les Jeux Olympiques dans Berlin, avaient-ils donné l’idée d’inventer, pour divertir les enfants, un nouveau surhomme : FRANCOIS L’IMBATTABLE.

 

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Aujourd’hui le souvenir de Jesse Owens est utilisé par certains politiciens africains lorsqu’ils veulent dévaluer  les mérites des hommes blancs lors des Jeux Olympiques de Berlin année 1936.

 

Mais, tiens : savez vous que le « coup du Père François » existe réellement ? Il s’agit d’une pratique de combat de rue connue en ju-jitsu et qui fut d'abord utilisée par les « apaches » parisiens venus des fortifs pour casser la nuque du bourgeois noctambule.

 

Doc Jivaro