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10/08/2020

Black Power

 

Non aux immigrés blancs en Afrique

 

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08/08/2020

Tarzanides n° 444

 

En 2003 et dans Montluçon ville bourbonnaise où je naquis, j'achetais KIWI, le dernier numéro, le numéro 582. Un mensuel BD dont le format-poche ne fut jamais modifié pendant sa cinquantaine d'années de publication (13 X 18 cm).

 

Le commerçant âgé me voyant pour la première fois se permit un commentaire amusé alors que je posais trois pièces de 1 euro sur le petit comptoir tout en gardant le petit bouquin contre moi.

 

- Vous rajeunissez monsieur.

- Vous savez, dis-je, j'ai acheté le numéro 1 lorsqu'il parut en 1955. Je ne vais pas rater le final.

- Je ne veux rien affirmer, reprit le bonhomme. Mais me semble bien que moi aussi je me le suis acheté.

 

 

BD-Kiwi,-n°-582.jpg

 

 

KIWI, sur sa couverture, affichait presque toujours la silhouette de son personnage principal qui assurait son succès. C'était BLEK le ROC. Le trappeur sans cesse en lutte contre les « homards rouges », comprenez : contre les anglais qui prétendaient gouverner les immenses terres amérindiennes du « Nouveau Monde ». En ce temps là, la Louisiane appartenait à la France, souvenons nous, et c'est ce qui explique en partie que nos pères aient aidé militairement les jeunes américains à obtenir l'indépendance.

 

L'autre BD présente dans KIWI à ses débuts, avait pour titre : Le Petit Duc. Cette série était surtout appréciée pour les dessins signés de DEVI (Devida). Celui-ci, je le connaissais depuis l'année 1949 lorsqu'il agissait dans l'hebdomadaire AVENTURES, journal illustré qui faisait la part belle aux images italiennes.

 

 

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Aventures, n° 17, année 1949

 

D'abord édité par LUG et sous la gérance de Marcel Navarro cofondateur avec Pierre Mouchot du fabuleux cagoulard FANTAX, le pocket KIWI termina son existence chez l'éditeur SÉMIC.

 

Allez ! Doc Jivaro va se reposer comme un fainéant, la canicule fatigue le peu de santé qui lui reste.

 

Doc Jivaro

 

06/08/2020

Avec l'OLP puis le Hezbollah

 

Le LIBAN, terre de paix

 

Liban-Beyrouth-explosiions.jpg

05/08/2020

Tarzanides n° 443

 

Reprenons un peu avec Norbert Moutier, ne serait ce que pour apporter un complément d'info quant à son fanzine MONSTER BIS, n° 24 « Les Filles de la Jungle » dont nous exposons, ici, le scan de la couverture.

 

 

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Très fourni en photos cinématographiques, un flot de commentaires s'étirent depuis la (déjà!) mythique Dorothy Lamour jusqu'à des productions raccordées à l'éditeur de BD érotiques ELVI FRANCE des années 1970. C'est dire qu'ainsi se préparait un cinéma pornographique enfin disponible pour le grand public avant de se retrouver confiné en famille grâce à l'apparition des cassettes vidéo. Eh ! Eh !

 

Norbert Moutier consacre – le verbe n'est pas trop fort – plusieurs pages à la jeune et piquante actrice allemande Marion Michael dans le rôle de LIANE. Épargnée par les lions en cage cette jeune créature prime-sautière sera victime d'un féroce accident d'automobilistes en liberté.

 

Les superbes Tarzanides de la bédé et du cinéma, dont les deux prototypes sont Sheena de Will Eisner ET Tarzella de Rex Maxon ne firent pas oublier leur modèle phallocrate TARZAN dont l'existence fondatrice est rappelée par Norbert Moutier lorsqu'il signale le film TARZAN Y EL ARGO IRIS daté de 1970, film qui fut d'abord interdit aux moins de dix-huit ans.

 

 

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Monster Bis, n° 71

 

L'acteur LEX BARKER remplaça Johnny Weissmuller en 1948 pour le film TARZAN ET LA FONTAINE MAGIQUE. J'étais alors âgé de six ans et me trouvais en vacances d'été dans le bourg de Chénérailles, en Creuse, pays des fougères et des vipères. Je n'eus pas à le lire dans un journal que le seul cinéma présent dans le grand village, affichait le film « Tarzan et la Fontaine Magique ». Je n'eus pas à le lire puisque le garde-champêtre debout à l'angle d'une maison en face de chez nous, battit le tambour – vlan !, vlan et revlan ! annonçant à voix forte le spectacle cinématographique de l'homme qui singe les singes. C'était dans la rue où se tenait un fromager régional répondant au nom de Pianet.

 

Mon oncle Marcel et ma tante Camille que j'aimais beaucoup tous deux, cédèrent gentiment à mon souhait entêté et me menèrent voir le film. Lorsque nous sortîmes après la séance, les adultes ne manquèrent pas de me questionner :

 

- Alors, tu as aimé ?

- Ouais ! Mais ce n'est pas le vrai Tarzan. Le vrai c'est Johnny Weissmuller.

 

Mon opinion était bien établie là-dessus.

 

Doc Jivaro

 

 

 

04/08/2020

Une journée du mois d'août

 

Bar Zing

donne rendez-vous demain mercredi

 

 

 

 

03/08/2020

Trump démasque l'espionnage pékinois

 

Dick Tracy et Red Barry

au quartier chinois

 

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