06/02/2017
Entre 93 et le 69
12:01 Publié dans animaux, Dessin humoristique, Media, Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : mélenchon, hologramme, le 69, benoît hamon, taubira, walwari, présidentielles 2017
27/05/2016
Les neveux cachés de l'Oncle Pique-Sous
Archi minoritaire dans
le monde des travailleurs salariés
LE SYNDICALISME
empoche 200 millions d'euros annuels
11:39 Publié dans animaux, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : geoffray didier, syndicats millionnaires, cgt, fo, subventions publiques syndicales, picsou
01/04/2016
Dans notre assiette, un cadavre !
En province, un abattoir, j’ai connu. En tout cas, j’y entrais sans avoir à faire dedans. J’accompagnais mon oncle, boucher à Saint Sauvier. Il s’y rendait pour faire abattre des bêtes après que la loi lui eut enlevé le droit de les saigner tout seul, comme un grand, les bêtes.
Les tueurs assommaient à coups de masse … Parfois de travers, ils rataient la tête. disons que, parfois, ils chancelaient, ils titubaient, les hommes. L’alcool … Un bistrot ouvrait en face. Il suffisait de traverser la rue pour y aller et en revenir.
- Vas- y ! cogne ! Han !
Si le bœuf tournait de l’œil dans la direction de son bourreau, les témoins s’amusaient, lubriques, criant : il t’aime ! Il t’aime ! … ou encore : elle t’aime ! lorsqu’il s’agissait d’une fille que le péquenot du coin avait amenée ici, lui reprochant de ne jamais donner assez de lait.
En fin d’après midi de je ne sais plus quel jour, un bœuf ou quelqu’autre viande sur pattes s’échappa de l’abattoir. Un délinquant sûrement. Il fallut prévenir la police mais ce fut, disait-on, la gendarmerie qui abattit d’une ou deux balles de fusil l’animal évadé. Paraît qu’il était a moitié égorgé le bestiau à l’instant de son évasion en dehors du camp de la mort. Vous savez : certaines de nos victimes ont, comme ça, des sursauts d’incivilité dus à un évident manque d’éducation.
Mon oncle, que j’aimais bien, devait périr d’un cancer quand pour soigner le malade la chirurgie découpait toute une portion de bidoche.
Sa veuve, donc ma tante, eut ce mot quelque peu égaré : « Lui qui savait si bien détailler les morceaux ! ».
Ryal
15:45 Publié dans animaux, Consommation, L'avis des bêtes, La vie des bêtes, Moeurs, Santé, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : souffrance animale, abattoirs, souvenir d'enfance, vie des bêtes
19/01/2016
"Alertalabombe" à l'Assemblée Nationale
PAMELA ANDERSON
Non au gavage des oies !
Comme on la comprend
Méprisons les jeux de mots !
Paméla ?
Je me disais sans médire : elle a au moins 28 ans. Mais non. Alors 38 ? pas non plus.
- Quarante huit.
- 48 ans !
A force que le temps passe, le tampax aussi.
10:34 Publié dans Actualité, animaux, Consommation, Dessin humoristique, Moeurs, Société | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : gavage des oies, laurence abeille, pamela nderson, brigitte bardot, écologie, souffrance animale
20/10/2015
Dimanche : journée sans sang
INTERDIRE LA CHASSE ?
IMAGE (tronquée) CALVO
"La Bête est Morte"
Si vous en avez lu le texte (1944-45) rédigé par DANCETTE, vous en avez repéré et regretté les erreurs et les censures politiques.
15:34 Publié dans Actualité, animaux, Arts, BD, BD anciennes, Consommation, Dessin humoristique, Journaux, L'avis des bêtes, La vie des bêtes, Media, Moeurs, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : calvo, dancette, la bête est morte, gallimard, chasse interdite, pétition appel pour le dimanche sans chasse, association pour la protection des animaux sauvages
22/08/2015
Qu'on aboie sous les tonnelles
Qu'on aboie sous les tonnelles
Devinez rien qu'un peu : deux moucherons repérés tout noirs dans mon verre empli d'un apéro vin blanc.
Première année que ce début d'invasion clandestine en fin de mois d'août frappe notre domicile conjugal européen.
- Il n'y a plus de mouches, avais-je dit à mon épouse.
Et ma compagne d'appuyer : c'est vrai ! Depuis pas mal de temps on les voit de moins en moins les mouches.
Faut entendre que dans notre quartier les jardins potagers et les espaces fruitiers disparaissent de plus en plus vite. Les uns recouverts de maisons bâties en vitesse à la six-quatre-deux – et les autres, mais plus rarement, creusés pour être inondés d'une piscine que le propriétaire n'utilise finalement qu'un seul mois sur douze.
Tiens ! À ce propos, pourquoi ne pas rendre rentable chaque piscine en la garnissant de poissons à consommer après engraissement ?
Reste qu'il y avait bien deux moucherons muets comme des carpes et battant des ailes, à se noyer dans le vin blanc sec de mon verre transparent. Une intrusion malséante qu'il me fallut corriger par une de mes voies naturelles. Oui : je me les suis envoyés avec la rasade d'alcool, les moucherons noirs.
- Tu es un monstre ! s'est écriée ma femme.
Laquelle de femme, de son côté, dévorait une à une des crevettes tout aussi roses que mortes.
Puisque nous, civilisés, mangeons des cadavres.
Ryal
08:50 Publié dans animaux, Blog, Consommation, Moeurs, Montluçon, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : montluçon, piscine, moucherons, terrains à bâtir, vins blancs, consommation