11/07/2017
A cause de la surpopulation humaine ...
... dans moins de 20 ans
40 % des espèces vivantes seront mortes
Repensons au temps disparu quand notre voisine déroulait tout un ruban adhésif qu’elle collait d’un bout à l’autre au-dessus de sa tête, contre le plafond de sa cuisine. Des centaines de mouches se retrouvaient prisonnières les pattes paralysées, pendant que l’insecte agonisait en faisant avec ses ailes tout un bruit de petite locomotive ne réussissant plus à démarrer.
Mon père n’aimait pas du tout ça : « C’est dégueulasse ! ». Il prévenait ma mère : Si tu achètes un machin pareil je fous le ruban et les mouches crevées dans ta soupe !
Lorsque j’étais gamin, la population des mouches faisait partie de toutes les ambiances familiales. Ça pouvait agacer (le plus souvent) ; ça pouvait amuser (fallait improviser).
Il m’arriva d’attraper dans mon poing une de ces bestioles pour lui enlever ses ailes. C’était rigolo de la voir condamnée à marcher sans jamais réussir à reprendre son envol. Je ne pensais ni à l’ahurissement de l’insecte, ni à sa mort prochaine. Je ne savais que ce que sait l’enfance : seul compte l’amusement du moment.
Aujourd’hui je suis vieux et tranquille : il n’y a plus une seule mouche qui monte et descend, et qui ne descend que pour remonter, sur la vitre de la fenêtre.
Par contre, récemment, dans Montluçon, il y a eu deux vieillards assassinés par un groupe de jeunes gens originaires de …
Mais je ferme ma gueule pour ne pas être tout de suite écrasé par le rouleau compresseur des « Droits de l’Homme ».
Des « Droits de l’Homme » souvent pervertis jusqu’à devenir les droits du délinquant, les droits du criminel et les droits du terroriste.
12:06 Publié dans Actualité, animaux, Consommation, Dessin humoristique, L'avis des bêtes, La vie des bêtes, Moeurs, Société | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : extinction des espèces, disparition vertébrés, futura-sciences, disparition des escargots, jumbo 1939, helen aberson
Commentaires
Moi les mouches je les capturais et en classe je leur liais les pattes par un long fil de soie avant de leur rendre la liberté de voler je trempais l'extrémité du fil dans l'encrier. 2puisée la mouche allait se poser parfois sur un cahier. je ma tuais déja à la tache! ! !
Écrit par : bob | 11/07/2017
N'en parlons plus. Mouche cousue.
Ryal
Écrit par : Ryal à Bob | 12/07/2017
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