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16/04/2019

Quasimodo

Demain,

elle redeviendra pareille à elle-même.

 

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15/04/2019

Citoyens, citoyennes, ce soar, 20 H

Macron le grand divorce.jpg

13/04/2019

Les Tarzanides du grenier n° 347

 

Vous comprenez, le 346 c’est tout bonnement L’ÉPATANT d’hier auquel j’ajoute ce petit appendice.

 

L’ÉPATANT débutant en 1908, le dernier numéro de sa première série est le 1517 de l’année 1937.

 

La Guerre de 1914-1918 obligea maints journaux à réduire le nombre de leurs pages ainsi que la présence de plusieurs de leurs collaborateurs. L’ÉPATANT n’échappa pas à cette contrainte. Habituellement formé de seize pages, il les diminua  à huit tout en économisant sur la quantité des couleurs puisque la double page intérieure, celle des Pieds Nickelés, était simplement imprimée en noir sur blanc. On vérifie ça, par exemple, dans le numéro 435 du 16 novembre 1916.

 

 BD-L'épatant,-16-11-1916.jpg

 

 

Ribouldingue, Croquignol et Fillochard sont les trois chenapans créés par FORTON. Mais attention jeunes gens, le personnage brimbalé par sa monture, malgré son pif fuselé pareil à celui de Croquignol n'est pas Croquignol. C’est le Kronprinz, celui même qui passa de belles années de guerre à peloter la Gretchen pendant que des millions de bonshommes s’étripaient sur les champs de bataille.

 

Et que notre Landru travaillait à s’immortaliser pour la postérité.

 

Doc Jivaro

 

 

12/04/2019

Allez ! un p'tit coup rien qu'en passant.

 

Toute sa jeunesse assez studieuse n’empêcha pas mon père de feuilleter L’ÉPATANT ; un « pulp comic » à la mode française, volontiers cocardier entre 1914 et 1918 et dont la naissance venait de 1908.

 

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« Tu sais aujourd’hui ce n’est pas la peine d’attendre ton papa pour midi. Comme tous les ans à cette saison il est occupé à regarder les gens du voyage qui dressent leur chapiteau »

 

Maman rappelait ainsi que le cirque Pinder installait tout son bataclan sur le quai Louis Blanc, juste en face de chez nos cousins. Le cirque c’était les clowns. C’était avant tout le clown Auguste doté d’un gros nez rouge et sans cesse tournant en dérision son rival le clown blanc. En fin de compte, le résumé bonne enfant d’une « lutte des classes ». Prolo contre rupin.

 

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Dans L’ÉPATANT les nez rouges envahissent les pages mises en couleur. Il ne s’agit plus de conflits sociaux, mais de l’omniprésence d’une boisson alcoolisée rebaptisée : « sang de la vigne » et haussée au rang de propriété nationale. Une des BD porte pour titre CARAFON CHIEN D’IVROGNE. C'est dire que les nez rouges symbolisent toute une population sacrifiant à la « dive bouteille » de Rabelais. D’autant que les fameux PIEDS NICKELÉS, apparus dans le numéro 9 de L’ÉPATANT sont affublés tous les trois chacun d’un nez rouge.

 

BD-Les-Pieds-Nickelés,-1914.jpg

 

Lorsque Doc Jivaro en 1961 (?) sortit pour la première fois du métro Hoche de la direction Porte de Pantin, il aperçut un très haut mur au haut duquel se perchaient des cheminées. Et sur ce mur, il lut, en grosses lettres noires :

 

AU BOUGNAT

CHARBON ET VIN

 

Mais peut-être était ce « VIN ET CHARBON ».

 

Voilà qu'il n'a plus toute sa tête, Doc Jivaro !

 

11/04/2019

En France

Le prénom

est-il facteur d'intégration ?

Le-prénom-et l'intégration.jpg

10/04/2019

Aéroport du Gross Paris

PRIVATISATION

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