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24/08/2018

C'est du nouveau chez les démocrades ...

Air-France-vols vers l'Iran.jpg

23/08/2018

Cette année encore ...

 

... la pauvreté frappe les plus pauvres

 

Rentrée-des-classes-2018.jpg

 

Pendant toute mon enfance suivie d’adolescence j’ai entendu dire dans le quartier de la Ville-Gozet QUE la misère française était en augmentation, ce qui se vérifiait par une constante « baisse du pouvoir d'achat du panier de la ménagère ».

 

Plus tard, je lus que ces trois décennies de misère prolétarienne dénoncée par l’HUMANITE de Thorez et Marcel Cachin furent en réalité Trente Glorieuses.

 

Lorsque je quittais la Ville-Gozet en 1959, l’Entreprise capitaliste SAGEM avait aménagé un petit espace où l’on voyait une centaine de vélos, ceux des travailleurs salariés. À mon retour, en l’an 2000, toutes les bicyclettes avaient disparues remplacées par des troupeaux de voitures.

 

J’ai cette manie de lire et relire d’anciens journaux, ce qui explique le scan que je vous présente ci-dessous. Le titre fut publié dans l'HUMA d’octobre 1959.

 

L'Humanité-7-10-1959.jpg

 

 

L’information reste politiquement incomplète quoique exacte quant au fait rapporté. À ce moment-là les communistes réussissaient à faire prendre pour vérité le mensonge selon lequel la prostitution était éradiquée en URSS.

 

Aujourd’hui, la rue Saint Denis est « nettoyée » par la quasi-absence de femmes blanches tarifées et « victimes du patriarcat ». Cependant la prostitution de filles asiatiques s’est amplement développée bien visible dans le quartier de Belleville pour les besoins vitaux de phallocrates étrangers venus enseigner le « mieux vivre ensemble » aux derniers petits blancs d’une communauté franchouillarde parasitaire.

22/08/2018

Pedophilie et religions

 

Le Cardinal BARBARIN

doit-il démissionner ?

Pédophylie-et-religions.jpg

21/08/2018

Viaduc de Gênes : trop de sable, pas assez de ciment

 

En 8 mois

"Ils" vont nous en construire un autre

Viaduc-de-Gènes.jpg

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Marchands de sommeil

 

Avons-nous bien compris que la mairesse communiste d'Aubervilliers l'africaine, nous accusait de ne pas faire son boulot ?

 

20/08/2018

Pour ou contre le travail profane dominical ?

 

Vers la fin d'une époque ?

Dimanche-travaillé.jpg

 

 

Ma femme et moi avons toujours vu des boutiques, des commerces et des corps de métier travailler pendant le dimanche, jour religieux de repos pour les chrétiens. Tenez : le bistro, le cinéma, la billetterie de la caisse du stade, etc. Même le coiffeur de l’enfant que j’étais travaillait chaque dimanche matin. Et je ne vous parle pas de deux de nos vieilles cousines pratiquantes catholiques qui auraient été fort mécontentes de ne pas trouver ouverte la pâtisserie à la sortie de la messe.

 

L’argent n’est pas simplement le nerf des guerres, il est aussi le bien être des temps de paix.

 

Un dimanche soir, lorsque Paris n’était pas trop pourri ma compagne s’aperçut qu’elle manquait de salade pour dîner. « Je fais un bond jusqu’à l’épicerie de mon z'ami ! Il n’y a plus que lui d’ouvert ». Et lorsqu’elle revenait après cinq minutes : « Il ne la donne pas la laitue ! En plus elle n’est pas de la première fraîcheur ».

 

À cent pas de chez nous, tout au long du Boulevard de la Chapelle, les petits bordels pour travailleurs immigrés turbinaient à plein rendement puisque notre dimanche férié ne coïncide pas avec leur vendredi jour de la mosquée.

 

Remarquez c’était pareil dans le quartier des anciennes Halles : Mado et Linda ne chômaient pas en face de l’église Saint Leu.

 

Eh, ouais ! : Saint Leu Mais vous pouvez prononcer Loup. Saint LOUP.

18/08/2018

Tarzanides du grenier n° 312

 

Au terme de trois mois de vacances, notre rentrée scolaire avait lieu en octobre. Le premier octobre.

 

Ce jour l’instituteur nous informait de telle ou telle modification concernant ce que devait être notre comportement pendant les mois à venir. Oh ! il n’y avait jamais beaucoup de différence d'avec l'année précédente. Servan qui domestiquait la troisième classe nous avertissait qu’il inscrivait bien lisible dans l'angle droit du tableau noir le nom des élèves punis « Pour que tout le monde les voit ». Ou encore le cas du Père Bissonnier de la quatrième classe, un maniaque du coup de pied dans le fond de culotte tout autant que de la gifle qui vous dévisse la tête, et qui nous prévenait : « Je chausse du 42 ! » (ce dont nous doutions).

 

Le Père A …. dont l’épouse était directrice de l’école des filles et que nous surnommions « Charlot » attira notre vigilance sur un point absolument inattendu de notre part.

 

– Désormais, dit-il, lorsque vous devrez écouter une leçon vous ne croiserez plus vos bras contre votre poitrine. C’est mauvais d’oppresser vos poumons. La directive nouvelle est que vous devez placer vos avant-bras devant vous, à plat sur la table, sagement et les oreilles bien ouvertes. L’écolier distrait que j’étais crut pourtant bien entendre un supplément d’information : les bras croisés c’est pour les fainéants.

 

BD-Tarzan-l'invincible,-194.jpg

 

Tarzan croisant ses bras se replie-t-il sur lui-même ? garde-t-il son quant-a-soi ? Chez lui cette attitude n’a rien d’une résignation, rien d’un désarmement. C’est plutôt celle d’un homme qui emmagasine sa force, comme s’il se dotait symboliquement d’une armure invisible pour tout autre que lui.

 

C’est que, ici, dans cette image américaine datée du 29-08-1948 Lord John Greystoke se prépare mentalement à affronter SOROS l'impitoyable, le plus puissant gladiateur d’un archipel polynésien évidemment inconnu des géographes.

 

Ce sont des choses à propos desquelles il convient de ne pas plaisanter lorsqu’on a huit ans.

 

Quant à l’instituteur époux de la Directrice de l’école des Filles, il avait intérêt avec sa petite moustache à ne pas nous chercher des noises d’être affublé d’un « Charlot » pour surnom. Autrement aurait-il échappé encore longtemps à celui de « Hitler » ?

 

Nous autres écoliers étions méchants sans le comprendre. Surtout le jeudi.

 

Doc Jivaro